Kembou, surpris, du départ précipité de Dominique, chercha à le retenir, preuve qu’il n’y avait plus de tension entre eux.
— J’ai l’impression de te chasser.
— Non, c’est Wyatt, rétorqua Dominique. Amusez-vous bien, lança-t-il avec un clin d’œil avant de refermer la porte.
— Mais votre devoir…
Wyatt coupa Kembou en l’embrassant, nouant sa langue à celle de son ami et amoureux. Les mains de Kembou se posèrent sur son dos, le poussant à se coller davantage.
— Wyatt…
L’intonation prise par Kembou le fit frémir d’anticipation.
— On va au lit ?
Un hochement de tête. Quelques pas en silence.
— Tu me laisses te faire l’amour ?
La voix empreinte de désir de Kembou, c’était quelque chose.
Wyatt acquiesça. Il savait ce que cela impliquait.
Ou du moins, il croyait le savoir, réalisa-t-il quelques minutes plus tard, étendu, nu sur le drap après que Kembou l’ait patiemment déshabillé avant d’ôter lui même ses propres vêtements avec une promptitude.
Les mains de Kembou couraient sur son corps, sa bouche semait des baisers, sa langue glissait au creux de son cou, sur les pointes de ses tétons, le long de son pénis.
La première fois, ils avaient été droit au but, se préparant mutuellement à être pénétré. Ça, c’était très différent et infiniment plus troublant. Il voulut dire à Kembou qu’à postériori, il regrettait presque et qu’heureusement ils allaient pouvoir continuer à explorer et découvrir ensemble leur sexualité, mais les mots moururent sur ses lèvres, se muant à un râle de plaisir. Impossible de continuer à avoir des pensées cohérentes alors que Kembou semblait l’embrasser, le lécher, le toucher partout à la fois.
Wyatt était tremblant, brûlant, gémissant mais cela ne l’empêchait pas de vouloir encore plus, toujours plus. Et quand Kembou se décida enfin à plonger en lui, il était plus que prêt.
Il ne fut plus que pulsions et sensations, ses yeux se fermant pour mieux ressentir, puis s’ouvrant pour regarder Kembou en proie à la passion.
Wyatt jouit le premier, mais Kembou suivit de près, et se retira en douceur.
— J’ai l’impression de te chasser.
— Non, c’est Wyatt, rétorqua Dominique. Amusez-vous bien, lança-t-il avec un clin d’œil avant de refermer la porte.
— Mais votre devoir…
Wyatt coupa Kembou en l’embrassant, nouant sa langue à celle de son ami et amoureux. Les mains de Kembou se posèrent sur son dos, le poussant à se coller davantage.
— Wyatt…
L’intonation prise par Kembou le fit frémir d’anticipation.
— On va au lit ?
Un hochement de tête. Quelques pas en silence.
— Tu me laisses te faire l’amour ?
La voix empreinte de désir de Kembou, c’était quelque chose.
Wyatt acquiesça. Il savait ce que cela impliquait.
Ou du moins, il croyait le savoir, réalisa-t-il quelques minutes plus tard, étendu, nu sur le drap après que Kembou l’ait patiemment déshabillé avant d’ôter lui même ses propres vêtements avec une promptitude.
Les mains de Kembou couraient sur son corps, sa bouche semait des baisers, sa langue glissait au creux de son cou, sur les pointes de ses tétons, le long de son pénis.
La première fois, ils avaient été droit au but, se préparant mutuellement à être pénétré. Ça, c’était très différent et infiniment plus troublant. Il voulut dire à Kembou qu’à postériori, il regrettait presque et qu’heureusement ils allaient pouvoir continuer à explorer et découvrir ensemble leur sexualité, mais les mots moururent sur ses lèvres, se muant à un râle de plaisir. Impossible de continuer à avoir des pensées cohérentes alors que Kembou semblait l’embrasser, le lécher, le toucher partout à la fois.
Wyatt était tremblant, brûlant, gémissant mais cela ne l’empêchait pas de vouloir encore plus, toujours plus. Et quand Kembou se décida enfin à plonger en lui, il était plus que prêt.
Il ne fut plus que pulsions et sensations, ses yeux se fermant pour mieux ressentir, puis s’ouvrant pour regarder Kembou en proie à la passion.
Wyatt jouit le premier, mais Kembou suivit de près, et se retira en douceur.
2 commentaires:
Leur couple se cimente petit à petit et les voir si passionné fait plaisir à voir :)
Vivement le prochain épisode ^__^
J'espère que la scène suivante ne te semblera pas de trop... C'est la faute de Wyatt et Kembou, pas la mienne ! :p
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