Le parc animalier regorgeait de créatures à poils et plumes en tout genre et Cyan ne put que s’extasier face à certaines. Les lapins était tout particulièrement mignons. Ce qui le fit fondre fut surtout de voir Gulrik accroupi pour caresser une de ses adorables boules de poils. Le contraste formé par la force de brute de l’orc et la petitesse de l’animal était tout bonnement irrésistible.
Ils passèrent beaucoup de temps au parc avant de se rendre au temple dont la visite se solda par un échec. Il était fermé pour travaux de rénovation. Et même sans cela, le gardien du temple fit remarquer à Cyan que les orcs n’y étaient de toute façon pas les bienvenus dans la mesure où ils ne croyaient pas à la Déesse. Gulrik ne parut pas fâché, mais Cyan s’en voulut. C’était bien la preuve qu’il n’était pas un bon guide.
Pour ne rien arranger, les statues de la petite place se révélèrent décevantes. Seule consolation, en y allant, ils traversèrent une rue entièrement décorée de splendides mosaïques.
Gulrik voulut ensuite regagner le Caribouc où ils dînèrent avant de monter dans leur chambre. L’orc demanda à nouveau un bain. Cyan en fut surpris. Se laver tous les jours semblait le comble du luxe. Ce qui l’étonna le plus fut que l’orc lui offrit la première place.
— C’est bon, bafouilla-t-il.
— A toi l’honneur, répliqua Gulrik d’un ton tel que Cyan jugea que le mieux était encore d’accepter.
Il se déshabilla et se lava dans un temps record, terriblement conscient de la présence de l’orc qui ne le quittait pas des yeux. Il ne profita guère de l’eau chaude pourtant bénéfique à ses muscles endoloris, sortit et se sécha en deux temps trois mouvements avant d’enfiler sa nouvelle tenue. Il n’avait jamais porté d’habits aussi doux et ajustés.
Quand Gulrik se dévêtit, Cyan fut bien incapable de détourner le regard. Il admira le torse puissant, le pénis épais qui descendait entre les cuisses musclées… Il avait envie de toucher et goûter. Il se lécha les lèvres et serra les poings. Il avait eu sa chance hier. Le moment était passé.
— Tu es sûr de ne pas vouloir que nous prenions du bon temps ensemble ?
La question de Gulrik résonna dans la pièce. Cyan se demanda s’il avait bien entendu.
Il hésita. Rien n’avait changé depuis la veille. Il était inexpérimenté et risquait d’être un partenaire décevant.
Ils passèrent beaucoup de temps au parc avant de se rendre au temple dont la visite se solda par un échec. Il était fermé pour travaux de rénovation. Et même sans cela, le gardien du temple fit remarquer à Cyan que les orcs n’y étaient de toute façon pas les bienvenus dans la mesure où ils ne croyaient pas à la Déesse. Gulrik ne parut pas fâché, mais Cyan s’en voulut. C’était bien la preuve qu’il n’était pas un bon guide.
Pour ne rien arranger, les statues de la petite place se révélèrent décevantes. Seule consolation, en y allant, ils traversèrent une rue entièrement décorée de splendides mosaïques.
Gulrik voulut ensuite regagner le Caribouc où ils dînèrent avant de monter dans leur chambre. L’orc demanda à nouveau un bain. Cyan en fut surpris. Se laver tous les jours semblait le comble du luxe. Ce qui l’étonna le plus fut que l’orc lui offrit la première place.
— C’est bon, bafouilla-t-il.
— A toi l’honneur, répliqua Gulrik d’un ton tel que Cyan jugea que le mieux était encore d’accepter.
Il se déshabilla et se lava dans un temps record, terriblement conscient de la présence de l’orc qui ne le quittait pas des yeux. Il ne profita guère de l’eau chaude pourtant bénéfique à ses muscles endoloris, sortit et se sécha en deux temps trois mouvements avant d’enfiler sa nouvelle tenue. Il n’avait jamais porté d’habits aussi doux et ajustés.
Quand Gulrik se dévêtit, Cyan fut bien incapable de détourner le regard. Il admira le torse puissant, le pénis épais qui descendait entre les cuisses musclées… Il avait envie de toucher et goûter. Il se lécha les lèvres et serra les poings. Il avait eu sa chance hier. Le moment était passé.
— Tu es sûr de ne pas vouloir que nous prenions du bon temps ensemble ?
La question de Gulrik résonna dans la pièce. Cyan se demanda s’il avait bien entendu.
Il hésita. Rien n’avait changé depuis la veille. Il était inexpérimenté et risquait d’être un partenaire décevant.