Une fois au lycée, Dillon tomba amoureux pour la première fois de sa vie. C'était un garçon de sa classe prénommé Cain Landy. Il avait les yeux d'un vert clair très étonnant, des cheveux auburn aux mèches folles. Il était plein d'assurance, se montrait aimable avec tout le monde et savait déjà ce qu'il voulait faire plus tard : journaliste. Il était apprécié de tous.
Dillon se prit à rêver d'être une fille, un être fragile susceptible de plaire aux garçons et dont on prend soin. Hélas, il n'en était pas une et ne pouvait avouer à personne l'amour qu'il éprouvait pour Cain. Chez lui, à plusieurs reprises, parmi les rares fois où son père était présent, ce dernier avait proféré des grossièretés à l'égard de ces « pédés qui s'affichaient sans vergogne dans la rue » et « faisaient chier le monde » en cherchant à faire valoir leurs droits au mariage et à l'adoption. Vivianne avait enchéri. Très pieuse, elle considérait l'homosexualité comme une maladie d'ordre criminelle. Violetta et Virginia élevées selon les idées de leur mère avaient déclaré que c'était en effet dégoûtant. Dillon avait gardé le secret de ses préférences sexuelles enfoui au fond de son cœur.
Dillon se prit à rêver d'être une fille, un être fragile susceptible de plaire aux garçons et dont on prend soin. Hélas, il n'en était pas une et ne pouvait avouer à personne l'amour qu'il éprouvait pour Cain. Chez lui, à plusieurs reprises, parmi les rares fois où son père était présent, ce dernier avait proféré des grossièretés à l'égard de ces « pédés qui s'affichaient sans vergogne dans la rue » et « faisaient chier le monde » en cherchant à faire valoir leurs droits au mariage et à l'adoption. Vivianne avait enchéri. Très pieuse, elle considérait l'homosexualité comme une maladie d'ordre criminelle. Violetta et Virginia élevées selon les idées de leur mère avaient déclaré que c'était en effet dégoûtant. Dillon avait gardé le secret de ses préférences sexuelles enfoui au fond de son cœur.
L'année d'après, Cain et lui se retrouvèrent dans une classe différente, chacun dans une filière différente. Dillon ne fit plus que le croiser, ce qui lui fut douloureux jusqu'à ses sentiments pour lui se calment.
Entretemps, son corps, lui, s'était éveillé. Au début, il s'était caressé dans la salle de bains, protégé par les bruits d'eaux, à défaut d'un verrou, serrant son pénis d'une main, massant ses testicules de l'autre.
Hélas qu'il s'attarde ainsi dans la salle d'eau n'avait été du goût ni de Vivianne, ni de ses filles. Elles avaient frappé à la porte. Pourquoi donc Dillon prenait-il autant de temps ? S'il ne sortait pas, elles allaient entrer. Il n'avait pas besoin de se maquiller, lui !
Après une période d'abstinence, Dillon commença à se toucher à l'abri de la nuit sur le canapé où il dormait. Il se mordait les lèvres pour retenir ses gémissements tandis que ses mains couraient sur son corps, montaient et descendaient sur son sexe.
Rapidement, cependant, cela ne lui suffit plus. Il lui fallait plus pour combler sa solitude, le vide en lui. Il finit par insérer un doigt dans son anus. Le côté interdit et transgressif l'excita follement et il jouit aussitôt.
Nuit après nuit, il s'enhardit dans l'exploration de son corps, la seule chose au monde qui lui appartenait vraiment. Il se pinça les tétons, enfonça ses doigts plus profondément à l'intérieur de lui. Mais quelque part, ce n'était jamais assez pour le combler.
Entretemps, son corps, lui, s'était éveillé. Au début, il s'était caressé dans la salle de bains, protégé par les bruits d'eaux, à défaut d'un verrou, serrant son pénis d'une main, massant ses testicules de l'autre.
Hélas qu'il s'attarde ainsi dans la salle d'eau n'avait été du goût ni de Vivianne, ni de ses filles. Elles avaient frappé à la porte. Pourquoi donc Dillon prenait-il autant de temps ? S'il ne sortait pas, elles allaient entrer. Il n'avait pas besoin de se maquiller, lui !
Après une période d'abstinence, Dillon commença à se toucher à l'abri de la nuit sur le canapé où il dormait. Il se mordait les lèvres pour retenir ses gémissements tandis que ses mains couraient sur son corps, montaient et descendaient sur son sexe.
Rapidement, cependant, cela ne lui suffit plus. Il lui fallait plus pour combler sa solitude, le vide en lui. Il finit par insérer un doigt dans son anus. Le côté interdit et transgressif l'excita follement et il jouit aussitôt.
Nuit après nuit, il s'enhardit dans l'exploration de son corps, la seule chose au monde qui lui appartenait vraiment. Il se pinça les tétons, enfonça ses doigts plus profondément à l'intérieur de lui. Mais quelque part, ce n'était jamais assez pour le combler.
3 commentaires:
Ah ben merci moi qui est déjà de la fièvre à cause de la grippe là je vais faire exploser le thermomètre XD
Merci pour l'épisode, j'ai hâte de lire la suite, en attendant bon week-end à toi ^__^
Désolée de te savoir malade ! J'espère que tu vas vite guérir.
Ow non non non moi le doigtage intensif en solo sur le canapé je le sens pas, il va se faire chopper par son père et se faire démonter la gueule >_<
Cassie.
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