— On se réconcilie au lit ? suggéra Wyatt.
Kembou l’imagina aussitôt nu et offert à ses caresses et dans son pantalon, son sexe s’allongea et durcit.
Cependant, même s’il était plus que tenté, il se demanda s’il ne fallait mieux pas qu’ils parlent avant.
Wyatt attrapa sa main et la porte à ses lèvres. Il embrassa le bout de son index avant de le prendre dans sa bouche et de le lécher. Il aurait tout aussi bien pu sucer son pénis.
Kembou trancha en son for intérieur : ils discuteraient après… Il récupéra son doigt après un moment, l’attira dans ses bras et commença à retirer le haut de Wyatt qui se laissa faire avant de lui rendre la pareille.
Le temps d’arriver au lit, ils étaient nus.
Au fil des semaines, ils avaient testé toutes sortes de choses et de positions, et les préférences de chacun s’étaient confirmées. Kembou adorait plonger à l’intérieur de Wyatt qui aimait être pénétré, qu’il soit en dessous ou au-dessus. Ils appréciaient également tous les deux les fellations, mais pas en s’allongeant tête-bêche pour les faire en même temps.
Kembou ne se montra pas exactement tendre, pilonnant Wyatt sans relâche jusqu’à ce qu’ils jouissent à quelques instants d’intervalle.
Ils restèrent étendus et haletants, côte à côte puis Wyatt se mit à tracer distraitement des lignes sur le torse de Kembou.
— Encore désolé. Je suis fatigué et j’étouffe dans cette école que m’ont imposé mes parents. J’ai le sentiment que j’aurais dû me battre pour imposer mes désirs, mais que c’est trop tard, que je suis prisonnier. Tu ne rêves pas toi, que les choses soient différentes ? Tu te satisfais vraiment de ton boulot au supermarché, que notre relation doive rester secrète ?
Kembou ne pouvait prétendre que oui. Cependant, avant qu’il ne puisse répondre, Wyatt reprit :
— Imagine que tu puisse mener la vie que tu veux sans avoir à t’inquiéter de rien… Comment la verrais-tu ?
Kembou pressa pensivement ses lèvres sur la tempe de Wyatt.
— Je ne sais pas pour le travail, mais je vivrais avec toi, sans me cacher.
— Oh oui, ce serait formidable… Je ne te l’ai pas dit, mais vendredi soir m’a mère m’a rendu une visite surprise et j’avais mis la table pour nous deux et bien sûr, elle a voulu savoir qui j’attendais aussi tard, et je me suis retrouvé à lui mentir et à m’inventer une petite amie. La faire partir après cela, a été dur, parce qu’elle voulait absolument la rencontrer alors j’ai raconté que c’était trop frais pour la lui présenter, qu’elle allait la faire fuir. J’ai dû carrément lui promettre de l’amener un week-end dans un mois.
Kembou l’imagina aussitôt nu et offert à ses caresses et dans son pantalon, son sexe s’allongea et durcit.
Cependant, même s’il était plus que tenté, il se demanda s’il ne fallait mieux pas qu’ils parlent avant.
Wyatt attrapa sa main et la porte à ses lèvres. Il embrassa le bout de son index avant de le prendre dans sa bouche et de le lécher. Il aurait tout aussi bien pu sucer son pénis.
Kembou trancha en son for intérieur : ils discuteraient après… Il récupéra son doigt après un moment, l’attira dans ses bras et commença à retirer le haut de Wyatt qui se laissa faire avant de lui rendre la pareille.
Le temps d’arriver au lit, ils étaient nus.
Au fil des semaines, ils avaient testé toutes sortes de choses et de positions, et les préférences de chacun s’étaient confirmées. Kembou adorait plonger à l’intérieur de Wyatt qui aimait être pénétré, qu’il soit en dessous ou au-dessus. Ils appréciaient également tous les deux les fellations, mais pas en s’allongeant tête-bêche pour les faire en même temps.
Kembou ne se montra pas exactement tendre, pilonnant Wyatt sans relâche jusqu’à ce qu’ils jouissent à quelques instants d’intervalle.
Ils restèrent étendus et haletants, côte à côte puis Wyatt se mit à tracer distraitement des lignes sur le torse de Kembou.
— Encore désolé. Je suis fatigué et j’étouffe dans cette école que m’ont imposé mes parents. J’ai le sentiment que j’aurais dû me battre pour imposer mes désirs, mais que c’est trop tard, que je suis prisonnier. Tu ne rêves pas toi, que les choses soient différentes ? Tu te satisfais vraiment de ton boulot au supermarché, que notre relation doive rester secrète ?
Kembou ne pouvait prétendre que oui. Cependant, avant qu’il ne puisse répondre, Wyatt reprit :
— Imagine que tu puisse mener la vie que tu veux sans avoir à t’inquiéter de rien… Comment la verrais-tu ?
Kembou pressa pensivement ses lèvres sur la tempe de Wyatt.
— Je ne sais pas pour le travail, mais je vivrais avec toi, sans me cacher.
— Oh oui, ce serait formidable… Je ne te l’ai pas dit, mais vendredi soir m’a mère m’a rendu une visite surprise et j’avais mis la table pour nous deux et bien sûr, elle a voulu savoir qui j’attendais aussi tard, et je me suis retrouvé à lui mentir et à m’inventer une petite amie. La faire partir après cela, a été dur, parce qu’elle voulait absolument la rencontrer alors j’ai raconté que c’était trop frais pour la lui présenter, qu’elle allait la faire fuir. J’ai dû carrément lui promettre de l’amener un week-end dans un mois.
1 commentaire:
Oh pinaise Wyatt n'a pas assuré sur ce coup-là avec sa mère, lui faire croire qu'il a une petite amie va lui attiré des problèmes ^^"
Merci pour l'épisode, hâte de lire la suite :)
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