Ordre ou pas ordre, Alex quitta finalement son poste. Le couloir était vide. Il se dirigea vers les toilettes et y entra à la recherche de Jason. Il scanna les lieux et ne détecta aucune présence humaine.
Il se rendit aux toilettes suivants. Il croisa un garçon, mais ce n’était pas Jason. Il continua sa recherche jusqu’à tomber sur deux adolescents qui en maintenait la tête d’un troisième dans la cuvette des toilettes. Il s’agissait de Valérie, non, Valérian. Il se débattait pour échapper à l’emprise des deux inconnus. Conclusion, ce n’était pas sa volonté d’utiliser les toilettes de la sorte, ce qui était logique vu que ce n’était pas la bonne manière de s’en servir.
Alex approcha.
Les deux garçons le remarquèrent.
— Dégage ! s’écria l’un d’entre eux.
Alex ne pouvait pas partir, pas alors qu’un humain était dans une situation inconfortable. Il était programmé pour secourir les humains.
— Non. Je crois que vous vous trompez dans l’usage des toilettes.
— C’est toi qui te goures mon gars. File avant que l’on te rafraîchisses les idées à toi aussi !
Alex avança.
Le garçon qui lui avait adressé la parole tira à nouveau la chasse d’eau avant de lâcher Valérie, non, Valérian. Dommage qu’Alex n’ait pas l’autorisation d’effacer la première fausse donnée de sa mémoire. Il n’avait pas le droit d’effacer quoi que ce soit. Seul Jason et son père étaient habilités à le faire. Il y avait un moyen de contourner le problème, cependant : Valérie, non, Valérian pouvait être abrégé en Val.
L’autre garçon continua à garder Val en place.
— Tu es un des nouveaux, non ? Ce que tu dois comprendre, c’est que la leçon que nous donnons ici à ce sale noir est nécessaire. Il n’avait pas à regarder mon engin et celui de mon pote comme ça.
Val protesta en essayant de se redresser.
Des engins ? Fallait-il en déduire qu’ils étaient des machines, comme Alex ? Non, son scanner était formel : ils étaient 100 % humains. D’ailleurs, son père le lui avait assuré, il n’y en avait pas d’autre au monde comme lui.
— En ce cas, le lavabo n’aurait-il pas été plus pratique ?
— Tu te crois drôle ?
Le garçon tendit le bras, selon tout probabilité pour attraper. Alex préféra esquiver, ce qui ne fit, d’après son programme de reconnaissance des émotions, qu’enrager davantage son interlocuteur qui voulut à nouveau l’empoigner.
Alex ne le laissa pas y parvenir. Il pouvait être sans peine plus rapide qu’un humain.
Il se rendit aux toilettes suivants. Il croisa un garçon, mais ce n’était pas Jason. Il continua sa recherche jusqu’à tomber sur deux adolescents qui en maintenait la tête d’un troisième dans la cuvette des toilettes. Il s’agissait de Valérie, non, Valérian. Il se débattait pour échapper à l’emprise des deux inconnus. Conclusion, ce n’était pas sa volonté d’utiliser les toilettes de la sorte, ce qui était logique vu que ce n’était pas la bonne manière de s’en servir.
Alex approcha.
Les deux garçons le remarquèrent.
— Dégage ! s’écria l’un d’entre eux.
Alex ne pouvait pas partir, pas alors qu’un humain était dans une situation inconfortable. Il était programmé pour secourir les humains.
— Non. Je crois que vous vous trompez dans l’usage des toilettes.
— C’est toi qui te goures mon gars. File avant que l’on te rafraîchisses les idées à toi aussi !
Alex avança.
Le garçon qui lui avait adressé la parole tira à nouveau la chasse d’eau avant de lâcher Valérie, non, Valérian. Dommage qu’Alex n’ait pas l’autorisation d’effacer la première fausse donnée de sa mémoire. Il n’avait pas le droit d’effacer quoi que ce soit. Seul Jason et son père étaient habilités à le faire. Il y avait un moyen de contourner le problème, cependant : Valérie, non, Valérian pouvait être abrégé en Val.
L’autre garçon continua à garder Val en place.
— Tu es un des nouveaux, non ? Ce que tu dois comprendre, c’est que la leçon que nous donnons ici à ce sale noir est nécessaire. Il n’avait pas à regarder mon engin et celui de mon pote comme ça.
Val protesta en essayant de se redresser.
Des engins ? Fallait-il en déduire qu’ils étaient des machines, comme Alex ? Non, son scanner était formel : ils étaient 100 % humains. D’ailleurs, son père le lui avait assuré, il n’y en avait pas d’autre au monde comme lui.
— En ce cas, le lavabo n’aurait-il pas été plus pratique ?
— Tu te crois drôle ?
Le garçon tendit le bras, selon tout probabilité pour attraper. Alex préféra esquiver, ce qui ne fit, d’après son programme de reconnaissance des émotions, qu’enrager davantage son interlocuteur qui voulut à nouveau l’empoigner.
Alex ne le laissa pas y parvenir. Il pouvait être sans peine plus rapide qu’un humain.
3 commentaires:
C'est deux là mérite une bonne leçon, comme se retrouver à la place de Valérian. ^-^
Merci pour cet épisode. ^^
Exact !
Autrement, j'avoue, je n'ose pas compter le nombre de mes personnages à qui ils arrivent des bricoles aux toilettes !!
J'espère bien qu'Alex va donner une bonne leçon à ces garçons ^_^
Merci pour l'épisode, j'ai très hâte de lire la suite :D
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