– C'est la raison pour laquelle je manquais d'énergie. C'était juste d'ailleurs pour la téléportation longue distance, tout à l'heure.
– Adorable idiot ! C'est dangereux de dépasser ses limites. Enfin, je dis cela, mais moi aussi, j'ai exagéré entre l'aller-retour de ce matin et le soin à ton père... Bref, tu vas devoir rester coucher ici ce soir.
Avec lui, songea Zibulinion, soudain nerveux.
– Cela ne vous dérange pas ?
– Non, j'ai un grand lit dont je me sers peu et mon nuage.
Zibulinion qui avait caressé l'idée qu'ils dorment ensemble, émit un petit « oh » déçu.
– Ce n'est pas ce que tu veux, Zibu, n'est-ce pas ? glissa Relhnad à son oreille avant de s'emparer de sa bouche pour un baiser vanillé merveilleusement fondant, en le pressant plus étroitement contre lui.
Le cœur de Zibu se mit à battre à tout rompre dans sa poitrine. Allaient-ils faire l'amour ? Cela l'excitait et l'angoissait.
Relhnad reprit :
– Je pense toutefois que tu as eu ton compte d'émotion pour la journée et que nous sommes tout les deux fatigués, et même sans vouloir que notre première fois ensemble soit parfaite...
Le souvenir de son expérience sexuelle avec Neyenje revint à Zibulinion. Cela n'avait pas été satisfaisant du tout, mais l'endroit ne s'y prêtait pas et son cœur n'y était pas.
Zibulinion se libéra de l'étreinte de son professeur. Il se sentait rejeté en dépit de la validité des arguments avancés.
Comme s'il avait compris, Relhnad le reprit dans ses bras et lui relevant le menton, il l'embrassa longuement et en profondeur. Il l'entraîna ensuite dans la chambre à coucher.
Zibulinion le suivit, incertain. Son professeur avait-il changé d'avis ?
Il lui lâcha la main et commença à se déshabiller. L'adolescent retint son souffle. Relhnad était encore plus resplendissant qu'il ne se le rappelait : sa peau albâtre, son torse sculpté, ses longues jambes, son sexe posé tel un bijou dans un écrin de boucles dorées. Tout était harmonieux chez lui.
– A toi maintenant, déclara Relhnad.
– De quoi ?
– D'ôter tes vêtements.
– Mais...
Zibulinion avait honte de se montrer nu...
Ce qu'il savait parfaitement idiot, puisqu'il avait envie qu'ils soient intimes au plus haut degré, mais c'était plus fort que lui.
– Que ce soit pour dormir ou faire l'amour, c'est mieux, ne crois-tu pas ?
Dans un cas, comme dans l'autre, enlever tous ses habits n'étaient toutefois pas obligatoire.
– A l'école, on dort en chemise de nuit et chez moi, je portais un pyjama, balbutia Zibulinion, cherchant à retarder le moment.
– Je suis partisan du plus simple appareil.
– Vous voulez bien fermer les yeux ?
Relhnad obéit. Zibulinion se déshabilla en hâte et se cacha sous la couette, défaisant la belle ordonnance du lit.
– C'est bon ?
– Oui...
Relhnad rouvrit les yeux et rit doucement avant de se glisser à côté de Zibulinion.
– Je te préviens, je refuse d'éteindre la lumière. Je veux pouvoir t'admirer.
Zibulinion s'empourpra violemment. Relhnad le bâillonna d'un baiser avant qu'il ne puisse protester, collant leur corps l'un contre l'autre.
Le pénis de Zibulinion s'érigea immédiatement et il put sentir celui de Relhnad durcir. Quand la main de son professeur se referma sur son sexe, Zibulinion jouit instantanément et enfouit sa tête dans l'oreiller, honteux.
Relhnad le lui retira, lui attrapa les mains et les lui posa sur son membre.
La peau de Relhnad était impossiblement douce et en même temps son pénis était incroyablement dur.
Zibulinion caressa, d'abord, hésitant et plein de timidité, puis il s'enhardit jusqu'à ce que Relhnad finalement jouisse.
– Je suis désolé, déclara Zibulinion.
– C'est normal à ton âge et la fatigue n'aide pas ce genre de chose. Qu'importe... nous avons tout le temps de nous découvrir l'un l'autre.
– Adorable idiot ! C'est dangereux de dépasser ses limites. Enfin, je dis cela, mais moi aussi, j'ai exagéré entre l'aller-retour de ce matin et le soin à ton père... Bref, tu vas devoir rester coucher ici ce soir.
Avec lui, songea Zibulinion, soudain nerveux.
– Cela ne vous dérange pas ?
– Non, j'ai un grand lit dont je me sers peu et mon nuage.
Zibulinion qui avait caressé l'idée qu'ils dorment ensemble, émit un petit « oh » déçu.
– Ce n'est pas ce que tu veux, Zibu, n'est-ce pas ? glissa Relhnad à son oreille avant de s'emparer de sa bouche pour un baiser vanillé merveilleusement fondant, en le pressant plus étroitement contre lui.
Le cœur de Zibu se mit à battre à tout rompre dans sa poitrine. Allaient-ils faire l'amour ? Cela l'excitait et l'angoissait.
Relhnad reprit :
– Je pense toutefois que tu as eu ton compte d'émotion pour la journée et que nous sommes tout les deux fatigués, et même sans vouloir que notre première fois ensemble soit parfaite...
Le souvenir de son expérience sexuelle avec Neyenje revint à Zibulinion. Cela n'avait pas été satisfaisant du tout, mais l'endroit ne s'y prêtait pas et son cœur n'y était pas.
Zibulinion se libéra de l'étreinte de son professeur. Il se sentait rejeté en dépit de la validité des arguments avancés.
Comme s'il avait compris, Relhnad le reprit dans ses bras et lui relevant le menton, il l'embrassa longuement et en profondeur. Il l'entraîna ensuite dans la chambre à coucher.
Zibulinion le suivit, incertain. Son professeur avait-il changé d'avis ?
Il lui lâcha la main et commença à se déshabiller. L'adolescent retint son souffle. Relhnad était encore plus resplendissant qu'il ne se le rappelait : sa peau albâtre, son torse sculpté, ses longues jambes, son sexe posé tel un bijou dans un écrin de boucles dorées. Tout était harmonieux chez lui.
– A toi maintenant, déclara Relhnad.
– De quoi ?
– D'ôter tes vêtements.
– Mais...
Zibulinion avait honte de se montrer nu...
Ce qu'il savait parfaitement idiot, puisqu'il avait envie qu'ils soient intimes au plus haut degré, mais c'était plus fort que lui.
– Que ce soit pour dormir ou faire l'amour, c'est mieux, ne crois-tu pas ?
Dans un cas, comme dans l'autre, enlever tous ses habits n'étaient toutefois pas obligatoire.
– A l'école, on dort en chemise de nuit et chez moi, je portais un pyjama, balbutia Zibulinion, cherchant à retarder le moment.
– Je suis partisan du plus simple appareil.
– Vous voulez bien fermer les yeux ?
Relhnad obéit. Zibulinion se déshabilla en hâte et se cacha sous la couette, défaisant la belle ordonnance du lit.
– C'est bon ?
– Oui...
Relhnad rouvrit les yeux et rit doucement avant de se glisser à côté de Zibulinion.
– Je te préviens, je refuse d'éteindre la lumière. Je veux pouvoir t'admirer.
Zibulinion s'empourpra violemment. Relhnad le bâillonna d'un baiser avant qu'il ne puisse protester, collant leur corps l'un contre l'autre.
Le pénis de Zibulinion s'érigea immédiatement et il put sentir celui de Relhnad durcir. Quand la main de son professeur se referma sur son sexe, Zibulinion jouit instantanément et enfouit sa tête dans l'oreiller, honteux.
Relhnad le lui retira, lui attrapa les mains et les lui posa sur son membre.
La peau de Relhnad était impossiblement douce et en même temps son pénis était incroyablement dur.
Zibulinion caressa, d'abord, hésitant et plein de timidité, puis il s'enhardit jusqu'à ce que Relhnad finalement jouisse.
– Je suis désolé, déclara Zibulinion.
– C'est normal à ton âge et la fatigue n'aide pas ce genre de chose. Qu'importe... nous avons tout le temps de nous découvrir l'un l'autre.
2 commentaires:
Super un épisode du garçon fée ^o^
Je retrouve avec plaisir Relhnad et Zibu qui se découvre un peu plus intimement XD
Hâte de lire la suite :)
Super cet épisode *.* !
Vivement le suite <3
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