— Allez, ils ne méritent pas qu'on parle d'eux. Dis-moi plutôt ce que tu as fait pendant que j'étais en cours.
— Je me suis promené alentours et j'ai observé le passage des charrettes de fer qui se meuvent sans chevaux.
Cela n'étonna pas Tim qu'il se soit bravement aventuré à l'inconnu. Heureusement qu'il ne s'était pas fait écraser...
— Tu as faim ?
— Point du tout.
— Alors, commençons par t'acheter des habits.
Tim savait que toutes ses maigres économies y passeraient, mais c'était une dépense nécessaire. Il n'était pas envisageable que Percival continue à se balader en costume du XIVème siècle. Ce n'était même pas tant pour les étrangers dans la rue que pour sa mère. Et puis bon, une seule tenue à porter, ce n'était pas suffisant.
Percival lui emboîta le pas et ils marchèrent jusqu'à ce qu'une boutique de vêtements bon marché qui n'était pas loin.
Tim se chargea de choisir pour lui pull, t-shirt, jeans et caleçons avant de le pousser dans une cabine d'essayage.
Bien que tenté de regarder par l'interstice du rideau qu'il n'avait pas pu refermer parfaitement – comme toujours dans les magasins de vêtements – Tim n'en fit rien, même quand il commença à trouver le temps long.
— Tout se passe bien ? Ne t'acharne pas, si tu n'arrives pas à entrer dans le pantalon ou autre, je me suis peut-être trompé dans les tailles. Je peux aller en chercher de plus grandes.
Percival sortit à cet instant, vêtu d'un pull bleu uni et d'un jean assorti, les pieds nus. Tim avait oublié les chaussettes et les chaussures.
C'était bizarre de voir le chevalier habillé comme tout le monde. Sans savoir exactement en quoi, il semblait à Tim que quelque chose le distinguait encore des gens du XXIème siècle. Ce n'était pas sa coupe mi-longue ou son ombre de barbe, alors quoi ? Peut-être sa posture très droite… ou simplement le fait qu'il le trouvait craquant, quels que soient les vêtements qu'il avait sur le dos.
— Tu es confortable dedans ?
— Point vraiment, mais je pense que je pourrais m'habituer.
— Du moment que tu n'es pas trop serré…
Il renvoya Percival se déshabiller : il fallait qu'ils passent à la caisse et il était préférable que les habits neufs soit lavés avant que le chevalier les porte pour de bon.
— Je me suis promené alentours et j'ai observé le passage des charrettes de fer qui se meuvent sans chevaux.
Cela n'étonna pas Tim qu'il se soit bravement aventuré à l'inconnu. Heureusement qu'il ne s'était pas fait écraser...
— Tu as faim ?
— Point du tout.
— Alors, commençons par t'acheter des habits.
Tim savait que toutes ses maigres économies y passeraient, mais c'était une dépense nécessaire. Il n'était pas envisageable que Percival continue à se balader en costume du XIVème siècle. Ce n'était même pas tant pour les étrangers dans la rue que pour sa mère. Et puis bon, une seule tenue à porter, ce n'était pas suffisant.
Percival lui emboîta le pas et ils marchèrent jusqu'à ce qu'une boutique de vêtements bon marché qui n'était pas loin.
Tim se chargea de choisir pour lui pull, t-shirt, jeans et caleçons avant de le pousser dans une cabine d'essayage.
Bien que tenté de regarder par l'interstice du rideau qu'il n'avait pas pu refermer parfaitement – comme toujours dans les magasins de vêtements – Tim n'en fit rien, même quand il commença à trouver le temps long.
— Tout se passe bien ? Ne t'acharne pas, si tu n'arrives pas à entrer dans le pantalon ou autre, je me suis peut-être trompé dans les tailles. Je peux aller en chercher de plus grandes.
Percival sortit à cet instant, vêtu d'un pull bleu uni et d'un jean assorti, les pieds nus. Tim avait oublié les chaussettes et les chaussures.
C'était bizarre de voir le chevalier habillé comme tout le monde. Sans savoir exactement en quoi, il semblait à Tim que quelque chose le distinguait encore des gens du XXIème siècle. Ce n'était pas sa coupe mi-longue ou son ombre de barbe, alors quoi ? Peut-être sa posture très droite… ou simplement le fait qu'il le trouvait craquant, quels que soient les vêtements qu'il avait sur le dos.
— Tu es confortable dedans ?
— Point vraiment, mais je pense que je pourrais m'habituer.
— Du moment que tu n'es pas trop serré…
Il renvoya Percival se déshabiller : il fallait qu'ils passent à la caisse et il était préférable que les habits neufs soit lavés avant que le chevalier les porte pour de bon.
1 commentaire:
Séance shopping pour nos deux héros ^__^
Merci pour l'épisode, je sens bien que petit à petit Tim s'accroche à Percival et j'ai peur qu'il soit triste quand ou si Percival retourne à son époque malgré lui ou non...
Hâte de lire la suite demain en tout cas :)
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