*
Aarp avait dormi d’un sommeil léger et ne se sentait pas vraiment reposé. Au milieu du désert, la tranquillité n’existait pas et il fallait toujours rester sur ses gardes, que ce soit à l’intérieur d’un engin venu d’ailleurs ou dans les sables.
Jo s’était allongé à côté de lui. Il avait enfilé une nouvelle enveloppe, une à moitié ouverte sur le devant, si bien qu’Aarp voyait le sexe engorgé de Jo qui dépassait. C’était fascinant cet état d’excitation sans aucune simulation.
Le désir monta en Aarp, irrépressible. Comme il n’avait aucune certitude d’avoir le droit de toucher Jo alors que ce dernier dormait, il se contenta de se caresser lui-même, les yeux fixés sur l’extraplanétaire.
Jo émergea peu après, se redressant brusquement, en panique, avant de croiser son regard et de se calmer.
Son attention se porta ensuite sur l’entrejambe de Aarp et il passa sa petite langue rose dépourvue de fourche sur ses lèvres.
Ce n’était pas une invitation à l’embrasser, se rappela Aarp. La tentation était pourtant grande de le faire. Il voulait lécher la moindre parcelle de la peau de Jo, mais pas avant que ce dernier n’ait manifesté qu’il était partant, car la veille, il avait repoussé ses caresses pour explorer le vaisseau qui, contre toute attente, n’était pas le sien, mais un dans lequel il avait été embarqué de force.
Cela diminuait d’autant les chances que les extraplanétaires puissent repartir, ce qui était aussi bien pour son peuple, mais horrible pour celui de Jo qui n’avait même pas choisi de partir explorer le monde avec les risques que cela comprenait.
Aarp relâcha ses pénis, plus d’humeur à se donner du plaisir.
Rien ne garantissait vraiment que ceux qui avaient capturés et embarqués Jo et ses camarades ne soient en vie quelque part dans les tréfonds du vaisseau ou dans le désert. Et, même s’il n’y en avait aucun sur la planète actuellement, ils reviendraient peut-être. Cependant, à moins qu’ils ne trouvent le moyen d’éviter les fréquentes tempêtes qui agitaient l’atmosphère, ils ne parviendraient à rien.
Aarp se devait tout de même d’informer son clan. La situation était hélas compliquée après la manière dont Jo avait été traité.
— Aarp… ?
La voix de Jo tira Aarp du tour sombre qu’avait pris ses pensées.
Il attendit que l’extraplanétaire formule sa question.
— Est-ce que… Veux-tu… Nous devons rentrer au village.
Les hésitations de Jo étaient adorables et son courage indéniable, car Jo risquait d’être à nouveau enfermé. D’ailleurs, Aarp le serait peut-être aussi cette fois.
Jo dit quelque chose dans sa langue, tout en pointant les boîtes. Leur contenu était de toute évidence utile pour les extraplanétaires, y compris cette étrange eau pétillante. Il était logique que Jo veuille en informer ses amies.
Aarp avait dormi d’un sommeil léger et ne se sentait pas vraiment reposé. Au milieu du désert, la tranquillité n’existait pas et il fallait toujours rester sur ses gardes, que ce soit à l’intérieur d’un engin venu d’ailleurs ou dans les sables.
Jo s’était allongé à côté de lui. Il avait enfilé une nouvelle enveloppe, une à moitié ouverte sur le devant, si bien qu’Aarp voyait le sexe engorgé de Jo qui dépassait. C’était fascinant cet état d’excitation sans aucune simulation.
Le désir monta en Aarp, irrépressible. Comme il n’avait aucune certitude d’avoir le droit de toucher Jo alors que ce dernier dormait, il se contenta de se caresser lui-même, les yeux fixés sur l’extraplanétaire.
Jo émergea peu après, se redressant brusquement, en panique, avant de croiser son regard et de se calmer.
Son attention se porta ensuite sur l’entrejambe de Aarp et il passa sa petite langue rose dépourvue de fourche sur ses lèvres.
Ce n’était pas une invitation à l’embrasser, se rappela Aarp. La tentation était pourtant grande de le faire. Il voulait lécher la moindre parcelle de la peau de Jo, mais pas avant que ce dernier n’ait manifesté qu’il était partant, car la veille, il avait repoussé ses caresses pour explorer le vaisseau qui, contre toute attente, n’était pas le sien, mais un dans lequel il avait été embarqué de force.
Cela diminuait d’autant les chances que les extraplanétaires puissent repartir, ce qui était aussi bien pour son peuple, mais horrible pour celui de Jo qui n’avait même pas choisi de partir explorer le monde avec les risques que cela comprenait.
Aarp relâcha ses pénis, plus d’humeur à se donner du plaisir.
Rien ne garantissait vraiment que ceux qui avaient capturés et embarqués Jo et ses camarades ne soient en vie quelque part dans les tréfonds du vaisseau ou dans le désert. Et, même s’il n’y en avait aucun sur la planète actuellement, ils reviendraient peut-être. Cependant, à moins qu’ils ne trouvent le moyen d’éviter les fréquentes tempêtes qui agitaient l’atmosphère, ils ne parviendraient à rien.
Aarp se devait tout de même d’informer son clan. La situation était hélas compliquée après la manière dont Jo avait été traité.
— Aarp… ?
La voix de Jo tira Aarp du tour sombre qu’avait pris ses pensées.
Il attendit que l’extraplanétaire formule sa question.
— Est-ce que… Veux-tu… Nous devons rentrer au village.
Les hésitations de Jo étaient adorables et son courage indéniable, car Jo risquait d’être à nouveau enfermé. D’ailleurs, Aarp le serait peut-être aussi cette fois.
Jo dit quelque chose dans sa langue, tout en pointant les boîtes. Leur contenu était de toute évidence utile pour les extraplanétaires, y compris cette étrange eau pétillante. Il était logique que Jo veuille en informer ses amies.
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