Finalement, ce n'est qu'en fin de matinée, après avoir fini une de ses piges pendant qu'Angel avançait dans la fabrication d'un des jouets qui lui avait été commandé, que Cain se rendit à la pharmacie afin qu'ils soient équipés pour le restant du week-end.
Dès son retour, Angel le conduisit au lit. Cain était terriblement tendu, mais Angel le fit fondre en multipliant les baisers et les caresses. Ce n'est qu'après qu'il insinua un doigt lubrifié en lui, puis un second et même un troisième. Ce fut ensuite le tour de son pénis de se presser contre l'entrée. Quand il commença à s'enfoncer en lui, ce fut, malgré les préparatifs, douloureux, et Cain se contracta et se mordit les lèvres. Il avait une désagréable sensation de trop plein.
Angel ressortit et l'embrassa et le caressa encore, puis revint à la charge, tout en douceur.
C'était fondamentalement étrange que ce corps étranger soit en lui et Cain se demanda s'il pourrait s'y habituer. Ce n'est que quand Angel se mit à se mouvoir en lui, qu'il sut que oui.
Cain ne tarda pas à haleter sous le rythme de plus en plus en puissants des coups de reins d'Angel qui ne négligeait pas de prodiguer de tendres attentions au sexe du jeune homme. Ils jouirent presque en même temps.
Après avoir roulé sur le côté, Angel demanda :
— Alors, tu voudras recommencer ?
Cain ne tenait pas à ce qu'ils s'unissent ainsi à chaque fois, mais plutôt que de le préciser, il répondit :
— Je t'aime.
Une façon comme une autre de dire oui.
Angel lui retourna les mêmes mots en l'enlaçant.
Trop vite le week-end se termina entre piges et sculpture du bois, entre douces caresses et brûlants baisers, entre repas et bavardages. Cain revint le voir dès le suivant, sourd à la réprobation de ses frères, son père ne se joignant heureusement plus au chorus : il avait compris que Cain était heureux.
Les retrouvailles avec Angel furent chaudes comme la braise. Quand ils eurent retrouvé leur souffle dans les draps froissés, Angel déclara :
— Tu es vraiment beau.
La troisième fois qu'il le lui dit après l'amour, Cain ressentit une pointe de malaise qu'il n'analysa que plusieurs week-ends plus tard. Malgré la distance, le prix de l'essence, ses cours, ses devoirs et ses piges, Cain faisait en effet désormais le trajet chaque semaine. Cela lui faisait trop mal au cœur de savoir Angel seul dans sa grande maison. Afin de ne négliger aucune des tâches qu'il avait à faire, Cain rognait par conséquent sur ses heures de sommeil.
Dès son retour, Angel le conduisit au lit. Cain était terriblement tendu, mais Angel le fit fondre en multipliant les baisers et les caresses. Ce n'est qu'après qu'il insinua un doigt lubrifié en lui, puis un second et même un troisième. Ce fut ensuite le tour de son pénis de se presser contre l'entrée. Quand il commença à s'enfoncer en lui, ce fut, malgré les préparatifs, douloureux, et Cain se contracta et se mordit les lèvres. Il avait une désagréable sensation de trop plein.
Angel ressortit et l'embrassa et le caressa encore, puis revint à la charge, tout en douceur.
C'était fondamentalement étrange que ce corps étranger soit en lui et Cain se demanda s'il pourrait s'y habituer. Ce n'est que quand Angel se mit à se mouvoir en lui, qu'il sut que oui.
Cain ne tarda pas à haleter sous le rythme de plus en plus en puissants des coups de reins d'Angel qui ne négligeait pas de prodiguer de tendres attentions au sexe du jeune homme. Ils jouirent presque en même temps.
Après avoir roulé sur le côté, Angel demanda :
— Alors, tu voudras recommencer ?
Cain ne tenait pas à ce qu'ils s'unissent ainsi à chaque fois, mais plutôt que de le préciser, il répondit :
— Je t'aime.
Une façon comme une autre de dire oui.
Angel lui retourna les mêmes mots en l'enlaçant.
Trop vite le week-end se termina entre piges et sculpture du bois, entre douces caresses et brûlants baisers, entre repas et bavardages. Cain revint le voir dès le suivant, sourd à la réprobation de ses frères, son père ne se joignant heureusement plus au chorus : il avait compris que Cain était heureux.
Les retrouvailles avec Angel furent chaudes comme la braise. Quand ils eurent retrouvé leur souffle dans les draps froissés, Angel déclara :
— Tu es vraiment beau.
La troisième fois qu'il le lui dit après l'amour, Cain ressentit une pointe de malaise qu'il n'analysa que plusieurs week-ends plus tard. Malgré la distance, le prix de l'essence, ses cours, ses devoirs et ses piges, Cain faisait en effet désormais le trajet chaque semaine. Cela lui faisait trop mal au cœur de savoir Angel seul dans sa grande maison. Afin de ne négliger aucune des tâches qu'il avait à faire, Cain rognait par conséquent sur ses heures de sommeil.