Il tendit la main et effleura du bout des doigts la peau de long de la cicatrice.
Le Gardien la lui attrapa et la plaqua contre son torse, au niveau du cœur. L’homme-arbre respirait la gravité et Grégoire retint son souffle et ses excuses. Il n’allait apparemment pas avoir besoin de l’interroger sur sa réserve.
— L’autre soir, tu m’as laissé t’embrasser… commença le Gardien.
Grégoire acquiesça en s’humectant les lèvres, anticipant un nouveau baiser.
— Je n’ai pas cherché à en discuter, car les circonstances étaient particulières, que je voyais que tu étais préoccupé par ton éventuelle responsabilité dans la malade. Mais aujourd’hui, tu n’as pas nié que nous étions un couple, pas plus devant Saphir que Sergeï…
— Parce que c’est ce que nous sommes devenus, même si je ne voulais pas l’envisager. Entre nous, il y a un lien psychique et… physique.
Sous sa paume, le battement s’intensifia.
Le Gardien tira doucement sur l’une des fausses oreilles de Grégoire.
— Je ferais mieux de les enlever parce que je suis ridicule avec, c’est ça ?
— Je n’aurais pas dit cela, répondit le Gardien, ses yeux verts brillants.
Il lâcha la pointe de tissu fourré et posa ses doigts à la base du cou de Grégoire, à l’endroit où le suceur s’était désaltéré.
Grégroire déglutit, submergé par l’envie que le Gardien le touche davantage.
— J’étais jaloux que tu t’abandonnes à lui de la sorte, que tu lui montres cette expression troublée.
— Si j’ai bien compris, il a besoin de sang pour vivre et je voulais le remercier de ses efforts.
Le pouce de l’homme-arbre passa sur sa lèvre inférieure, puis se retira.
Grégoire craqua et vint écraser sa bouche contre celle du Gardien. Plus question d’attendre plus, de prétendre que ce n’était que de l’amitié, qu’il ne le désirait pas.
Le Gardien le serra contre lui tandis que Grégoire nouait sa langue à la sienne.
Le baiser ne s’acheva que pour laisser place à un autre et encore un.
Le sexe durci de Grégoire tendait son mince pantalon et se pressait contre la cuisse ferme du Gardien.
La pensée qu’ils étaient dehors, que n’importe qui pouvaient les voir traversa son esprit, mais il la balaya : ce n’était pas grave, la nuit les protégeait.
Il détacha en douceur la feuille qui masquait l’entrejambe du Gardien, dévoilant un fin et long pénis nervé qu’il caressa, sans cesser d’embrasser l’homme-arbre.
Le Gardien la lui attrapa et la plaqua contre son torse, au niveau du cœur. L’homme-arbre respirait la gravité et Grégoire retint son souffle et ses excuses. Il n’allait apparemment pas avoir besoin de l’interroger sur sa réserve.
— L’autre soir, tu m’as laissé t’embrasser… commença le Gardien.
Grégoire acquiesça en s’humectant les lèvres, anticipant un nouveau baiser.
— Je n’ai pas cherché à en discuter, car les circonstances étaient particulières, que je voyais que tu étais préoccupé par ton éventuelle responsabilité dans la malade. Mais aujourd’hui, tu n’as pas nié que nous étions un couple, pas plus devant Saphir que Sergeï…
— Parce que c’est ce que nous sommes devenus, même si je ne voulais pas l’envisager. Entre nous, il y a un lien psychique et… physique.
Sous sa paume, le battement s’intensifia.
Le Gardien tira doucement sur l’une des fausses oreilles de Grégoire.
— Je ferais mieux de les enlever parce que je suis ridicule avec, c’est ça ?
— Je n’aurais pas dit cela, répondit le Gardien, ses yeux verts brillants.
Il lâcha la pointe de tissu fourré et posa ses doigts à la base du cou de Grégoire, à l’endroit où le suceur s’était désaltéré.
Grégroire déglutit, submergé par l’envie que le Gardien le touche davantage.
— J’étais jaloux que tu t’abandonnes à lui de la sorte, que tu lui montres cette expression troublée.
— Si j’ai bien compris, il a besoin de sang pour vivre et je voulais le remercier de ses efforts.
Le pouce de l’homme-arbre passa sur sa lèvre inférieure, puis se retira.
Grégoire craqua et vint écraser sa bouche contre celle du Gardien. Plus question d’attendre plus, de prétendre que ce n’était que de l’amitié, qu’il ne le désirait pas.
Le Gardien le serra contre lui tandis que Grégoire nouait sa langue à la sienne.
Le baiser ne s’acheva que pour laisser place à un autre et encore un.
Le sexe durci de Grégoire tendait son mince pantalon et se pressait contre la cuisse ferme du Gardien.
La pensée qu’ils étaient dehors, que n’importe qui pouvaient les voir traversa son esprit, mais il la balaya : ce n’était pas grave, la nuit les protégeait.
Il détacha en douceur la feuille qui masquait l’entrejambe du Gardien, dévoilant un fin et long pénis nervé qu’il caressa, sans cesser d’embrasser l’homme-arbre.
2 commentaires:
Pfiuuu quel épisode chaud bouillant *o*
Je me doutais bien que le Gardien ne saurait résister au charme de Grégoire avec sa panoplie de chat :)
Et de le voir jaloux ainsi vis à vis de Sergeï prouve bien qu'ils sont fait l'un pour l'autre Grégoire et lui ^__^
Hâte de lire la suite car si tout s'arrange pour eux rien n'est réglé en ce qui concerne le mal et un éventuel retour de Grégoire dans son monde... ^^'
Oui, encore du pain sur la planche avant la résolution de l'histoire ! :)
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