Sur le trajet, ils parlèrent surtout du frère et des soeurs de Beckett. L'adolescent était curieux de savoir ce que Al avait pensé d'eux, bien que ce dernier n'ait fait que les croiser.
A l'arrivée, Al se précipita dans la salle de bain pour se laver le visage. Hélas, même débarrassé du maquillage, son visage continua à le picoter. Cela mettrait sûrement un moment avant de rentrer dans l'ordre, fichue peau sensible !
– Ça va mieux ? demanda Beckett, resté dans l'encadrement de la porte de la salle de bain.
Le jeune homme invisible, le nez fourré dans la serviette éponge avec laquelle il achevait de s'essuyer, avoua que non.
– Merci d'être venu me chercher chez moi. Je n'avais pas le courage de te parler ni rien après...
Beckett n'acheva pas sa phrase. Peut-être ne savait-il pas comment qualifier l'attouchement qu'il avait subi, peut-être qu'il ne voulait pas le nommer, car cela le rendait bien trop réel...
– Je me faisais du souci pour toi.
Al était sur le point d'embrasser Beckett pour chasser la tristesse qui assombrissait ses traits, quand la sonnette retentit. Le jeune homme invisible alla ouvrir. L'absence de personne sur le pallier lui apprit que c'était Maud. La pluie devait avoir cessé. Elle avait un sacré culot de se pointer chez lui comme ça, après avoir agressé Beckett. S'il avait pu savoir où elle se tenait avec exactitude, il l'aurait giflée. Ce désir de la frapper lui donna une idée tordue. Il pria pour que Beckett ne l'entende pas ou comprenne pourquoi il disait ça.
– Cela tombe bien que tu sois revenue, car finalement Beckett ne veut plus de moi, et j'aimerais que tu sois ma petite amie.
Des bras s'enroulèrent autour de son cou comme des serpents. Al en profita pour capturer Maud. Beckett, venu voir ce qui se passait, ne comprit pas que la femme invisible était présente avant qu'elle ne manifeste son déplaisir :
– Tu me fais mal, arrête ! Pourquoi est-il là ?
– Parce que nous n'avons pas rompu malgré ta façon dégueulasse de procéder, riposta Al en lui serrant les bras avec encore plus de force.
Elle trépigna et lui décocha un coup de genou dans l'aine qui lui fit lâcher prise.
– Je ne lui ai rien fait d'affreux. Je lui ai juste donné du plaisir à ce morveux, clama-t-elle.
Beckett, mal à l'aise, resta les bras ballants au milieu du vestibule, ne sachant où se mettre pour rester à distance de la femme invisible.
A l'arrivée, Al se précipita dans la salle de bain pour se laver le visage. Hélas, même débarrassé du maquillage, son visage continua à le picoter. Cela mettrait sûrement un moment avant de rentrer dans l'ordre, fichue peau sensible !
– Ça va mieux ? demanda Beckett, resté dans l'encadrement de la porte de la salle de bain.
Le jeune homme invisible, le nez fourré dans la serviette éponge avec laquelle il achevait de s'essuyer, avoua que non.
– Merci d'être venu me chercher chez moi. Je n'avais pas le courage de te parler ni rien après...
Beckett n'acheva pas sa phrase. Peut-être ne savait-il pas comment qualifier l'attouchement qu'il avait subi, peut-être qu'il ne voulait pas le nommer, car cela le rendait bien trop réel...
– Je me faisais du souci pour toi.
Al était sur le point d'embrasser Beckett pour chasser la tristesse qui assombrissait ses traits, quand la sonnette retentit. Le jeune homme invisible alla ouvrir. L'absence de personne sur le pallier lui apprit que c'était Maud. La pluie devait avoir cessé. Elle avait un sacré culot de se pointer chez lui comme ça, après avoir agressé Beckett. S'il avait pu savoir où elle se tenait avec exactitude, il l'aurait giflée. Ce désir de la frapper lui donna une idée tordue. Il pria pour que Beckett ne l'entende pas ou comprenne pourquoi il disait ça.
– Cela tombe bien que tu sois revenue, car finalement Beckett ne veut plus de moi, et j'aimerais que tu sois ma petite amie.
Des bras s'enroulèrent autour de son cou comme des serpents. Al en profita pour capturer Maud. Beckett, venu voir ce qui se passait, ne comprit pas que la femme invisible était présente avant qu'elle ne manifeste son déplaisir :
– Tu me fais mal, arrête ! Pourquoi est-il là ?
– Parce que nous n'avons pas rompu malgré ta façon dégueulasse de procéder, riposta Al en lui serrant les bras avec encore plus de force.
Elle trépigna et lui décocha un coup de genou dans l'aine qui lui fit lâcher prise.
– Je ne lui ai rien fait d'affreux. Je lui ai juste donné du plaisir à ce morveux, clama-t-elle.
Beckett, mal à l'aise, resta les bras ballants au milieu du vestibule, ne sachant où se mettre pour rester à distance de la femme invisible.
8 commentaires:
Le culot qu'a cette fille oO c'est affolant. J'espère qu'il va la mettre dehors à coup de pieds dans les fesses.
Bon week-end
Quelle sans gêne cette nana >_<
J'espère bien qu'elle va regretter ce qu'elle a fait. Merci pour l'épisode, je te souhaite un bon week-end, repose toi bien ^____^
Al bottera-t-il ou non les fesses de la femme invisible ? Bonne question ! :)
Bon week-end à vous aussi ! J'espère que je serais remise d'aplomb après, parce que là, j'ai encore choppé des microbes !
J'espère vraiment qu'il va la remettre a sa place. C'est une vrai peste!!
Vivement la suite :)
Soigne toi bien, l'histoire peut attendre le principal est ta santé :D
Merci pour cet episode.
Bon week end.
Soigne-toi bien.
Et j ai hate que Maud se fasse ejecter par Beckett.
L idee de Al etait pas mal mais sa lui a quand meme valu une petite torture.
Hors-sujet : Quelle ironie ! Je viens d'apprendre que tu étais à JE et je ne le savais pas ! Quand je vois le titre "Rendez-vous manqué" je dis que c'est prophétique ! :(
Je n'étais pas à la Japan Expo. Si j'y avais été, je serais venue te voir sur le stand de Event Yaoi. :)
Enregistrer un commentaire