Et puis Dillon eut neuf ans. Comme pour ses huit ans, il fêta son anniversaire en solitaire, son père étant au travail. Le lendemain soir, cependant, ce dernier arriva exceptionnellement tôt avec une femme très maquillée et deux fillettes, une blonde frisée et une brunette.
— Je te présente ta nouvelle mère et tes deux petites sœurs. Je compte sur toi pour leur faire bon accueil, annonça son père.
Dillon, sous le choc, les regarda les yeux écarquillés.
— Eh bien ! Tu ne dis rien ? lui reprocha son père, les sourcils froncés.
— Enchanté Dillon, déclara avec gentillesse la femme très maquillée, en se penchant vers lui.
— Bonsoir madame, murmura Dillon.
— Tu peux m'appeler Vivianne. Et voici, mes deux filles Violetta et Virginia. Elles ont sept et huit ans.
Elles lui sourirent et Dillon y répondit timidement.
Il était triste que son père ait remplacé sa mère aussi vite, néanmoins, il était content de penser qu'il aurait de la compagnie et que peut-être que son père reviendrait plus fréquemment à l'appartement. Bien sûr, Vivianne, même si elle était aimable, ne serait jamais sa mère, mais avoir deux petites sœurs plaisait bien à Dillon, surtout qu'elles étaient jolies comme des petites princesses avec leurs cheveux bien coiffés et leurs robes à volants.
Il ne fallut guère plus de semaines à Dillon pour réaliser que Vivianne, la nouvelle épouse de son père, ne s'occupait que de ses filles. Violetta et Virginia étaient la prunelle de ses yeux.
Dillon tâcha de se faire apprécier en débarrassant la table, lançant les machines à laver et les étendant. Cela lui coûtait d'autant moins qu'il avait fait pour lui et son père pendant près de deux ans. Il y avait cependant plus à faire avec trois nouvelles personnes.
Vivianne le complimenta pour sa serviabilité et se mit à se reposer de plus en plus sur lui. Elle l'envoya même faire des courses avec une liste et un budget précis. C'était une marque de confiance et une responsabilité qui flatta Dillon, même si c'était lourd de ramener tout ce qui était demandé.
Elle lui abandonna aussi le soin du ménage, chaque fois le remerciant.
Passer l'aspirateur et le chiffon, s'occuper du linge et des courses après l'école, n'était pas évident, surtout qu'il y avait aussi les devoirs à faire, mais Dillon persistait.
— Je te présente ta nouvelle mère et tes deux petites sœurs. Je compte sur toi pour leur faire bon accueil, annonça son père.
Dillon, sous le choc, les regarda les yeux écarquillés.
— Eh bien ! Tu ne dis rien ? lui reprocha son père, les sourcils froncés.
— Enchanté Dillon, déclara avec gentillesse la femme très maquillée, en se penchant vers lui.
— Bonsoir madame, murmura Dillon.
— Tu peux m'appeler Vivianne. Et voici, mes deux filles Violetta et Virginia. Elles ont sept et huit ans.
Elles lui sourirent et Dillon y répondit timidement.
Il était triste que son père ait remplacé sa mère aussi vite, néanmoins, il était content de penser qu'il aurait de la compagnie et que peut-être que son père reviendrait plus fréquemment à l'appartement. Bien sûr, Vivianne, même si elle était aimable, ne serait jamais sa mère, mais avoir deux petites sœurs plaisait bien à Dillon, surtout qu'elles étaient jolies comme des petites princesses avec leurs cheveux bien coiffés et leurs robes à volants.
Il ne fallut guère plus de semaines à Dillon pour réaliser que Vivianne, la nouvelle épouse de son père, ne s'occupait que de ses filles. Violetta et Virginia étaient la prunelle de ses yeux.
Dillon tâcha de se faire apprécier en débarrassant la table, lançant les machines à laver et les étendant. Cela lui coûtait d'autant moins qu'il avait fait pour lui et son père pendant près de deux ans. Il y avait cependant plus à faire avec trois nouvelles personnes.
Vivianne le complimenta pour sa serviabilité et se mit à se reposer de plus en plus sur lui. Elle l'envoya même faire des courses avec une liste et un budget précis. C'était une marque de confiance et une responsabilité qui flatta Dillon, même si c'était lourd de ramener tout ce qui était demandé.
Elle lui abandonna aussi le soin du ménage, chaque fois le remerciant.
Passer l'aspirateur et le chiffon, s'occuper du linge et des courses après l'école, n'était pas évident, surtout qu'il y avait aussi les devoirs à faire, mais Dillon persistait.
Vivianne manifestait un peu d'intérêt pour lui qu'à ses moments là. Dillon espérait toujours qu'elle lui donnerait des baisers et lui ferait des câlins comme à Violetta et Virginia, mais jamais elle ne le touchait.
1 commentaire:
Merci pour l'épisode du jour ^^
Je suis déjà triste pour Dillon alors que l'histoire vient de commencer ^^"
vivement la suite XD
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