Cette noyade lui valut une journée de surveillance dans un centre hospitalier et de vives remontrances de ses parents sur sa séance de piscine hebdomadaire. Akamaru accepta d'y renoncer. L'incident qui avait suivi immédiatement le bouche à bouche le hantait trop vivement.
Pendant deux mois entiers, il ne se rendit pas à la piscine. Mais les sensations de bien être qu'il éprouvait en nageant se mirent à lui manquer et Akamaru finit par ne plus y tenir.
Il aurait pu aller dans une autre piscine, mais ses pas le menèrent tout naturellement à celle où il se rendait d'habitude. Avant d'entrer, pour calmer ses craintes et les battements de son cœur, Akamaru se dit qu'on était en début d'après-midi, qu'il n'y aurait pas les mêmes gens que ce matin-là et qu'après l'épisode de sa noyade, le maître nageur avait sûrement été renvoyé...
Dans le vestiaire, il ne reconnut personne, mais, près du bassin, il repéra de suite Daiki et sa nuée d'admiratrices. Leurs regards se croisèrent et Akamaru se figea sur place. Incapable de bouger, il vit Daiki s'arracher aux femmes qui l'entouraient et se rapprocher de lui.
– Je suis content que tu sois enfin de retour. Cela aurait été dommage que tu ne reviennes pas nager.
Akamaru essaya de parler, mais les mots se coincèrent dans sa gorge. Comme un idiot, il resta planté là, la bouche ouverte, les yeux fixés sur les lèvres de Daiki.
– Tout va bien ? demanda le maître nageur.
Akamaru tourna les talons et sortit précipitamment. Cependant, avant qu'il ne trouve refuge dans les vestiaires, Daiki l'attrapa par le bras. Au contact de cette main ferme et douce sur son bras nu, Akamaru sentit son sexe durcir. Qu'est-ce qui lui arrivait ? Comment pouvait-il être autant excité par un toucher aussi anodin ? Il n'avait jamais été attiré par les hommes auparavant.
– Viens par là, on pourra discuter au calme, d'accord ?
Akamaru se laissa faire. Il avait envie de se mettre à l'abri des regards. Il ne voulait pas rentrer dans le vestiaire des hommes avec une érection. Daiki le conduisit dans un bureau à peine plus grand qu'un placard à balais où se trouvait une étagère pleine d'objets hétéroclites, sans doute retrouvés dans les vestiaires.
Dès que Daiki eut refermé la porte, il glissa la main dans le maillot de Akamaru qui sursauta.
– Ne me fais pas croire que ce n'est pas ça que tu veux... murmura Daiki à l'oreille du jeune homme tout en faisant coulisser sa main sur le pénis de ce dernier.
Akamaru ne réussit pas à répondre, il ne parvint pas à secouer la tête, ni négativement, ni positivement. Toute la scène lui semblait surréaliste. D'une seconde à l'autre, il allait se réveiller. Le plaisir qu'il ressentait sous la main caressante était si intense qu'il éjacula au bout d'à peine deux minutes.
– Tu es un rapide, dis-moi...
La voix de Daiki était voilée, chargée de désir. Rouge de honte, Akamaru baissa les yeux et constata que le maître nageur était excité.
– Tu ne voudrais pas me prendre dans ta jolie bouche ? souffla Daiki en passant un doigt léger sur les lèvres du jeune homme.
Akamaru ouvrit de grands yeux. Que dire ? Qu'il n'avait jamais fait ça ? Que les hommes ne l'intéressaient pas ? Aucune réponse ne semblait appropriée. Il fallait refuser. Il allait... Daiki avait retiré son maillot et son sexe libéré se dressait fièrement. Akamaru déglutit. Comme envoûté, il se mit à genoux, leva une main tremblante sur le membre en érection et l'enfourna dans sa bouche. Sentir le sexe palpiter contre sa langue l'enivra étrangement. Longuement il lécha le membre brûlant, puis Daiki poussa un léger râle et Akamaru reçu un jet de sperme dans la bouche qu'il ne put faire autrement qu'avaler. Le goût était bizarre. Daiki aida le jeune homme à se relever.
– Tu es muet ? demanda-t-il.
C'était tout comme, se dit Akamaru, toujours incapable de répondre.
– Tu devrais prendre une douche avant de rentrer chez toi. Il faudrait mieux que tu nages une autre fois, tu as sali ton maillot.
Akamaru hocha la tête, très embarrassé. Il allait faire ça et oublier toute cette histoire... Il ne reviendrait jamais dans cette piscine où le maître nageur semblait avoir le pouvoir de lui faire perdre complètement la tête. Il posa la main sur la poignée de la porte, prêt à partir.
– Attends. Voici mon adresse et mon numéro de téléphone, n'hésite pas à venir me rendre visite. Je ne travaille à la piscine qu'un dimanche sur deux.
Comme Amakaru ne réagissait pas et ne faisait aucun geste pour récupérer le papier que lui tendait Daiki, celui-ci lui fourra dans la main et lui replia ses doigts dessus.
– Tu es vraiment un étrange garçon, murmura-t-il. Tu me plais, ajouta-t-il avec un sourire.
Pendant deux mois entiers, il ne se rendit pas à la piscine. Mais les sensations de bien être qu'il éprouvait en nageant se mirent à lui manquer et Akamaru finit par ne plus y tenir.
Il aurait pu aller dans une autre piscine, mais ses pas le menèrent tout naturellement à celle où il se rendait d'habitude. Avant d'entrer, pour calmer ses craintes et les battements de son cœur, Akamaru se dit qu'on était en début d'après-midi, qu'il n'y aurait pas les mêmes gens que ce matin-là et qu'après l'épisode de sa noyade, le maître nageur avait sûrement été renvoyé...
Dans le vestiaire, il ne reconnut personne, mais, près du bassin, il repéra de suite Daiki et sa nuée d'admiratrices. Leurs regards se croisèrent et Akamaru se figea sur place. Incapable de bouger, il vit Daiki s'arracher aux femmes qui l'entouraient et se rapprocher de lui.
– Je suis content que tu sois enfin de retour. Cela aurait été dommage que tu ne reviennes pas nager.
Akamaru essaya de parler, mais les mots se coincèrent dans sa gorge. Comme un idiot, il resta planté là, la bouche ouverte, les yeux fixés sur les lèvres de Daiki.
– Tout va bien ? demanda le maître nageur.
Akamaru tourna les talons et sortit précipitamment. Cependant, avant qu'il ne trouve refuge dans les vestiaires, Daiki l'attrapa par le bras. Au contact de cette main ferme et douce sur son bras nu, Akamaru sentit son sexe durcir. Qu'est-ce qui lui arrivait ? Comment pouvait-il être autant excité par un toucher aussi anodin ? Il n'avait jamais été attiré par les hommes auparavant.
– Viens par là, on pourra discuter au calme, d'accord ?
Akamaru se laissa faire. Il avait envie de se mettre à l'abri des regards. Il ne voulait pas rentrer dans le vestiaire des hommes avec une érection. Daiki le conduisit dans un bureau à peine plus grand qu'un placard à balais où se trouvait une étagère pleine d'objets hétéroclites, sans doute retrouvés dans les vestiaires.
Dès que Daiki eut refermé la porte, il glissa la main dans le maillot de Akamaru qui sursauta.
– Ne me fais pas croire que ce n'est pas ça que tu veux... murmura Daiki à l'oreille du jeune homme tout en faisant coulisser sa main sur le pénis de ce dernier.
Akamaru ne réussit pas à répondre, il ne parvint pas à secouer la tête, ni négativement, ni positivement. Toute la scène lui semblait surréaliste. D'une seconde à l'autre, il allait se réveiller. Le plaisir qu'il ressentait sous la main caressante était si intense qu'il éjacula au bout d'à peine deux minutes.
– Tu es un rapide, dis-moi...
La voix de Daiki était voilée, chargée de désir. Rouge de honte, Akamaru baissa les yeux et constata que le maître nageur était excité.
– Tu ne voudrais pas me prendre dans ta jolie bouche ? souffla Daiki en passant un doigt léger sur les lèvres du jeune homme.
Akamaru ouvrit de grands yeux. Que dire ? Qu'il n'avait jamais fait ça ? Que les hommes ne l'intéressaient pas ? Aucune réponse ne semblait appropriée. Il fallait refuser. Il allait... Daiki avait retiré son maillot et son sexe libéré se dressait fièrement. Akamaru déglutit. Comme envoûté, il se mit à genoux, leva une main tremblante sur le membre en érection et l'enfourna dans sa bouche. Sentir le sexe palpiter contre sa langue l'enivra étrangement. Longuement il lécha le membre brûlant, puis Daiki poussa un léger râle et Akamaru reçu un jet de sperme dans la bouche qu'il ne put faire autrement qu'avaler. Le goût était bizarre. Daiki aida le jeune homme à se relever.
– Tu es muet ? demanda-t-il.
C'était tout comme, se dit Akamaru, toujours incapable de répondre.
– Tu devrais prendre une douche avant de rentrer chez toi. Il faudrait mieux que tu nages une autre fois, tu as sali ton maillot.
Akamaru hocha la tête, très embarrassé. Il allait faire ça et oublier toute cette histoire... Il ne reviendrait jamais dans cette piscine où le maître nageur semblait avoir le pouvoir de lui faire perdre complètement la tête. Il posa la main sur la poignée de la porte, prêt à partir.
– Attends. Voici mon adresse et mon numéro de téléphone, n'hésite pas à venir me rendre visite. Je ne travaille à la piscine qu'un dimanche sur deux.
Comme Amakaru ne réagissait pas et ne faisait aucun geste pour récupérer le papier que lui tendait Daiki, celui-ci lui fourra dans la main et lui replia ses doigts dessus.
– Tu es vraiment un étrange garçon, murmura-t-il. Tu me plais, ajouta-t-il avec un sourire.
3 commentaires:
Hé ben quel épisode mon dieu *____* c'est que du bonheur merci ^_____^
J'ai hâte de voir comment Akamaru va réagir après tout ça :D
trop hate de lire la suite ^^
Les perso sont trop attachants =)
Merci pour l'episode =D
Je n'ai pas eu internet pendant quelques jours et je reviens pour me rendre compte que tu nous a mis une nouvelle histoire en ligne ^^
En tout cas j'aime bien comment débute touché coulé même le titre est drole. Il colle bien a l'histoire :)
Passe de bonnes fêtes et merci pour tous les épisodes que j'ai pu lire aujourd'hui :D
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