Le coeur battant à tout rompre, Al toqua et poussa la porte de ce qui devait être la chambre de Beckett. C'était une pièce au papier peint jaune rayé d'orange dotée d'une haute fenêtre à côté de laquelle il y avait une étagère avec bureau. Beckett y était assis, penché sur un classeur, tournant un crayon à papier entre ses doigts.
– Fichez-moi la paix, je bosse, grommela l'adolescent sans regarder qui se permettait de le déranger dans son antre.
Al vint jusqu'à lui et cette fois, Beckett daigna tourner la tête. Le sourcils froncés, il ne parut pas le reconnaître et quand il l'eut fait, il se leva vivement, faisant tomber le tabouret sur lequel était installé et recula de quelques pas.
Un étau broya la poitrine de Al. Cela faisait mal que Beckett s'éloigne de lui ainsi.
– Pourquoi tu n'es pas venu hier ?
– Comme si tu ne savais pas, après ce que tu as osé faire en plein cours...
– Je ne me suis pas rendu à ton lycée, commença Al avant de parler de la visite de Maud Quentin.
– Je suis pas naïf au point d'avaler ton histoire, répliqua Beckett, mais Al lut sur son visage qu'il envisageait sérieusement l'existence de la femme invisible.
Il insista pour savoir ce qui s'était passé la veille et finalement Beckett balbutia :
– Je n'ai pas envie de te croire... Je préfère que ce soit toi qui m'ait ouvert mon jeans, glissé les mains dans mon slip et caressé jusque j'éjacule en plein cours de bio alors qu'il aurait suffit d'un rien pour que quelqu'un le remarque...
Al aurait voulu pouvoir étrangler Maud Quentin d'avoir touché Beckett intimement. Il avait imaginé beaucoup de choses, mais pas ça. Cette maudite femme s'était fait passer pour lui et avait abusé sans vergogne l'adolescent et tout ça pour quoi ? Les faire rompre ?
– Je n'aurais jamais fait une chose pareille.
L'adolescent sans paraître entendre l'affirmation de Al, continua, d'une voix altérée, comme s'il revivait la scène :
– Je me suis laissé faire parce que j'avais trop peur que quelqu'un se rende compte de quelque chose. Si je t'avais repoussé, j'aurais attiré l'attention sur moi. Heureusement que c'était le dernier cours, car après, j'étais en galère avec mon slip mouillé.
– Quelle garce ! s'écria Al avec violence.
Beckett, toujours tendu et sur ses gardes, demanda :
– Ce n'était vraiment pas toi ?
– Non et je ne te demanderai pas comment tu as pu nous confondre, car il est vrai qu'à la base, les personnes invisibles, cela ne court pas les rues.
En disant cela, Al avait cherché à alléger l'atmosphère, mais quelque part, il était blessé que Beckett n'ait pas réalisé que c'était quelqu'un d'autre, peiné qu'il ne veuille pas le croire.
Il y eut un silence.
– Fichez-moi la paix, je bosse, grommela l'adolescent sans regarder qui se permettait de le déranger dans son antre.
Al vint jusqu'à lui et cette fois, Beckett daigna tourner la tête. Le sourcils froncés, il ne parut pas le reconnaître et quand il l'eut fait, il se leva vivement, faisant tomber le tabouret sur lequel était installé et recula de quelques pas.
Un étau broya la poitrine de Al. Cela faisait mal que Beckett s'éloigne de lui ainsi.
– Pourquoi tu n'es pas venu hier ?
– Comme si tu ne savais pas, après ce que tu as osé faire en plein cours...
– Je ne me suis pas rendu à ton lycée, commença Al avant de parler de la visite de Maud Quentin.
– Je suis pas naïf au point d'avaler ton histoire, répliqua Beckett, mais Al lut sur son visage qu'il envisageait sérieusement l'existence de la femme invisible.
Il insista pour savoir ce qui s'était passé la veille et finalement Beckett balbutia :
– Je n'ai pas envie de te croire... Je préfère que ce soit toi qui m'ait ouvert mon jeans, glissé les mains dans mon slip et caressé jusque j'éjacule en plein cours de bio alors qu'il aurait suffit d'un rien pour que quelqu'un le remarque...
Al aurait voulu pouvoir étrangler Maud Quentin d'avoir touché Beckett intimement. Il avait imaginé beaucoup de choses, mais pas ça. Cette maudite femme s'était fait passer pour lui et avait abusé sans vergogne l'adolescent et tout ça pour quoi ? Les faire rompre ?
– Je n'aurais jamais fait une chose pareille.
L'adolescent sans paraître entendre l'affirmation de Al, continua, d'une voix altérée, comme s'il revivait la scène :
– Je me suis laissé faire parce que j'avais trop peur que quelqu'un se rende compte de quelque chose. Si je t'avais repoussé, j'aurais attiré l'attention sur moi. Heureusement que c'était le dernier cours, car après, j'étais en galère avec mon slip mouillé.
– Quelle garce ! s'écria Al avec violence.
Beckett, toujours tendu et sur ses gardes, demanda :
– Ce n'était vraiment pas toi ?
– Non et je ne te demanderai pas comment tu as pu nous confondre, car il est vrai qu'à la base, les personnes invisibles, cela ne court pas les rues.
En disant cela, Al avait cherché à alléger l'atmosphère, mais quelque part, il était blessé que Beckett n'ait pas réalisé que c'était quelqu'un d'autre, peiné qu'il ne veuille pas le croire.
Il y eut un silence.
5 commentaires:
Ah ouais carrément elle se gêne pas Maud tripoter Beckett comme ça >_<
Merci pour l'épisode, j'espère que nos amoureux vont arriver à se réconcilier ^o^
Bon courage pour l'écriture des prochains épisodes :D
Quelle garce! Pauvre Al j'espère que Beckett va le croire et qu'il vont se réconcilier. Vivement demain pour connaître la suite
Beckett comment peux-tu ne pas croire a ron propre cheri ?
Bon c est a 15% de ta caute mais voila quoi.
Il est temp d etrangler cette Maud. Comment ose-t-elle faire sa a nos 2 tourtereaux.
Merci pour cet episode.
Oh la vache!!! Oo" Mais elle est pas sérieurse de faire ça à Beckett en plein cours! OO'
En tout cas maintenant Al sait vraiment à quoi s'en tenir avec Maud! Et je suis sûre que Beckett va pardonner à Al. De toute façon ça n'est pas de sa faute! :/
Merci pour l'épisode!
Des Bisous!
Maud a un problème, sûr et certain. Je crois que parmi les personnages féminins que j'ai créée, elle emporte la palme du plus pénible.
Quant à Beckett, il le dit lui-même, il n'a pas envie de croire Al, parce qu'il préfèrait que ce soit lui et non une parfaite inconnue, qui l'ait peloté.
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