— Pourquoi n’as-tu rien dit quand tu es revenu ?
— Coom m’a ordonné de n’en rien faire et hélas Saag était de son avis.
C’était pourtant une sacrée nouvelle. Marianne et Sara qui étaient férues de mécaniques seraient elles à même de le réparer en utilisant des parties de l’autre si besoin ? C’était sans doute mission impossible avec une technologie inconnue, mais cela méritait d’être tenté… Ce dont les Turquoises n’avaient apparemment pas envie. Ils ne voulaient pas que les filles repartent, même si rien ne le garantissait.
Seulement, c’était ne pas tenir compte de la présence potentielle des affreux pustuleux sans scrupule.
— Il n’y avait personne dans le vaisseau ?
Il buta sur le mot nouveau et Aarp corrigea sa prononciation avant d’affirmer que non.
C’était rassurant. Mettre les filles au courant était toutefois essentiel. Hélas, cela impliquait de retourner au village et risquer d’être à nouveau emprisonné.
Joël poussa un soupir et tenta de se consoler en se disant que ce n’était de toute façon pas comme s’ils pouvaient vivre au beau milieu du désert sans ressources.
A moins qu’il n’y ait de quoi boire et manger quelque part dans le vaisseau.
En tout les cas, cela valait la peine d’explorer les lieux.
— Tu as trouvé quelque chose dedans ?
— Non, mais j’ai été vite. J’avais hâte de rentrer auprès de toi.
Après cette déclaration, Joël ne sut pas qui esquissa le premier geste, mais leurs lèvres se joignirent.
D’abord doux, le baiser s’approfondit, et leurs langues se mêlèrent, Aarp dévorant sa bouche d’une telle façon que Joël, en dépit de son état déplorable, commença à être excité.
Une main de Aarp enveloppa son pénis tandis que l’autre descendait sur ses fesses.
— Je suis sale, protesta faiblement Joël.
— Ce n’est pas un problème, riposta Aarp.
Cela n’en était peut-être pas un, mais il y en avait d’autres.
Et, bien que Joël apprécie les mains d’Aarp sur lui, ses caresses sur sa peau rougie étaient douloureuses.
Il s’écarta.
Oui, il avait beau avoir envie de l’alien, il était vital de découvrir s’il y avait quelque chose d’utile sur ce vaisseau.
Ce n’était pas parce que la pièce était vide à première vue qu’il ne passerait pas des choses intéressantes en utilisant le panneau de contrôle.
Pianoter dessus au hasard présentait évidemment des risques – comme déclencher une alarme qui attirerait les pustuleux – mais Joël était prêt à les prendre.
Ils n’avaient rien. Ils étaient nus. Aarp était d’ailleurs toujours aussi magnifique, de la pointe de ses cornes à celle de ses queues... Mais non, ce n’était pas le moment de se laisser distraire.
— Coom m’a ordonné de n’en rien faire et hélas Saag était de son avis.
C’était pourtant une sacrée nouvelle. Marianne et Sara qui étaient férues de mécaniques seraient elles à même de le réparer en utilisant des parties de l’autre si besoin ? C’était sans doute mission impossible avec une technologie inconnue, mais cela méritait d’être tenté… Ce dont les Turquoises n’avaient apparemment pas envie. Ils ne voulaient pas que les filles repartent, même si rien ne le garantissait.
Seulement, c’était ne pas tenir compte de la présence potentielle des affreux pustuleux sans scrupule.
— Il n’y avait personne dans le vaisseau ?
Il buta sur le mot nouveau et Aarp corrigea sa prononciation avant d’affirmer que non.
C’était rassurant. Mettre les filles au courant était toutefois essentiel. Hélas, cela impliquait de retourner au village et risquer d’être à nouveau emprisonné.
Joël poussa un soupir et tenta de se consoler en se disant que ce n’était de toute façon pas comme s’ils pouvaient vivre au beau milieu du désert sans ressources.
A moins qu’il n’y ait de quoi boire et manger quelque part dans le vaisseau.
En tout les cas, cela valait la peine d’explorer les lieux.
— Tu as trouvé quelque chose dedans ?
— Non, mais j’ai été vite. J’avais hâte de rentrer auprès de toi.
Après cette déclaration, Joël ne sut pas qui esquissa le premier geste, mais leurs lèvres se joignirent.
D’abord doux, le baiser s’approfondit, et leurs langues se mêlèrent, Aarp dévorant sa bouche d’une telle façon que Joël, en dépit de son état déplorable, commença à être excité.
Une main de Aarp enveloppa son pénis tandis que l’autre descendait sur ses fesses.
— Je suis sale, protesta faiblement Joël.
— Ce n’est pas un problème, riposta Aarp.
Cela n’en était peut-être pas un, mais il y en avait d’autres.
Et, bien que Joël apprécie les mains d’Aarp sur lui, ses caresses sur sa peau rougie étaient douloureuses.
Il s’écarta.
Oui, il avait beau avoir envie de l’alien, il était vital de découvrir s’il y avait quelque chose d’utile sur ce vaisseau.
Ce n’était pas parce que la pièce était vide à première vue qu’il ne passerait pas des choses intéressantes en utilisant le panneau de contrôle.
Pianoter dessus au hasard présentait évidemment des risques – comme déclencher une alarme qui attirerait les pustuleux – mais Joël était prêt à les prendre.
Ils n’avaient rien. Ils étaient nus. Aarp était d’ailleurs toujours aussi magnifique, de la pointe de ses cornes à celle de ses queues... Mais non, ce n’était pas le moment de se laisser distraire.
2 commentaires:
Oui il faut prioriser. ^-^
Est-ce qu'en la voyant ils ne vont pas croire que c'est autre chose ? S'ils trouvent de la nourriture sera-t-elle comestible pour eux ?
C'est vrai qu'ils sont protégé de la température extérieure mais s'il y a une autre tempête le vaisseau risque d'être enseveli sous plus de sable. D'ailleurs pour le réparer il faudra aussi le dessabler. Donc besoin de beaucoup d'aide…
Merci pour cette suite. ^^
Bonne remarque pour la nourriture... Et c'est vrai aussi que le vaisseau pour être davantage ensablé après une autre tempête...
Merci beaucoup pour tes commentaires qui sont inspirants !
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