Ils recouvraient leurs souffles quand une divine odeur de chocolat chatouilla les narines de Wyatt.
— Cela sent bon, dit-il en humant l’air.
— Le gâteau ! s’écria Kembou, bondissant hors du lit et se précipitant vers la cuisine.
Wyatt se redressa paresseusement sur ses coudes. Quelques suçons et autres marques d’amour décoraient son corps. Il avait l’impression de sentir encore en lui Kembou. Avoir quelqu’un en soi était une sensation particulière. Appartenir ou posséder étaient pourtant les deux facettes d’une même pièce.
Il se nettoya vite fait et rejoignit Kembou pour s’enquérir du sort du gâteau.
Kembou, l’air contrarié, contemplait l’intérieur du moule.
— Alors ?
— Il est trop cuit.
Wyatt s’approcha pour voir. Cela lui semblait, pour sa part, tout à fait appétissant. Il attrapa un couteau dans le pot à couverts sur le bord de l’évier.
— Tu vas te brûler ! Je viens de le sortir du four ! s’exclama Kembou.
Wyatt récupéra le gant qu’avait utilisé son ami et se coupa un petit morceau sur lequel il souffla avant de le mettre dans sa bouche.
C’était chaud et fondant.
— Délicieux, statua-t-il en se léchant les lèvres, hésitant à se reprendre une part par pure gourmandise.
Il remarqua que le pénis de Kembou se dressait. Ils étaient encore nus tous les deux.
Wyatt s’agenouilla sur le carrelage froid. Les yeux de Kembou s’écarquillèrent.
Wyatt referma les doigts sur la base du membre rigide, donna un coup de langue et grimaça. Évidemment, avec le préservatif porté un peu plus tôt, cela avait un goût de caoutchouc.
— Tu n’es pas obligé… dit Kembou.
— J’en ai envie, répliqua Wyatt et il se dépêcha d’expliquer la nature du problème.
Pas question que Kembou s’imagine que c’était lui ou l’acte en lui-même qui le dérangeait.
— Tu n’aurais qu’à faire cela une autre fois.
Wyatt secoua la tête.
— Je peux me laver.
C’était une solution pragmatique. Typique Kembou.
— Ou bien, je pourrais ajouter un peu de crème chantilly.
Dans sa main, le membre de Kembou palpita. L’idée lui plaisait.
Wyatt se releva pour récupérer la bombe de crème dans le petit réfrigérateur.
— Tu vas réaliser un fantasme que je ne savais même pas avoir… murmura Kembou tandis que Wyatt déposait une dose généreuse de chantilly.
Il lécha ensuite avec application et Kembou éjacula non pas à l’intérieur de sa bouche, mais sur son visage, ce dont il s’excusa aussitôt.
Wyatt le rassura en riant.
— Cela sent bon, dit-il en humant l’air.
— Le gâteau ! s’écria Kembou, bondissant hors du lit et se précipitant vers la cuisine.
Wyatt se redressa paresseusement sur ses coudes. Quelques suçons et autres marques d’amour décoraient son corps. Il avait l’impression de sentir encore en lui Kembou. Avoir quelqu’un en soi était une sensation particulière. Appartenir ou posséder étaient pourtant les deux facettes d’une même pièce.
Il se nettoya vite fait et rejoignit Kembou pour s’enquérir du sort du gâteau.
Kembou, l’air contrarié, contemplait l’intérieur du moule.
— Alors ?
— Il est trop cuit.
Wyatt s’approcha pour voir. Cela lui semblait, pour sa part, tout à fait appétissant. Il attrapa un couteau dans le pot à couverts sur le bord de l’évier.
— Tu vas te brûler ! Je viens de le sortir du four ! s’exclama Kembou.
Wyatt récupéra le gant qu’avait utilisé son ami et se coupa un petit morceau sur lequel il souffla avant de le mettre dans sa bouche.
C’était chaud et fondant.
— Délicieux, statua-t-il en se léchant les lèvres, hésitant à se reprendre une part par pure gourmandise.
Il remarqua que le pénis de Kembou se dressait. Ils étaient encore nus tous les deux.
Wyatt s’agenouilla sur le carrelage froid. Les yeux de Kembou s’écarquillèrent.
Wyatt referma les doigts sur la base du membre rigide, donna un coup de langue et grimaça. Évidemment, avec le préservatif porté un peu plus tôt, cela avait un goût de caoutchouc.
— Tu n’es pas obligé… dit Kembou.
— J’en ai envie, répliqua Wyatt et il se dépêcha d’expliquer la nature du problème.
Pas question que Kembou s’imagine que c’était lui ou l’acte en lui-même qui le dérangeait.
— Tu n’aurais qu’à faire cela une autre fois.
Wyatt secoua la tête.
— Je peux me laver.
C’était une solution pragmatique. Typique Kembou.
— Ou bien, je pourrais ajouter un peu de crème chantilly.
Dans sa main, le membre de Kembou palpita. L’idée lui plaisait.
Wyatt se releva pour récupérer la bombe de crème dans le petit réfrigérateur.
— Tu vas réaliser un fantasme que je ne savais même pas avoir… murmura Kembou tandis que Wyatt déposait une dose généreuse de chantilly.
Il lécha ensuite avec application et Kembou éjacula non pas à l’intérieur de sa bouche, mais sur son visage, ce dont il s’excusa aussitôt.
Wyatt le rassura en riant.
1 commentaire:
Hé bien quel épisode chaud bouillant *__*
J'adore cette histoire même si je sens que les ennuis ne vont pas tarder avec leur famille respective ^^'
Hâte de lire la suite
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