A la fin du lycée, Dillon envisagea d'arrêter là ses études, mais son père avec qui il finit par réussir à aborder le sujet, l'en dissuada :
— Avec juste le bac, tu ne décrocheras que des boulots minables. Il te faut au moins une licence en poche. Je peux aussi te payer une école si tu veux.
Vivianne intervint pour lui conseiller d'aller à l'université. Dillon n'était pas stupide, il savait très bien que cela répugnait à sa belle-mère que de l'argent soit dépensé pour lui. Comme il ne savait pas quoi faire, il y alla et continua à faire les courses, le ménage et tout, pour sa belle-mère et ses deux sœurs par alliance.
La nuit, il se caressait, glissant ses mains sur l'intérieur de ses cuises, enserrant son pénis, enfonçant parfois une courgette huileuse.
Parfois il se disait qu'il ferait mieux de partir, car même s'il ne détestait pas faire le ménage et la cuisine, c'était dur avec les devoirs et les cours de satisfaire les demandes parfois déraisonnables de Vivianne. Cependant il ne voulait pas quitter l'appartement : les souvenirs des jours heureux auprès de sa mère le retenaient.
Par ailleurs, même si Vivianne avait des exigences terribles, Dillon s'était attaché à Virginia et Violetta. Oui, elles étaient coquettes et un brin capricieuses, mais elles avaient leurs moments de douceur. A chacun de ses anniversaires, alors que Vivianne faisait comme si de rien n'était, que son propre père oubliait de le lui souhaiter, les deux sœurs lui offraient un petit quelque chose : une carte postale, un cahier, un stylo.
Une nuit de juin, alors que Dillon se masturbait, étendu sur son duvet sur le canapé qui lui servait de lit, les lumières du salon s'allumèrent brusquement.
C'était Vivianne, l'air malade, qui était sortie de sa chambre. Elle le vit une main sur son pénis, l'autre tenant la grosse carotte qu'il avait enfoncée en lui. Elle poussa un cri horrifié.
Toute son excitation retombée, Dillon, plein de honte, ôta le légume et s'empressa d'enfiler son slip. Le mal cependant était fait.
— C'est infâme ! Oh mon Dieu ! Tu es un de ces pervers d'homosexuels ! Et ce légume ! Et dire que nous avons mangé un velouté de carottes au dîner ! Oh mon Dieu !
— Je..., balbutia Dillon, trop mortifié pour aligner deux pensées cohérentes.
— C'est ignoble, vraiment ! Habille-toi et dehors !
— Mais...
— Je ne veux plus te voir, sale dégoûtant ! Prends ton sac, ton duvet et va-t-en !
— Je ne recommencerai plus... plaida Dillon.
— Avec juste le bac, tu ne décrocheras que des boulots minables. Il te faut au moins une licence en poche. Je peux aussi te payer une école si tu veux.
Vivianne intervint pour lui conseiller d'aller à l'université. Dillon n'était pas stupide, il savait très bien que cela répugnait à sa belle-mère que de l'argent soit dépensé pour lui. Comme il ne savait pas quoi faire, il y alla et continua à faire les courses, le ménage et tout, pour sa belle-mère et ses deux sœurs par alliance.
La nuit, il se caressait, glissant ses mains sur l'intérieur de ses cuises, enserrant son pénis, enfonçant parfois une courgette huileuse.
Parfois il se disait qu'il ferait mieux de partir, car même s'il ne détestait pas faire le ménage et la cuisine, c'était dur avec les devoirs et les cours de satisfaire les demandes parfois déraisonnables de Vivianne. Cependant il ne voulait pas quitter l'appartement : les souvenirs des jours heureux auprès de sa mère le retenaient.
Par ailleurs, même si Vivianne avait des exigences terribles, Dillon s'était attaché à Virginia et Violetta. Oui, elles étaient coquettes et un brin capricieuses, mais elles avaient leurs moments de douceur. A chacun de ses anniversaires, alors que Vivianne faisait comme si de rien n'était, que son propre père oubliait de le lui souhaiter, les deux sœurs lui offraient un petit quelque chose : une carte postale, un cahier, un stylo.
Une nuit de juin, alors que Dillon se masturbait, étendu sur son duvet sur le canapé qui lui servait de lit, les lumières du salon s'allumèrent brusquement.
C'était Vivianne, l'air malade, qui était sortie de sa chambre. Elle le vit une main sur son pénis, l'autre tenant la grosse carotte qu'il avait enfoncée en lui. Elle poussa un cri horrifié.
Toute son excitation retombée, Dillon, plein de honte, ôta le légume et s'empressa d'enfiler son slip. Le mal cependant était fait.
— C'est infâme ! Oh mon Dieu ! Tu es un de ces pervers d'homosexuels ! Et ce légume ! Et dire que nous avons mangé un velouté de carottes au dîner ! Oh mon Dieu !
— Je..., balbutia Dillon, trop mortifié pour aligner deux pensées cohérentes.
— C'est ignoble, vraiment ! Habille-toi et dehors !
— Mais...
— Je ne veux plus te voir, sale dégoûtant ! Prends ton sac, ton duvet et va-t-en !
— Je ne recommencerai plus... plaida Dillon.
3 commentaires:
Oh pinaise quel épisode merci ^^
Dillon qui se fait jeter dehors mais que va t-il lui arriver ^^"
Toujours aussi hâte de lire la suite :)
pauvre dillon, hâte de lire la suite
Je le savaiiis !
Bon en fait non, c'était moins terrible que je ne le pensais, mais il s'est fait attraper xD
Bon aller à la suite !!
Bisous :)
Cassie.
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