Le temps s’adoucissait de plus en plus, mais l’humeur de Wyatt, elle, s’assombrissait. Il ne supportait plus d’être coincé dans son école d’ingénieur. Kembou lui avait suggéré de mettre la pédale douce, mais Wyatt n’aimait pas faire les choses à moitié : soit il arrêtait tout, soit il continuait et s’efforçait donc d’avoir de bons résultats. Et par conséquence, il râlait et pestait. Il faisait cependant attention à ce que Kembou ne fasse plus les frais de son énervement et tâchait d’être un bon binôme pour Dominique qui lui, était satisfait de ses études.
Pour l’anniversaire de Kembou, Wyatt oublia volontiers devoirs et leçons pour fêter cela dignement.
Il l’invita au cinéma où ils virent un film d’action mâtiné d’horreur qui l’avait interpellé tous les deux. Durant la séance, dans le noir, il lui prit la main et ne la lâcha plus.
Il lui offrit ensuite le restaurant, un italien dont il avait entendu du bien et ils se régalèrent chacun d’un plat de pâtes avant de se partager un tiramisu et une glace grand format. Pendant tout le repas, Wyatt garda ses genoux appuyés contre ceux de Kembou.
Ni Kembou ni lui ne souhaitaient s’afficher, mais Wyatt tenait à montrer que c’était différent des sorties qu’ils avaient pu faire par le passé. Ils étaient là en amoureux.
Wyatt attendit qu’ils soient de retour au studio pour lui donner un paquet couleur crème.
— Tu m’as déjà bien gâté, dit Kembou en le prenant.
Il fallait bien que les étrennes données par ses parents et grand-parents au fil des années servent.
— Ce cadeau n’est pas entièrement désintéressé, avoua-t-il en regardant Kembou ouvrir délicatement pour ne pas déchirer le papier.
C’était un livre contenant des recettes, tout en aidant à passer le CAP Pâtissier en candidat libre.
— Ne va pas croire que je te force à quoi que ce soit, hein… Je suis juste un gros gourmand, dit Wyatt tandis que Kembou feuilletait l’ouvrage en silence.
— Merci. J’ai hâte d’essayer tout cela.
— Il faut un peu de matériel, mais je pense qu’on peut remplacer certains ustensiles par d’autres, et investir au besoin.
— Oui, sûrement. Maintenant je crois que je n’ai plus qu’à déballer mon dernier cadeau, déclara-t-il en déboutonnant le jeans de Wyatt d’un air coquin.
Il fit ensuite glisser lentement la fermeture éclair et Wyatt sentit monter en lui l’excitation.
— Je t’aime, murmura-t-il, en soulevant les fesses afin que Kembou puisse lui retirer son pantalon.
Pour l’anniversaire de Kembou, Wyatt oublia volontiers devoirs et leçons pour fêter cela dignement.
Il l’invita au cinéma où ils virent un film d’action mâtiné d’horreur qui l’avait interpellé tous les deux. Durant la séance, dans le noir, il lui prit la main et ne la lâcha plus.
Il lui offrit ensuite le restaurant, un italien dont il avait entendu du bien et ils se régalèrent chacun d’un plat de pâtes avant de se partager un tiramisu et une glace grand format. Pendant tout le repas, Wyatt garda ses genoux appuyés contre ceux de Kembou.
Ni Kembou ni lui ne souhaitaient s’afficher, mais Wyatt tenait à montrer que c’était différent des sorties qu’ils avaient pu faire par le passé. Ils étaient là en amoureux.
Wyatt attendit qu’ils soient de retour au studio pour lui donner un paquet couleur crème.
— Tu m’as déjà bien gâté, dit Kembou en le prenant.
Il fallait bien que les étrennes données par ses parents et grand-parents au fil des années servent.
— Ce cadeau n’est pas entièrement désintéressé, avoua-t-il en regardant Kembou ouvrir délicatement pour ne pas déchirer le papier.
C’était un livre contenant des recettes, tout en aidant à passer le CAP Pâtissier en candidat libre.
— Ne va pas croire que je te force à quoi que ce soit, hein… Je suis juste un gros gourmand, dit Wyatt tandis que Kembou feuilletait l’ouvrage en silence.
— Merci. J’ai hâte d’essayer tout cela.
— Il faut un peu de matériel, mais je pense qu’on peut remplacer certains ustensiles par d’autres, et investir au besoin.
— Oui, sûrement. Maintenant je crois que je n’ai plus qu’à déballer mon dernier cadeau, déclara-t-il en déboutonnant le jeans de Wyatt d’un air coquin.
Il fit ensuite glisser lentement la fermeture éclair et Wyatt sentit monter en lui l’excitation.
— Je t’aime, murmura-t-il, en soulevant les fesses afin que Kembou puisse lui retirer son pantalon.
1 commentaire:
Un super épisode merci ^__^
Un excellent moment pour eux afin de fêter l'anniversaire de Kembou :)
Vivement le prochain épisode
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