Ils s’engagèrent malgré tout dans le passage, Aarp en premier, sur ses gardes.
Ils ne croisèrent âme qui vive dedans et la pièce sur laquelle ils débouchèrent ne contenait que de grandes boîtes métalliques rectangulaires qui se révélèrent verrouillées.
Alors que Joël se désespérait de comprendre leur mécanisme d’ouverture, toutes les couvercles se soulevèrent dans un bel ensemble. Aarp, sur un des murs, avait découvert le bon bouton. C’était brillant de sa part.
Joël était parti pour l’embrasser quand il aperçut des bouteilles et des canettes. Il examina de plus près. Oui, c’était un assortiment de boissons on ne peut plus terriennes : jus de fruits en tout genre, sodas, eau parfumées et gazeuses.
Il s’empara aussitôt d’une des bouteilles en lança une à Aarp qui l’attrapa au vol et but goulûment.
Le Turquoise avala une gorgée et fit la grimace. Les bulles n’étaient de toute évidence pas à son goût.
Joël s’intéressa aux autres boîtes. L’une d’elles était remplie à ras bord de bijoux : colliers, bagues, bracelets, boucles d’oreille… Un vrai trésor d’Ali Baba qui avait cependant moins de valeur que les rafraîchissements. Une autre était pleine à craquer de vêtements, à première vue féminins. C’était une aubaine, même si Joël doutait qu’ils soient à sa taille. Les filles allaient être enchantées. Quelque part, c’était mieux que la mince possibilité de peut-être pouvoir réparer le vaisseau pour repartir...
Joël continua à regarder dans les boîtes. Il trouva des chaussures à la pelle, des coussins, des jouets pour enfants, des conserves et des biscuits dont il s’empressa d’ouvrir un paquet.
Quand il voulut en donner à Aarp, il se rendit compte que ce dernier s’était allongé en chien de fusil sur le sol, juste devant l’ouverture de la pièce, et s’était endormi.
Il faut dire que le Turquoise l’avait porté des heures durant et au pas de course. Il était logique que, gagné par l’épuisement et pas aussi intéressé que Joël par ce que renfermait les boîtes, il ait choisi de prendre du repos.
Joël, tout en grignotant un biscuit, reprit son inventaire. Des godemichets et autres joujoux sexuels. Des médicaments. Il fouilla dans le lot et dégota une crème contre les brûlures dont il se badigeonna. L’effet d’apaisement fut presque immédiat. Étouffant un bâillement, il se décida à faire comme Aarp. Il récupéra quelques cousins, enfila un ample peignoir en soie déniché parmi la masse de vêtements et s’installa à côté de l’alien.
Une fois qu’ils auraient récupéré des forces, si Aarp le voulait bien, ils regagneraient le village afin de mettre au courant les filles de l’existence du vaisseau et de son providentiel contenu.
Ils ne croisèrent âme qui vive dedans et la pièce sur laquelle ils débouchèrent ne contenait que de grandes boîtes métalliques rectangulaires qui se révélèrent verrouillées.
Alors que Joël se désespérait de comprendre leur mécanisme d’ouverture, toutes les couvercles se soulevèrent dans un bel ensemble. Aarp, sur un des murs, avait découvert le bon bouton. C’était brillant de sa part.
Joël était parti pour l’embrasser quand il aperçut des bouteilles et des canettes. Il examina de plus près. Oui, c’était un assortiment de boissons on ne peut plus terriennes : jus de fruits en tout genre, sodas, eau parfumées et gazeuses.
Il s’empara aussitôt d’une des bouteilles en lança une à Aarp qui l’attrapa au vol et but goulûment.
Le Turquoise avala une gorgée et fit la grimace. Les bulles n’étaient de toute évidence pas à son goût.
Joël s’intéressa aux autres boîtes. L’une d’elles était remplie à ras bord de bijoux : colliers, bagues, bracelets, boucles d’oreille… Un vrai trésor d’Ali Baba qui avait cependant moins de valeur que les rafraîchissements. Une autre était pleine à craquer de vêtements, à première vue féminins. C’était une aubaine, même si Joël doutait qu’ils soient à sa taille. Les filles allaient être enchantées. Quelque part, c’était mieux que la mince possibilité de peut-être pouvoir réparer le vaisseau pour repartir...
Joël continua à regarder dans les boîtes. Il trouva des chaussures à la pelle, des coussins, des jouets pour enfants, des conserves et des biscuits dont il s’empressa d’ouvrir un paquet.
Quand il voulut en donner à Aarp, il se rendit compte que ce dernier s’était allongé en chien de fusil sur le sol, juste devant l’ouverture de la pièce, et s’était endormi.
Il faut dire que le Turquoise l’avait porté des heures durant et au pas de course. Il était logique que, gagné par l’épuisement et pas aussi intéressé que Joël par ce que renfermait les boîtes, il ait choisi de prendre du repos.
Joël, tout en grignotant un biscuit, reprit son inventaire. Des godemichets et autres joujoux sexuels. Des médicaments. Il fouilla dans le lot et dégota une crème contre les brûlures dont il se badigeonna. L’effet d’apaisement fut presque immédiat. Étouffant un bâillement, il se décida à faire comme Aarp. Il récupéra quelques cousins, enfila un ample peignoir en soie déniché parmi la masse de vêtements et s’installa à côté de l’alien.
Une fois qu’ils auraient récupéré des forces, si Aarp le voulait bien, ils regagneraient le village afin de mettre au courant les filles de l’existence du vaisseau et de son providentiel contenu.
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