Zark finit par
obtenir le droit de visiter les prisons pleines d'humains et put ainsi
dénoncer les conditions dans lesquels ils étaient détenus. Certains
étaient plus mal lotis que d'autres. Ainsi, sur Uranus, ils étaient
maintenus couchés dans ce qui s'apparentait fort à des cercueils.
C'est en visitant l'une des prisons de Végalie qu'il le vit, debout dans une étroite cellule pas plus large qu'un placard à balai derrière une paroi transparente. Il s'arrêta devant l'homme d'une trentaine d'années au crâne rasé vêtu d'un simple slip.
Le garde chargé de la visite revint sur ses pas.
— Il y a un problème ?
— Non, mais je voudrais parler à ce prisonnier. Est-ce possible ?
— Pourquoi lui ?
— Est-ce que par hasard vous auriez lu mon article sur les liens existant entre les âmes ?
Le garde secoua sa trompe, tout en remuant sa grosse queues reptilienne.
— Oui. Mais comment pouvez-vous savoir que vous avez connu ce type dans une autre vie ?
Zark, sans quitter des yeux l'homme qui abritait l'âme de son cher cœur, tâcha de trouver les bons arguments face au palpable scepticisme du végalien.
Ce n'était pas facile de le convaincre alors qu'il brûlait de parler à celui qui se tenait debout dans sa cellule et les regardait.
Le végalien finit heureusement par lui montrer l'interphone qui permettait d'entrer en communication avec le prisonnier et leur laissa même un semblant d'intimité en s'éloignant de quelques pas.
Zark appuya sur le bouton, le cœur battant à tout rompre, la gorge sèche.
— Bonjour. Je m'appelle Zark et toi ?
— Qu'est-ce qu'un saturnien vient faire sur Végalie ? Ici, c'est une prison, pas un zoo, que je sache !
Son agressivité peina Zark. Conquérir son cœur s'annonçait compliqué, mais au moins, il l'avait retrouvé et il œuvrait pour sa libération.
Il était convaincu depuis le début du bien fondé de son entreprise, mais était à présent encore plus content d'avoir osé se lancer dedans. Sans lui répondre, car il ne savait par où commencer, il posa les mains contre la paroi transparente qui les séparait, désireux d'être plus proche de lui.
— Que me voulez-vous ? Est-ce que je vais être transféré dans une prison saturnienne ?
Sentant son inquiétude sous ses airs bravaches, Zark recouvra l'usage de la parole :
— Je souhaite le meilleur pour les humains.
— Vous seriez bien le premier saturnien dans ce cas.
C'est en visitant l'une des prisons de Végalie qu'il le vit, debout dans une étroite cellule pas plus large qu'un placard à balai derrière une paroi transparente. Il s'arrêta devant l'homme d'une trentaine d'années au crâne rasé vêtu d'un simple slip.
Le garde chargé de la visite revint sur ses pas.
— Il y a un problème ?
— Non, mais je voudrais parler à ce prisonnier. Est-ce possible ?
— Pourquoi lui ?
— Est-ce que par hasard vous auriez lu mon article sur les liens existant entre les âmes ?
Le garde secoua sa trompe, tout en remuant sa grosse queues reptilienne.
— Oui. Mais comment pouvez-vous savoir que vous avez connu ce type dans une autre vie ?
Zark, sans quitter des yeux l'homme qui abritait l'âme de son cher cœur, tâcha de trouver les bons arguments face au palpable scepticisme du végalien.
Ce n'était pas facile de le convaincre alors qu'il brûlait de parler à celui qui se tenait debout dans sa cellule et les regardait.
Le végalien finit heureusement par lui montrer l'interphone qui permettait d'entrer en communication avec le prisonnier et leur laissa même un semblant d'intimité en s'éloignant de quelques pas.
Zark appuya sur le bouton, le cœur battant à tout rompre, la gorge sèche.
— Bonjour. Je m'appelle Zark et toi ?
— Qu'est-ce qu'un saturnien vient faire sur Végalie ? Ici, c'est une prison, pas un zoo, que je sache !
Son agressivité peina Zark. Conquérir son cœur s'annonçait compliqué, mais au moins, il l'avait retrouvé et il œuvrait pour sa libération.
Il était convaincu depuis le début du bien fondé de son entreprise, mais était à présent encore plus content d'avoir osé se lancer dedans. Sans lui répondre, car il ne savait par où commencer, il posa les mains contre la paroi transparente qui les séparait, désireux d'être plus proche de lui.
— Que me voulez-vous ? Est-ce que je vais être transféré dans une prison saturnienne ?
Sentant son inquiétude sous ses airs bravaches, Zark recouvra l'usage de la parole :
— Je souhaite le meilleur pour les humains.
— Vous seriez bien le premier saturnien dans ce cas.
2 commentaires:
Merci pour l'épisode ^^
Les rôles sont inversés et c'est maintenant son âme sœur qui est humain même s'il l'était avant toute ces modifications corporels du temps où il était Hoshi :)
Je suis curieuse de le découvrir, il a l'air d'avoir du caractère malgré sa peur..
En attendant la suite je te souhaite un bon week-end XD
La roue tourne...
Suite et fin la semaine prochaine ! :)
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