La mère de Zack fut ravie d'apprendre qu'il ne venait pas seul.
Zack assura à Nino qu'il serait accueilli à bras ouverts, mais arrivés devant la porte du pavillon bâti dans les années 60 où Zack avait vécu toute son enfance, Nino, au comble de la nervosité, était prêt à faire demi-tour.
Il dut le persuader de n'en rien faire : mais oui, Nino ferait peut-être des bourdes, mais le plus grand impair qu'il pouvait commettre, c'était bien d'annuler sa visite à la dernière minute, et d'ailleurs, étant venu avec lui en moto, comment comptait-il repartir ? D'accord, il pourrait toujours trouver un café et un hôtel, mais c'était ridicule.
Une fois n'est pas coutume, son père ouvrit la porte avec sa mère - il n'était pas du genre à se lever quand ça sonnait, mais la curiosité envers le petit ami de son fils avait dû l'emporter sur la flemme.
Elle était habillée sur son trente-et-un, maquillée et pomponnée comme pour les grandes occasions.
— Entrez, entrez, vous devez être frigorifiés.
Nino, le nez rougi par le froid, secoua la tête. Zack le poussa gentiment à l'intérieur et referma la porte sur eux dès fois qu'il ait dans l'idée de prendre la poudre d'escampette. C'était la première fois que Nino rencontrait des parents en tant que petit ami et il n'en menait pas large. Ce qu'il ne réalisait pas, c'est que c'était aussi une première pour Zack : jamais, depuis son coming-out, n'avait-il présenté aucun garçon à ses parents.
A priori, Zack n'aurait pas à faire connaissance avec ceux du jeune homme, Nino se refusant à les revoir, ce qui était compréhensible vu tout ce qui s'était passé entre eux à cause de l'interférence des fantômes.
Sa mère les invita à s'asseoir dans le salon sur les vieux canapé et fauteuils en cuir patinés par les ans. Elle parlait pour quatre ou presque. Si elle posait des questions, elle ne se montrait pas trop invasive. Généreusement, elle régalait Nino d'anecdotes d'enfances de Zack si bien que c'était lui qui était sur la sellette et non le jeune homme !
Pour le déjeuner, elle avait mis les petits plats dans les grands. Nino, de plus en plus détendu, laissa échapper quelques "merdes" au cours de la conversation.
En cuisine, elle prit à part Zack pour lui communiquer tout le bien qu'elle pensait de Nino. Apparemment, elle avait craint qu'il ne soit pas aussi « normal. » Zack ne demanda pas à quoi elle s'était attendue au juste. Il savait que toute tolérante qu'elle soit, elle avait certains préjugés.
Bref, tout allait comme sur des roulettes jusqu'au moment où la mère de Zack les conduisit à l'étage dans l'ancienne chambre de ce dernier afin qu'ils s'y installent.
Zack assura à Nino qu'il serait accueilli à bras ouverts, mais arrivés devant la porte du pavillon bâti dans les années 60 où Zack avait vécu toute son enfance, Nino, au comble de la nervosité, était prêt à faire demi-tour.
Il dut le persuader de n'en rien faire : mais oui, Nino ferait peut-être des bourdes, mais le plus grand impair qu'il pouvait commettre, c'était bien d'annuler sa visite à la dernière minute, et d'ailleurs, étant venu avec lui en moto, comment comptait-il repartir ? D'accord, il pourrait toujours trouver un café et un hôtel, mais c'était ridicule.
Une fois n'est pas coutume, son père ouvrit la porte avec sa mère - il n'était pas du genre à se lever quand ça sonnait, mais la curiosité envers le petit ami de son fils avait dû l'emporter sur la flemme.
Elle était habillée sur son trente-et-un, maquillée et pomponnée comme pour les grandes occasions.
— Entrez, entrez, vous devez être frigorifiés.
Nino, le nez rougi par le froid, secoua la tête. Zack le poussa gentiment à l'intérieur et referma la porte sur eux dès fois qu'il ait dans l'idée de prendre la poudre d'escampette. C'était la première fois que Nino rencontrait des parents en tant que petit ami et il n'en menait pas large. Ce qu'il ne réalisait pas, c'est que c'était aussi une première pour Zack : jamais, depuis son coming-out, n'avait-il présenté aucun garçon à ses parents.
A priori, Zack n'aurait pas à faire connaissance avec ceux du jeune homme, Nino se refusant à les revoir, ce qui était compréhensible vu tout ce qui s'était passé entre eux à cause de l'interférence des fantômes.
Sa mère les invita à s'asseoir dans le salon sur les vieux canapé et fauteuils en cuir patinés par les ans. Elle parlait pour quatre ou presque. Si elle posait des questions, elle ne se montrait pas trop invasive. Généreusement, elle régalait Nino d'anecdotes d'enfances de Zack si bien que c'était lui qui était sur la sellette et non le jeune homme !
Pour le déjeuner, elle avait mis les petits plats dans les grands. Nino, de plus en plus détendu, laissa échapper quelques "merdes" au cours de la conversation.
En cuisine, elle prit à part Zack pour lui communiquer tout le bien qu'elle pensait de Nino. Apparemment, elle avait craint qu'il ne soit pas aussi « normal. » Zack ne demanda pas à quoi elle s'était attendue au juste. Il savait que toute tolérante qu'elle soit, elle avait certains préjugés.
Bref, tout allait comme sur des roulettes jusqu'au moment où la mère de Zack les conduisit à l'étage dans l'ancienne chambre de ce dernier afin qu'ils s'y installent.
4 commentaires:
Ho ho que va t-il se passer dans l'ancienne chambre de Zack? Un fantôme peut-être? lol
Merci pour l'épisode, les parents de Zack ont l'air vraiment sympa :)
Hâte de lire la suite XD
Les parents de zack sont vraiment cool ^^ c'est pas ts les parents qui sont comme ça ...
Suspense pour la chambre de zack que je vais de ce pas résoudre xD
Merci, bon début de semaine =)
Je mets souvent en scène des parents intolérants, alors ça fait du bien d'en faire rencontrer des cools ! :)
Woooow Nino qui rencontre la belle famille, un petit pas en avant, un énorme pas poir le trio ahah
Bon par contre si leur chéri de fantôme pouvait leur donner un peu des nouvelles è.é
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