Même les extraplanétaires qui s’étaient désintéressées du sort de Jo étaient venues satisfaire leur curiosité. Elles voulaient sans doute savoir d’où venait la nouvelle enveloppe soyeuse de Jo.
Coom et d’autres Pizziens affichaient un visage furieux. Il faut dire qu’Aarp avait transgressé les règles du clan en libérant Jo et qu’il revenait maintenant avec lui, comme si de rien n’était.
— Comment as-tu pu ?! s’insurgea Coom.
Au grand désespoir de Aarp, il ordonna à Chaan et Cuueil de s’emparer de Jo.
Avant toutefois que ces derniers ne puissent l’arracher à ses bras, Miranda s’interposa.
— Arrêtez ! Laissez-les ! Coom, je croyais que nous nous étions mis d’accord ! s’exclama-t-elle, poings sur les hanches.
Aarp savait déjà qu’elle était de leur côté, mais il réalisait à présent qu’elle constituait vraiment une alliée de taille en tant que compagne de Coom.
*
Joël avait eu conscience depuis le début que leur retour au village ne serait pas sans causer problème et avait demandé à revenir en connaissance de cause parce que le vaisseau échoué dans le désert et son contenu était plus important que le sort qui lui serait réservé.
Toujours est-il qu’il était bien content que Miranda prenne leur défense. Elle n’était d’ailleurs à priori pas la seule, à en croire certains murmures.
Les filles n’étaient malgré tout pas toute bienveillantes à son égard.
— Où as-tu trouvé ce peignoir ? Qu’est-ce que tu nous as caché en plus de ton sexe, hein ? lança Zara.
Elle n’avait évidemment pas utilisé la langue des Turquoises, comme Miranda, s’adressant uniquement aux autres filles.
Bien que Joël ne pense pas mériter tant de venimosité, il répondit malgré tout.
Le vaisseau et sa cargaison fit momentanément oublier sa tromperie vis-à-vis de son sexe.
Le brouhaha régna longtemps jusqu’à ce qu’un sifflement strident de Coom réduise tout le monde au silence.
— Aarp a désobéi et doit être puni, annonça-t-il.
Le vaisseau n’était de tout évidence pas une priorité pour lui. Il avait cherché à cacher son existence.
Miranda émit une protestation qui n’empêcha pas Coom de continuer :
— Mais, puisqu’il est le seul qui peut nous guider jusqu’au vaisseau, sa punition attendra.
Cela ne disait rien qui vaille à Joël, ni pour Aarp, ni pour lui-même. Nul n’avait besoin de lui pour effectuer le trajet. Allait-il être à nouveau mis au trou ?
Coom et d’autres Pizziens affichaient un visage furieux. Il faut dire qu’Aarp avait transgressé les règles du clan en libérant Jo et qu’il revenait maintenant avec lui, comme si de rien n’était.
— Comment as-tu pu ?! s’insurgea Coom.
Au grand désespoir de Aarp, il ordonna à Chaan et Cuueil de s’emparer de Jo.
Avant toutefois que ces derniers ne puissent l’arracher à ses bras, Miranda s’interposa.
— Arrêtez ! Laissez-les ! Coom, je croyais que nous nous étions mis d’accord ! s’exclama-t-elle, poings sur les hanches.
Aarp savait déjà qu’elle était de leur côté, mais il réalisait à présent qu’elle constituait vraiment une alliée de taille en tant que compagne de Coom.
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Joël avait eu conscience depuis le début que leur retour au village ne serait pas sans causer problème et avait demandé à revenir en connaissance de cause parce que le vaisseau échoué dans le désert et son contenu était plus important que le sort qui lui serait réservé.
Toujours est-il qu’il était bien content que Miranda prenne leur défense. Elle n’était d’ailleurs à priori pas la seule, à en croire certains murmures.
Les filles n’étaient malgré tout pas toute bienveillantes à son égard.
— Où as-tu trouvé ce peignoir ? Qu’est-ce que tu nous as caché en plus de ton sexe, hein ? lança Zara.
Elle n’avait évidemment pas utilisé la langue des Turquoises, comme Miranda, s’adressant uniquement aux autres filles.
Bien que Joël ne pense pas mériter tant de venimosité, il répondit malgré tout.
Le vaisseau et sa cargaison fit momentanément oublier sa tromperie vis-à-vis de son sexe.
Le brouhaha régna longtemps jusqu’à ce qu’un sifflement strident de Coom réduise tout le monde au silence.
— Aarp a désobéi et doit être puni, annonça-t-il.
Le vaisseau n’était de tout évidence pas une priorité pour lui. Il avait cherché à cacher son existence.
Miranda émit une protestation qui n’empêcha pas Coom de continuer :
— Mais, puisqu’il est le seul qui peut nous guider jusqu’au vaisseau, sa punition attendra.
Cela ne disait rien qui vaille à Joël, ni pour Aarp, ni pour lui-même. Nul n’avait besoin de lui pour effectuer le trajet. Allait-il être à nouveau mis au trou ?
2 commentaires:
Je me demande quel punition ils vont avoir.
Si les langues de vipère peuvent se taire se serait une bonne chose. ><
Merci pour cette suite.
Je crois que ce serait trop demandé qu'elles soient silencieuses, mais cela ne veut pas dire non plus que les sympathiques vont se taire ! :)
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