Le repas terminé, Tim aida à débarrasser et mettre au lave-vaisselle tout ce qui pouvait l'être. Ce n'était certes pas une tâche familière au chevalier, mais il le seconda, manipulant les assiettes avec précaution.
D'une courtoise sans faille, il remercia la mère de Tim pour sa généreuse hospitalité d'une telle façon que cette dernière en resta comme deux ronds de flanc.
Tout ayant été rangé et nettoyé, elle quitta le côté cuisine pour le salon où elle alluma le poste de télévision. Les yeux de Percival s'écarquillèrent face à ses images qui prenaient vie à l'écran.
Alors qu'il s'approchait, comme envoûté par le programme pourtant débile qui passait, Tim le prit par le bras et l'attira dans sa chambre.
— Quelle est encore cette diablerie ?
Tim s'empêtra dans son exposé des chaînes télés. Sa brillante idée d'allumer un ordinateur pour trouver une définition exacte acheva de plonger le chevalier dans la confusion.
Tim réalisa alors qu'il était sans doute plus facile de se passer des inventions modernes que d'apprendre brutalement leur existence, surtout que Percival avait déjà résisté vaillamment à beaucoup.
Tim ne savait hélas comment l'aider à s'acclimater à toutes ses choses nouvelles. Bien qu'il ait dormi une bonne partie de la journée – la nuit s'il avait encore été au Moyen-Âge – il était encore fatigué et prêt à se coucher à nouveau, une fois qu'il se serait douché, car il se sentait sale comme un pou.
— Je vais me laver.
— Je ne serais point contre un bain moi aussi.
Cela n'avait jamais manqué à Tim de ne pas avoir de baignoire, mais il regretta brusquement qu'ils n'en aient pas, car cela aurait été plus simple pour le chevalier.
L'adolescent récupéra deux serviettes éponges.
— Viens, je vais te montrer.
Ils traversèrent le salon où sa mère, absorbée par l'émission qu'elle regardait ne leur accorda pas même un coup d'œil, ce qui était aussi bien parce qu'elle aurait pu s'étonner qu'ils se rendent en même temps dans la salle de bains.
Tim ferma le loquet derrière eux. Les toilettes étant à part, la pièce ne contenait qu'une douche, un lavabo surmonté d'un petit placard orné d'une glace et une machine à laver.
Il ouvrit la cabine de douche et indiqua à Percival les robinets d'eau chaude et d'eau froide. Il décrocha ensuite le pommeau dont il fit couler un filet. Une véritable démonstration eût été sûrement plus efficace.
Il s'imagina en train de partager la cabine avec lui, mais repoussa aussitôt l'idée. Oui, il lui éviterait de s'ébouillanter ou l'inverse, mais il n'était plus épuisé au point de demeurer de marbre s'ils se tenaient debout dans le plus simple appareil dans un espace restreint. Rien que la perspective suffisait à son pénis pour durcir.
D'une courtoise sans faille, il remercia la mère de Tim pour sa généreuse hospitalité d'une telle façon que cette dernière en resta comme deux ronds de flanc.
Tout ayant été rangé et nettoyé, elle quitta le côté cuisine pour le salon où elle alluma le poste de télévision. Les yeux de Percival s'écarquillèrent face à ses images qui prenaient vie à l'écran.
Alors qu'il s'approchait, comme envoûté par le programme pourtant débile qui passait, Tim le prit par le bras et l'attira dans sa chambre.
— Quelle est encore cette diablerie ?
Tim s'empêtra dans son exposé des chaînes télés. Sa brillante idée d'allumer un ordinateur pour trouver une définition exacte acheva de plonger le chevalier dans la confusion.
Tim réalisa alors qu'il était sans doute plus facile de se passer des inventions modernes que d'apprendre brutalement leur existence, surtout que Percival avait déjà résisté vaillamment à beaucoup.
Tim ne savait hélas comment l'aider à s'acclimater à toutes ses choses nouvelles. Bien qu'il ait dormi une bonne partie de la journée – la nuit s'il avait encore été au Moyen-Âge – il était encore fatigué et prêt à se coucher à nouveau, une fois qu'il se serait douché, car il se sentait sale comme un pou.
— Je vais me laver.
— Je ne serais point contre un bain moi aussi.
Cela n'avait jamais manqué à Tim de ne pas avoir de baignoire, mais il regretta brusquement qu'ils n'en aient pas, car cela aurait été plus simple pour le chevalier.
L'adolescent récupéra deux serviettes éponges.
— Viens, je vais te montrer.
Ils traversèrent le salon où sa mère, absorbée par l'émission qu'elle regardait ne leur accorda pas même un coup d'œil, ce qui était aussi bien parce qu'elle aurait pu s'étonner qu'ils se rendent en même temps dans la salle de bains.
Tim ferma le loquet derrière eux. Les toilettes étant à part, la pièce ne contenait qu'une douche, un lavabo surmonté d'un petit placard orné d'une glace et une machine à laver.
Il ouvrit la cabine de douche et indiqua à Percival les robinets d'eau chaude et d'eau froide. Il décrocha ensuite le pommeau dont il fit couler un filet. Une véritable démonstration eût été sûrement plus efficace.
Il s'imagina en train de partager la cabine avec lui, mais repoussa aussitôt l'idée. Oui, il lui éviterait de s'ébouillanter ou l'inverse, mais il n'était plus épuisé au point de demeurer de marbre s'ils se tenaient debout dans le plus simple appareil dans un espace restreint. Rien que la perspective suffisait à son pénis pour durcir.
2 commentaires:
Merci pour l'épisode de fin de semaine ^_^
Chaque jour j'aime voir les réactions de Percival quand aux inventions qu'il découvre en effet et j'ai hâte de voir si l'épisode douche bifurquera sur du coquin lol
Bon week-end XD
C'est vrai que les douches sont souvent chaudes... :p Bon week-end !
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