— Pouvons-nous en servir ensemble ? s'enquit Percival.
Tim eut la troublante impression qu'il avait lu en lui. C'était impossible, bien sûr. Peut-être n'était-ce là que le côté obsédé du chevalier qui ressortait…
— Oui, répondit-il. Mais ce n'est pas fait pour, précisa-t-il.
— D'accord, je te laisse l'honneur, alors, dit Percival, mais sans faire mine de quitter la salle d'eau.
— Non, vas-y en premier. C'est toi l'invité, répliqua Tim peu désireux d'exhiber ses bleus une fois de plus.
— Je ne suis pas certain de réussir à me débrouiller avec ces "robinets."
Ce n'était donc pas pour le voir nu qu'il avait émis cette proposition.
— Je reste à côté pour t'aider.
Percival se déshabilla juste sous le nez de Tim sans paraître se rendre compte du trouble qu'il faisait naître en lui, puis entra dans la cabine.
Comme il n'y parvenait pas, l'adolescent dut faire coulisser les portes pour lui. Il eut cependant également du mal, fasciné qu'il était par les bijoux de famille de Percival qu'il n'avait encore jamais eu l'occasion d'admirer d'aussi près. Il l'avait vu une fois en érection et une, au repos, mais de loin.
— Mordiable ! s'écria le chevalier à plus d'une reprise, luttant sans doute pour avoir de l'eau à la bonne température.
De la vapeur ne tarda pas envahir la pièce accompagnée d'une odeur de savon à la lavande.
— Je n'arrive point à couper ces maudites choses !
Avec les mains glissantes, les robinets se montraient parfois capricieux, se rappela Tim. Il entrouvrit le panneau coulissant pour voler à sa rescousse et réussit à refermer les deux récalcitrants non sans tremper sa manche.
Percival était splendide, ruisselant d'eau et son air inhabituellement vulnérable était juste adorable.
Tim aurait voulu être une des gouttes pour pouvoir glisser sur son corps musclé. S'humectant les lèvres, il lui tendit une des serviettes.
Le chevalier reprit contenance, ses traits ne reflétant plus qu'une tranquille placidité.
Tim le regarda s'essuyer, rêvant cette fois être le tissu qui frottait sa peau. Il avait chaud et son pénis palpitait douloureusement dans son pantalon.
Tim eut la troublante impression qu'il avait lu en lui. C'était impossible, bien sûr. Peut-être n'était-ce là que le côté obsédé du chevalier qui ressortait…
— Oui, répondit-il. Mais ce n'est pas fait pour, précisa-t-il.
— D'accord, je te laisse l'honneur, alors, dit Percival, mais sans faire mine de quitter la salle d'eau.
— Non, vas-y en premier. C'est toi l'invité, répliqua Tim peu désireux d'exhiber ses bleus une fois de plus.
— Je ne suis pas certain de réussir à me débrouiller avec ces "robinets."
Ce n'était donc pas pour le voir nu qu'il avait émis cette proposition.
— Je reste à côté pour t'aider.
Percival se déshabilla juste sous le nez de Tim sans paraître se rendre compte du trouble qu'il faisait naître en lui, puis entra dans la cabine.
Comme il n'y parvenait pas, l'adolescent dut faire coulisser les portes pour lui. Il eut cependant également du mal, fasciné qu'il était par les bijoux de famille de Percival qu'il n'avait encore jamais eu l'occasion d'admirer d'aussi près. Il l'avait vu une fois en érection et une, au repos, mais de loin.
— Mordiable ! s'écria le chevalier à plus d'une reprise, luttant sans doute pour avoir de l'eau à la bonne température.
De la vapeur ne tarda pas envahir la pièce accompagnée d'une odeur de savon à la lavande.
— Je n'arrive point à couper ces maudites choses !
Avec les mains glissantes, les robinets se montraient parfois capricieux, se rappela Tim. Il entrouvrit le panneau coulissant pour voler à sa rescousse et réussit à refermer les deux récalcitrants non sans tremper sa manche.
Percival était splendide, ruisselant d'eau et son air inhabituellement vulnérable était juste adorable.
Tim aurait voulu être une des gouttes pour pouvoir glisser sur son corps musclé. S'humectant les lèvres, il lui tendit une des serviettes.
Le chevalier reprit contenance, ses traits ne reflétant plus qu'une tranquille placidité.
Tim le regarda s'essuyer, rêvant cette fois être le tissu qui frottait sa peau. Il avait chaud et son pénis palpitait douloureusement dans son pantalon.
1 commentaire:
En effet les douches chez toi c'est chaud bouillant ^o^
Merci pour l'épisode, vivement demain pour lire la suite et voir si Tim et Percival vont se rapprocher encore :)
Enregistrer un commentaire