Grégoire était si excité que ses vêtements le gênaient.
Comme s’il l’avait compris, le Gardien dénoua à cet instant la ceinture de Grégoire, abaissa son pantalon et palpa son érection.
C’était magique la manière dont il devinait les besoins et envies de Grégoire.
L’homme-arbre avait des mains rugueuses qui provoquait une friction délicieuse.
Il retira ensuite la chemise, les fausses oreilles et la queue et enveloppa Grégoire d’un regard admiratif.
Le Gardien s’allongea ensuite sur le sol, à l’endroit où il était planté en temps normal, attirant Grégoire pour qu’il s’étende sur lui. Ainsi collés l’un à l’autre, ils explorèrent leurs corps brûlants.
Les mains du Gardien s’attardèrent sur les fesses de Grégoire, les pétrissant, jusqu’à son sexe dressé se presse contre la raie.
Il y eut le bruit d’une bouteille qu’on débouche – le cadeau de Sergeï – et le pénis du Gardien collant et humide continua à se frotter contre l’entrée de Grégoire qui se redressa et se tortilla pour le prendre en lui.
Le sexe du Gardien n’était pas imposant et tout au plus Grégoire se crispa un instant avant de se détendre.
Il ondula au-dessus de l’homme-arbre et il le sentit grossir en lui, l’emplissant davantage. L’une des mains du Gardien resta sur son postérieur tandis que l’autre se refermait sur son pénis.
Les mouvements de Grégoire se firent frénétiques jusque là jouissance les emporte.
Grégoire, tout pantelant, s’abaissa lentement sur le torse du Gardien et ils restèrent longuement ainsi, toujours lié l’un à l’autre, le sexe du Gardien logé à l’intérieur demeurant long et ferme. L’anatomie de l’homme-arbre était aussi différente qu’excitante.
Grégoire qui était épuisé, se décida finalement à se détacher, regrettant qu’il faille à la rivière pour se nettoyer. Neegr aurait sûrement des commentaires à faire.
Il se releva en soupirant.
— Qu’est-ce qui ne va pas ? s’inquiéta le Gardien.
Grégoire le rassura. Il n’était juste pas très motivé pour aller se nettoyer.
— Je peux demander à un couple d’oiseaux qui m’habitent de te ramener un linge humide si tu préfères.
C’était embarrassant, mais Grégoire n’était pas très sûr sur ses jambes alors il accepta l’offre.
Comme s’il l’avait compris, le Gardien dénoua à cet instant la ceinture de Grégoire, abaissa son pantalon et palpa son érection.
C’était magique la manière dont il devinait les besoins et envies de Grégoire.
L’homme-arbre avait des mains rugueuses qui provoquait une friction délicieuse.
Il retira ensuite la chemise, les fausses oreilles et la queue et enveloppa Grégoire d’un regard admiratif.
Le Gardien s’allongea ensuite sur le sol, à l’endroit où il était planté en temps normal, attirant Grégoire pour qu’il s’étende sur lui. Ainsi collés l’un à l’autre, ils explorèrent leurs corps brûlants.
Les mains du Gardien s’attardèrent sur les fesses de Grégoire, les pétrissant, jusqu’à son sexe dressé se presse contre la raie.
Il y eut le bruit d’une bouteille qu’on débouche – le cadeau de Sergeï – et le pénis du Gardien collant et humide continua à se frotter contre l’entrée de Grégoire qui se redressa et se tortilla pour le prendre en lui.
Le sexe du Gardien n’était pas imposant et tout au plus Grégoire se crispa un instant avant de se détendre.
Il ondula au-dessus de l’homme-arbre et il le sentit grossir en lui, l’emplissant davantage. L’une des mains du Gardien resta sur son postérieur tandis que l’autre se refermait sur son pénis.
Les mouvements de Grégoire se firent frénétiques jusque là jouissance les emporte.
Grégoire, tout pantelant, s’abaissa lentement sur le torse du Gardien et ils restèrent longuement ainsi, toujours lié l’un à l’autre, le sexe du Gardien logé à l’intérieur demeurant long et ferme. L’anatomie de l’homme-arbre était aussi différente qu’excitante.
Grégoire qui était épuisé, se décida finalement à se détacher, regrettant qu’il faille à la rivière pour se nettoyer. Neegr aurait sûrement des commentaires à faire.
Il se releva en soupirant.
— Qu’est-ce qui ne va pas ? s’inquiéta le Gardien.
Grégoire le rassura. Il n’était juste pas très motivé pour aller se nettoyer.
— Je peux demander à un couple d’oiseaux qui m’habitent de te ramener un linge humide si tu préfères.
C’était embarrassant, mais Grégoire n’était pas très sûr sur ses jambes alors il accepta l’offre.
1 commentaire:
Décidément quel beau couple ils forment ^___^
Merci pour l'épisode, l'histoire est toujours aussi passionnante et j'ai toujours aussi hâte de lire la suite, c'est un plaisir à chaque fois :)
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