— Je dois retourner à mon devoir, déclara Wyatt sans cacher que cela ne l’enchantait pas le moins du monde.
— Oui, je sais. Pas de problème, assura Kembou.
Wyatt s’attarda auprès de lui et lui accrocha son manteau.
Kembou captura sa bouche pour un baiser de plus avant qu’ils ne rejoignent Dominique.
— Salut ! dirent dans un bel ensemble ses deux amis.
Le sourire qui flottait sur les lèvres de Wyatt s’élargit.
— Je te promets… commencèrent Dominique et Kembou en même temps.
Ils s’interrompirent. Wyatt pouffa.
— Vous feriez un bon duo comique.
— Il n’y a que toi que cela fait rire, répliqua Kembou en l’enveloppant d’un regard tendre et amusé.
Wyatt se sentit fondre.
— Je voulais juste informer que je ne m’attarderai pas plus que nécessaire, intervint Dominique.
— Et moi que je ne comptais pas vous déranger. Je pensais cuisiner pour vous, faire un dessert, histoire de profiter qu’il y ait un four.
La perspective d’un gâteau maison allécha Wyatt.
— Merci. Tu es un ange.
— Rien que ça ? demanda Kembou, les yeux pétillant de malice.
— Il fait chaud ici, déclara Dominique en s’éventant de la main.
Wyatt détacha son regard de Kembou avec difficulté pour lui accorder un coup d’oeil.
C’était vrai, mais ce n’était pas comme s’ils pouvaient vraiment baisser la température, le chauffage étant partagé dans l’immeuble et les radiateurs non réglables.
— Tu veux qu’on ouvre la fenêtre ?
— Cela n’arrangerait pas grand-chose. La manière dont vous vous dévorez des yeux est presque aussi torride que si vous vous rouliez un patin.
— Tu exagères… protesta Wyatt tandis que Kembou préférait disparaître dans la cuisine.
Wyatt fit des efforts pour travailler, ne pouvant s’empêcher d’écouter les bruits que faisaient Kembou dans la pièce d’à côté.
Dominique comprit avant lui qu’il n’arriverait à rien.
— Tu es complètement ailleurs. Bon, écoute, pour cette fois, et cette fois seulement, je vais me charger de ta partie en plus de la mienne, car clairement, c’est une autre partie de ton anatomie qui est aux commandes pour l’heure.
Wyatt aurait aimé rétorquer que son cerveau était en parfait état de marche, mais en vérité, il était bel et bien bloqué sur Kembou et tout ce qui était possible maintenant qu’ils étaient dans le même espace.
— Tu veux vraiment bien ?
Dominique opina.
— Tu es le meilleur. Je te revaudrais ça.
— J’y compte bien répliqua Dominique en rassemblant ses affaires.
— Oui, je sais. Pas de problème, assura Kembou.
Wyatt s’attarda auprès de lui et lui accrocha son manteau.
Kembou captura sa bouche pour un baiser de plus avant qu’ils ne rejoignent Dominique.
— Salut ! dirent dans un bel ensemble ses deux amis.
Le sourire qui flottait sur les lèvres de Wyatt s’élargit.
— Je te promets… commencèrent Dominique et Kembou en même temps.
Ils s’interrompirent. Wyatt pouffa.
— Vous feriez un bon duo comique.
— Il n’y a que toi que cela fait rire, répliqua Kembou en l’enveloppant d’un regard tendre et amusé.
Wyatt se sentit fondre.
— Je voulais juste informer que je ne m’attarderai pas plus que nécessaire, intervint Dominique.
— Et moi que je ne comptais pas vous déranger. Je pensais cuisiner pour vous, faire un dessert, histoire de profiter qu’il y ait un four.
La perspective d’un gâteau maison allécha Wyatt.
— Merci. Tu es un ange.
— Rien que ça ? demanda Kembou, les yeux pétillant de malice.
— Il fait chaud ici, déclara Dominique en s’éventant de la main.
Wyatt détacha son regard de Kembou avec difficulté pour lui accorder un coup d’oeil.
C’était vrai, mais ce n’était pas comme s’ils pouvaient vraiment baisser la température, le chauffage étant partagé dans l’immeuble et les radiateurs non réglables.
— Tu veux qu’on ouvre la fenêtre ?
— Cela n’arrangerait pas grand-chose. La manière dont vous vous dévorez des yeux est presque aussi torride que si vous vous rouliez un patin.
— Tu exagères… protesta Wyatt tandis que Kembou préférait disparaître dans la cuisine.
Wyatt fit des efforts pour travailler, ne pouvant s’empêcher d’écouter les bruits que faisaient Kembou dans la pièce d’à côté.
Dominique comprit avant lui qu’il n’arriverait à rien.
— Tu es complètement ailleurs. Bon, écoute, pour cette fois, et cette fois seulement, je vais me charger de ta partie en plus de la mienne, car clairement, c’est une autre partie de ton anatomie qui est aux commandes pour l’heure.
Wyatt aurait aimé rétorquer que son cerveau était en parfait état de marche, mais en vérité, il était bel et bien bloqué sur Kembou et tout ce qui était possible maintenant qu’ils étaient dans le même espace.
— Tu veux vraiment bien ?
Dominique opina.
— Tu es le meilleur. Je te revaudrais ça.
— J’y compte bien répliqua Dominique en rassemblant ses affaires.
2 commentaires:
Merci pour ce nouvel épisode, la relation entre Kembou et Dominique s'est nettement améliorée :)
Hâte de lire la suite ^__^
Forcément puisque Kembou ne meurt plus de jalousie... :)
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