— Pourquoi révéler ton sexe maintenant, du coup ? demanda Lilou.
Encore une bonne question. C’était à cause de Cuueil et de son chantage, et aussi parce que Joël était las de se cacher.
Il n’eut cependant pas le temps de répondre, toutes les filles l’encerclèrent, les accusatrices comme les compréhensives.
Emilie exprima son sentiment de trahison que partageait Sara et Marianne, Isabelle comme Zara dirent qu’elles le trouvaient répugnant. D’autres voulaient davantage d’explications sur le travestissement de Joël. En d’autres termes questions et déclarations fusaient de toutes parts. C’était le bazar total.
Joël était en train de penser que la situation ne pouvait guère être pire quand un large groupe de Turquoises se frayèrent un chemin parmi les filles.
Sur la berge, Aarp était retenu par pas moins de cinq Turquoises dont Cuueil et Saag.
Les aliens attrapèrent Joël à son tour, ignorant les exclamations surprises des filles. Ils le soulevèrent à bout de bras et l’emportèrent, sans réagir aux protestations de Joël.
La situation virait au cauchemar total. Il était nu, vulnérable et à la merci d’aliens qui ne semblaient plus du tout hospitaliers.
Miranda suivit, mais les Turquoises accélèrent l’allure et la semèrent, échangeant des propos entre eux à un débit aussi rapide qu’incompréhensible.
La crainte de Joël d’être abandonné dans le désert pour y mourir était de retour, plus forte que jamais.
Ils étaient cependant toujours au milieu de la végétation quand les Turquoises s’arrêtèrent. Le soulagement de Joël fut de courte durée.
Les aliens qui l’avaient tenu en l’air, à bout de bras, comme un pestiféré le jetèrent dans un trou creusé dans le sol.
Joël, secoué par la course et endolori par la chute, aperçut brièvement un rond de ciel bleu avant qu’il ne soit masqué.
Pour la première fois depuis qu’il avait atterri sur la planète des Turquoises, Joël se retrouva dans le noir.
C’eût été bienvenu s’il n’avait pas été au fond du trou, littéralement et figurativement.
Le silence aussi régnait, contrastant avec le remue-ménage d’un peu plus tôt.
Il faisait limite frais. Ou plutôt moins chaud que d’habitude. Sûrement parce que Joël n’avait pas de vêtement sur le dos et aussi parce qu’il était sous la terre. C’était une découverte intéressante, mais il n’y avait personne à qui en faire part.
Les filles, même si elles n’étaient pas toutes fâchées, n’étaient pas bien disposées à son égard et étaient au village tandis que les Turquoises jugeaient de toute évidence qu’il avait commis un crime. Autrement, ils ne l’auraient pas enfermé.
Encore une bonne question. C’était à cause de Cuueil et de son chantage, et aussi parce que Joël était las de se cacher.
Il n’eut cependant pas le temps de répondre, toutes les filles l’encerclèrent, les accusatrices comme les compréhensives.
Emilie exprima son sentiment de trahison que partageait Sara et Marianne, Isabelle comme Zara dirent qu’elles le trouvaient répugnant. D’autres voulaient davantage d’explications sur le travestissement de Joël. En d’autres termes questions et déclarations fusaient de toutes parts. C’était le bazar total.
Joël était en train de penser que la situation ne pouvait guère être pire quand un large groupe de Turquoises se frayèrent un chemin parmi les filles.
Sur la berge, Aarp était retenu par pas moins de cinq Turquoises dont Cuueil et Saag.
Les aliens attrapèrent Joël à son tour, ignorant les exclamations surprises des filles. Ils le soulevèrent à bout de bras et l’emportèrent, sans réagir aux protestations de Joël.
La situation virait au cauchemar total. Il était nu, vulnérable et à la merci d’aliens qui ne semblaient plus du tout hospitaliers.
Miranda suivit, mais les Turquoises accélèrent l’allure et la semèrent, échangeant des propos entre eux à un débit aussi rapide qu’incompréhensible.
La crainte de Joël d’être abandonné dans le désert pour y mourir était de retour, plus forte que jamais.
Ils étaient cependant toujours au milieu de la végétation quand les Turquoises s’arrêtèrent. Le soulagement de Joël fut de courte durée.
Les aliens qui l’avaient tenu en l’air, à bout de bras, comme un pestiféré le jetèrent dans un trou creusé dans le sol.
Joël, secoué par la course et endolori par la chute, aperçut brièvement un rond de ciel bleu avant qu’il ne soit masqué.
Pour la première fois depuis qu’il avait atterri sur la planète des Turquoises, Joël se retrouva dans le noir.
C’eût été bienvenu s’il n’avait pas été au fond du trou, littéralement et figurativement.
Le silence aussi régnait, contrastant avec le remue-ménage d’un peu plus tôt.
Il faisait limite frais. Ou plutôt moins chaud que d’habitude. Sûrement parce que Joël n’avait pas de vêtement sur le dos et aussi parce qu’il était sous la terre. C’était une découverte intéressante, mais il n’y avait personne à qui en faire part.
Les filles, même si elles n’étaient pas toutes fâchées, n’étaient pas bien disposées à son égard et étaient au village tandis que les Turquoises jugeaient de toute évidence qu’il avait commis un crime. Autrement, ils ne l’auraient pas enfermé.
2 commentaires:
Oh le pauvre !
Ils comptent le laisser combien de temps ?
Et Aarp qu'est-ce qu'il va avoir ?
Merci pour cette suite. ^^
Il faudra attendre jeudi pour connaître le sort de Aarp. Demain est encore consacré au pauvre Joël.
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