Quand Cain fut enfin parti, Jim qui avait fait bonne figure jusque là ne put se contenir plus longtemps.
— Ne prétends pas que tu es insensible à son charme, explosa-t-il.
Ariel écrivit calmement en retour :
« Il est comme un frère pour moi. »
— Vous n'avez aucun lien du sang.
« Ça ne change rien. Je ne l'ai jamais considéré ainsi. Nous avons grandi ensemble. Et il est hétéro. »
— Tu ne semblais même plus savoir que j'étais là. J'aurais tout aussi bien pu ne pas y être.
« Désolé, ce n'était pas mon intention. D'habitude, quand il y a du monde, c'est moi qui me retrouve à faire tapisserie et je déteste ça. Ce n'est vraiment qu'un ami. »
— Frère ou ami, je suis jaloux quand même, grommela Jim, même si les mots d'Ariel apaisaient l'énervement qui avait grandi en lui au cours de la soirée.
« Cain est extra. Dans notre enfance, quand il a su que j'étais muet, il a proposé que nous communiquions par écrit tous les deux. Nous étions comme des espions échangeant des messages top secrets... Mais je préfère les bruns poivre-sel aux yeux bleus pétillants. »
Là-dessus Ariel se nicha contre lui et l'embrassa de telle façon que Jim en oublia tout.
Un soir, ils franchirent tout naturellement le cap. Avec une même impatience, ils se déshabillèrent : t-shirt et chemise tombèrent en tas sur le sol, suivis de jeans et pantalon sur-mesure...
Sur le canapé-lit déplié, ils se caressèrent. La peau bronzée d'Ariel était brûlante, ses yeux verts brillants de plaisir et sa respiration forte. Son souffle, c'était sa voix et il n'y avait pas besoin d'autre chose.
— Tu veux bien que je te pénètre ?
Ariel hocha la tête.
Jim qui gardait sur lui depuis quelques temps deux préservatifs et même un petit tube de lubrifiant les récupéra en hâte. Avoir attendu pour coucher avec lui le rendait fébrile. Ils s'embrassèrent encore à perdre haleine, leurs mains fiévreuses glissant sur leurs corps.
Quand Jim s'enfonça en lui, les yeux du jeune homme se fermèrent et il se mordit la lèvre comme pour s'empêcher de crier, ce qui était étrange puisqu'il ne pouvait émettre un son, tout son plaisir s'exprimant dans sa respiration saccadée.
— Tu as mal ?
Ariel referma ses belles jambes sur les reins de Jim comme pour l'inciter à aller plus au fond. Rassuré, Jim se mit à aller et venir dans le corps chaud et offert. Il imprima un rythme de plus en plus rapide jusqu'à ce qu'il jouisse dans un râle. Ariel dont les halètements s'étaient fait plus forts éjacula en même temps.
Le souffle changeant d'Ariel valait mieux que des cris de plaisir, conclut Jim, repensant à certains possiblement feints de ses partenaires.
Pleinement satisfait, il déposa un léger baiser sur les lèvres d'Ariel. Ils restèrent étendus l'un contre l'autre dans un doux silence, puis s'essuyèrent de concert.
« Tu veux te doucher ? »
Jim déclina et prit Ariel dans ses bras. Tout ce dont il avait besoin, c'était lui. Secrètement, il espérait qu'il en soit de même pour Ariel, mais ne demandait rien, craignant une réponse négative.
— Ne prétends pas que tu es insensible à son charme, explosa-t-il.
Ariel écrivit calmement en retour :
« Il est comme un frère pour moi. »
— Vous n'avez aucun lien du sang.
« Ça ne change rien. Je ne l'ai jamais considéré ainsi. Nous avons grandi ensemble. Et il est hétéro. »
— Tu ne semblais même plus savoir que j'étais là. J'aurais tout aussi bien pu ne pas y être.
« Désolé, ce n'était pas mon intention. D'habitude, quand il y a du monde, c'est moi qui me retrouve à faire tapisserie et je déteste ça. Ce n'est vraiment qu'un ami. »
— Frère ou ami, je suis jaloux quand même, grommela Jim, même si les mots d'Ariel apaisaient l'énervement qui avait grandi en lui au cours de la soirée.
« Cain est extra. Dans notre enfance, quand il a su que j'étais muet, il a proposé que nous communiquions par écrit tous les deux. Nous étions comme des espions échangeant des messages top secrets... Mais je préfère les bruns poivre-sel aux yeux bleus pétillants. »
Là-dessus Ariel se nicha contre lui et l'embrassa de telle façon que Jim en oublia tout.
Un soir, ils franchirent tout naturellement le cap. Avec une même impatience, ils se déshabillèrent : t-shirt et chemise tombèrent en tas sur le sol, suivis de jeans et pantalon sur-mesure...
Sur le canapé-lit déplié, ils se caressèrent. La peau bronzée d'Ariel était brûlante, ses yeux verts brillants de plaisir et sa respiration forte. Son souffle, c'était sa voix et il n'y avait pas besoin d'autre chose.
— Tu veux bien que je te pénètre ?
Ariel hocha la tête.
Jim qui gardait sur lui depuis quelques temps deux préservatifs et même un petit tube de lubrifiant les récupéra en hâte. Avoir attendu pour coucher avec lui le rendait fébrile. Ils s'embrassèrent encore à perdre haleine, leurs mains fiévreuses glissant sur leurs corps.
Quand Jim s'enfonça en lui, les yeux du jeune homme se fermèrent et il se mordit la lèvre comme pour s'empêcher de crier, ce qui était étrange puisqu'il ne pouvait émettre un son, tout son plaisir s'exprimant dans sa respiration saccadée.
— Tu as mal ?
Ariel referma ses belles jambes sur les reins de Jim comme pour l'inciter à aller plus au fond. Rassuré, Jim se mit à aller et venir dans le corps chaud et offert. Il imprima un rythme de plus en plus rapide jusqu'à ce qu'il jouisse dans un râle. Ariel dont les halètements s'étaient fait plus forts éjacula en même temps.
Le souffle changeant d'Ariel valait mieux que des cris de plaisir, conclut Jim, repensant à certains possiblement feints de ses partenaires.
Pleinement satisfait, il déposa un léger baiser sur les lèvres d'Ariel. Ils restèrent étendus l'un contre l'autre dans un doux silence, puis s'essuyèrent de concert.
« Tu veux te doucher ? »
Jim déclina et prit Ariel dans ses bras. Tout ce dont il avait besoin, c'était lui. Secrètement, il espérait qu'il en soit de même pour Ariel, mais ne demandait rien, craignant une réponse négative.
1 commentaire:
J'aime vraiment beaucoup, beaucoup leur relation ainsi moi <3
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