Il
ne mit pas longtemps à repérer la tête rousse du jeune homme encore
dans son maillot de bain vert pomme, qui était assis dans le sable, en
retrait de la mer.
Jim s'approcha doucement, sur le côté. Le jeune homme dessinait quelque chose dans un carnet. Jim eut le temps d'apercevoir un superbe crayonné avant que le jeune homme qui avait remarqué sa présence ne referme son carnet, rangeant le crayon dans l'attache prévue à cet effet.
— Bonsoir. Pardon de te déranger. Ton ami Cain est venu me voir et m'a tout raconté... C'est vraiment toi qui m'a tiré de l'eau ?
Ariel acquiesça.
— Je peux savoir pourquoi tu n'as pas rétabli la vérité de toi même ?
Ariel secoua négativement la tête. Il n'avait à priori pas envie de parler.
Jim essaya quand même de lancer un autre sujet :
— Ton croquis au crayon était très réussi. Si tu en as d'autre dans ton carnet, tu voudrais bien me les montrer ?
Ariel fit non de la tête.
Jim fut déçu. Il embêtait le jeune homme, c'était une évidence. Pourtant, il aurait aimé avoir des explications et pouvoir lui exprimer sa reconnaissance. Mais peut-être que c'était ce qui embarrassait le jeune homme qui ne l'avait sauvé que parce que c'était son job. Quant aux dessins, c'est vrai que certains artistes étaient de grands timides et que les convaincre de s'exposer était parfois délicat, là où d'autres acceptaient avec joie et empressement.
Jim s'excusa de l'avoir interrompu dans son activité et esquissa un pas pour s'éloigner, mais finalement mû d'une impulsion subite, il fit quelque chose de totalement inapproprié : il arracha des mains du jeune homme le carnet et prit la fuite avec.
Il voulait voir. C'est vrai qu'Ariel avait bien le droit de ne pas souhaiter montrer ses dessins et même de ne pas lui donner d'explications, c'est Jim qui lui était redevable et justement, exposer les œuvres du jeune homme, si elles en valaient la peine, pouvait être une bonne façon de le récompenser.
Ariel lui courut aussitôt après et quelques instants plus tard, Jim se sentit attraper par l'épaule.
Jim résista, tentant de se dérober et sans qu'il comprenne vraiment comment, se retrouva à plat ventre dans le sable. Il roula sur le côté, prêt à se relever et reprendre la course, mais Ariel l'en empêcha en s'asseyant sur lui pour le coincer.
Jim, à présent sur le dos, tendit le bras en arrière pour garder hors de portée le carnet. Il savait qu'il agissait comme un gamin. Cela lui rappelait les fois où il avait joué avec Tori, excepté que ce n'était pas sa petite nièce, mais un beau jeune homme qui était à califourchon sur lui.
Ariel était assis pile au niveau de son entrejambe, légèrement essoufflé d'avoir couru. Comme il ne voulait pas donner à Jim la possibilité de s'enfuir, il essayait de récupérer son carnet en se penchant sur lui. Ce faisant, il se tortilla et Jim eut une érection que le jeune homme ne put rater. Entre le pénis durci et brûlant de Jim et lui, il n'y avait guère que l'épaisseur d'un slip, d'un léger pantalon et d'un maillot de bain.
Au lieu de se lever précipitamment, comme Jim s'y attendait, Ariel s'immobilisa et le tissu de son maillot de bain se tendit, son pénis se dressant : il était excité lui aussi.
Leurs yeux se rencontrèrent et Ariel se remit debout, le libérant, le carnet momentanément oublié.
— Tu es gay ?
Ariel hocha la tête en se mordant la lèvre.
— Je suis bi. Pas besoin d'être embarrassé, d'accord ?
C'était presque des mots inutiles vu leurs réactions respectives quand Ariel s'était retrouvé à califourchon sur lui.
Les yeux rivés au loin sur la mer, le jeune homme acquiesça.
Jim s'approcha doucement, sur le côté. Le jeune homme dessinait quelque chose dans un carnet. Jim eut le temps d'apercevoir un superbe crayonné avant que le jeune homme qui avait remarqué sa présence ne referme son carnet, rangeant le crayon dans l'attache prévue à cet effet.
— Bonsoir. Pardon de te déranger. Ton ami Cain est venu me voir et m'a tout raconté... C'est vraiment toi qui m'a tiré de l'eau ?
Ariel acquiesça.
— Je peux savoir pourquoi tu n'as pas rétabli la vérité de toi même ?
Ariel secoua négativement la tête. Il n'avait à priori pas envie de parler.
Jim essaya quand même de lancer un autre sujet :
— Ton croquis au crayon était très réussi. Si tu en as d'autre dans ton carnet, tu voudrais bien me les montrer ?
Ariel fit non de la tête.
Jim fut déçu. Il embêtait le jeune homme, c'était une évidence. Pourtant, il aurait aimé avoir des explications et pouvoir lui exprimer sa reconnaissance. Mais peut-être que c'était ce qui embarrassait le jeune homme qui ne l'avait sauvé que parce que c'était son job. Quant aux dessins, c'est vrai que certains artistes étaient de grands timides et que les convaincre de s'exposer était parfois délicat, là où d'autres acceptaient avec joie et empressement.
Jim s'excusa de l'avoir interrompu dans son activité et esquissa un pas pour s'éloigner, mais finalement mû d'une impulsion subite, il fit quelque chose de totalement inapproprié : il arracha des mains du jeune homme le carnet et prit la fuite avec.
Il voulait voir. C'est vrai qu'Ariel avait bien le droit de ne pas souhaiter montrer ses dessins et même de ne pas lui donner d'explications, c'est Jim qui lui était redevable et justement, exposer les œuvres du jeune homme, si elles en valaient la peine, pouvait être une bonne façon de le récompenser.
Ariel lui courut aussitôt après et quelques instants plus tard, Jim se sentit attraper par l'épaule.
Jim résista, tentant de se dérober et sans qu'il comprenne vraiment comment, se retrouva à plat ventre dans le sable. Il roula sur le côté, prêt à se relever et reprendre la course, mais Ariel l'en empêcha en s'asseyant sur lui pour le coincer.
Jim, à présent sur le dos, tendit le bras en arrière pour garder hors de portée le carnet. Il savait qu'il agissait comme un gamin. Cela lui rappelait les fois où il avait joué avec Tori, excepté que ce n'était pas sa petite nièce, mais un beau jeune homme qui était à califourchon sur lui.
Ariel était assis pile au niveau de son entrejambe, légèrement essoufflé d'avoir couru. Comme il ne voulait pas donner à Jim la possibilité de s'enfuir, il essayait de récupérer son carnet en se penchant sur lui. Ce faisant, il se tortilla et Jim eut une érection que le jeune homme ne put rater. Entre le pénis durci et brûlant de Jim et lui, il n'y avait guère que l'épaisseur d'un slip, d'un léger pantalon et d'un maillot de bain.
Au lieu de se lever précipitamment, comme Jim s'y attendait, Ariel s'immobilisa et le tissu de son maillot de bain se tendit, son pénis se dressant : il était excité lui aussi.
Leurs yeux se rencontrèrent et Ariel se remit debout, le libérant, le carnet momentanément oublié.
— Tu es gay ?
Ariel hocha la tête en se mordant la lèvre.
— Je suis bi. Pas besoin d'être embarrassé, d'accord ?
C'était presque des mots inutiles vu leurs réactions respectives quand Ariel s'était retrouvé à califourchon sur lui.
Les yeux rivés au loin sur la mer, le jeune homme acquiesça.
2 commentaires:
Ho ho cela devient chaud bouillant entre Jim et Ariel lol
merci pour l'épisode du jour, j'ai hâte comme à chaque fin d'épisode de connaitre la suite et voir l'évolution des personnages :)
Ow est-ce qu'il est muet ? Sûrement... J'espère que Jim va s'en rendre compte avant de le mettre trop mal à l'aise ou quoique ce soit ! Et puis nan, mais c'est quoi ces manières ? Voler les carnets à dessins des autres o_o
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