Zack comme Nino auraient vraiment aimé sauver la maison ou du moins devenir propriétaires du terrain, mais Kazuya s'y opposant, ils renoncèrent.
Ils eurent un moment de répit, le temps que le chantier commence vraiment, puis les premiers murs tombèrent et Kazuya déclara qu'il fallait mieux que Nino et Zack ne viennent pas pendant la durée des travaux. Cela pouvait être dangereux.
En une semaine, deux grand maximum, tout devrait être terminé. Zack suggéra que Kazuya demeure dans l'un d'eux durant cette période, mais le fantôme refusa, expliquant qu'une possession prolongée était mauvaise pour l'hôte, même quand elle était volontaire.
Comme il était impossible de le faire changer d'avis, que le danger était réel – Nino s'était fait interpeler par l'un des ouvriers qui s'était attardé sur le chantier – ils se retrouvèrent à nouveau tous les deux.
D'un commun accord, ils décidèrent de mettre ce temps à profit pour trouver une solution afin que Kazuya ne soit plus coincé au 7 rue des Sycomores.
Zack passa des heures et des heures sur internet à chercher des informations sur les fantômes et leur attachement au lieu de leur mort. C'était délicat car la plupart des informations disponibles se basaient sur des mythes et légendes ou bien étaient des élucubrations d'illuminés. Nino, lui, ramena des tas de livres de la bibliothèque dont il tenta d'extraire quelque chose d'utile.
Il perdit patience le premier, il faut dire que c'était plus laborieux de tourner des pages et des pages que de papillonner ci et là sur la toile.
— Merde ! Tout ça ne nous mène à rien ! Les trois quart des gens qui ont écrit ces bouquins n'ont jamais dû rencontrer un vrai fantôme !
Zack referma son ordinateur portable et rejoignit Nino sur le canapé duquel il évacua quelques livres pour s'asseoir.
— J'ai moi aussi de la peine à savoir ce qui peut être vrai dans tout ce que je lis. Le seul truc potable que j'ai relevé, c'est que les fantômes peuvent aussi être lié à l'arme qui les a conduit à être dans cet état.
— Le sabre avec lequel Kazuya a été tué a disparu depuis longtemps. Il a peut-être même été détruit.
— Il pourrait tout aussi bien être dans un musée ou chez un collectionneur.
— Mais de toute façon, on sait de manière sûre que Kazuya est attaché au 7 rue des Sycomores comme une chèvre ou un chien à son piquet. Il y retourne après chaque possession.
La comparaison donna une idée à Zack :
— Cela lui est-il possible de posséder un animal ?
— Non, je ne crois pas. Depuis que ma vue s'est réveillée, seuls des êtres humains ont pris possession de mon corps.
Zack fut déçu que sa piste comme son idée soient rejetées, mais il était forcé de reconnaître qu'elles ne fonctionnaient pas. Cela leur aurait fait une belle jambe que Kazuya soit à l'intérieur d'un chat pour leur miauler aux oreilles ou de retrouver le sabre qui lui avait ôté la vie s'il n'existait aucune méthode pour que l'arme devienne son point d'ancrage.
Ils eurent un moment de répit, le temps que le chantier commence vraiment, puis les premiers murs tombèrent et Kazuya déclara qu'il fallait mieux que Nino et Zack ne viennent pas pendant la durée des travaux. Cela pouvait être dangereux.
En une semaine, deux grand maximum, tout devrait être terminé. Zack suggéra que Kazuya demeure dans l'un d'eux durant cette période, mais le fantôme refusa, expliquant qu'une possession prolongée était mauvaise pour l'hôte, même quand elle était volontaire.
Comme il était impossible de le faire changer d'avis, que le danger était réel – Nino s'était fait interpeler par l'un des ouvriers qui s'était attardé sur le chantier – ils se retrouvèrent à nouveau tous les deux.
D'un commun accord, ils décidèrent de mettre ce temps à profit pour trouver une solution afin que Kazuya ne soit plus coincé au 7 rue des Sycomores.
Zack passa des heures et des heures sur internet à chercher des informations sur les fantômes et leur attachement au lieu de leur mort. C'était délicat car la plupart des informations disponibles se basaient sur des mythes et légendes ou bien étaient des élucubrations d'illuminés. Nino, lui, ramena des tas de livres de la bibliothèque dont il tenta d'extraire quelque chose d'utile.
Il perdit patience le premier, il faut dire que c'était plus laborieux de tourner des pages et des pages que de papillonner ci et là sur la toile.
— Merde ! Tout ça ne nous mène à rien ! Les trois quart des gens qui ont écrit ces bouquins n'ont jamais dû rencontrer un vrai fantôme !
Zack referma son ordinateur portable et rejoignit Nino sur le canapé duquel il évacua quelques livres pour s'asseoir.
— J'ai moi aussi de la peine à savoir ce qui peut être vrai dans tout ce que je lis. Le seul truc potable que j'ai relevé, c'est que les fantômes peuvent aussi être lié à l'arme qui les a conduit à être dans cet état.
— Le sabre avec lequel Kazuya a été tué a disparu depuis longtemps. Il a peut-être même été détruit.
— Il pourrait tout aussi bien être dans un musée ou chez un collectionneur.
— Mais de toute façon, on sait de manière sûre que Kazuya est attaché au 7 rue des Sycomores comme une chèvre ou un chien à son piquet. Il y retourne après chaque possession.
La comparaison donna une idée à Zack :
— Cela lui est-il possible de posséder un animal ?
— Non, je ne crois pas. Depuis que ma vue s'est réveillée, seuls des êtres humains ont pris possession de mon corps.
Zack fut déçu que sa piste comme son idée soient rejetées, mais il était forcé de reconnaître qu'elles ne fonctionnaient pas. Cela leur aurait fait une belle jambe que Kazuya soit à l'intérieur d'un chat pour leur miauler aux oreilles ou de retrouver le sabre qui lui avait ôté la vie s'il n'existait aucune méthode pour que l'arme devienne son point d'ancrage.
2 commentaires:
Merci pour l'épisode, cela fais plaisir de retrouver nos héros même si ce n'est pas la joie pour eux dans leur tentative de trouver une solution pour Kazuya ^^
J'ai hâte de lire la suite comme toujours
Dsl du retard =S
L'idée du point d'ancrage est sympa ^^
Mais on sait pas ce qu'ils vont construire sur le terrain ...
Peur être des appartements à louer qui sait ...
Merci, je vais vite lire la suite =)
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