– Jamais... A ce propos, quel besoin avais-tu d'étaler tes sentiments devant tout le monde ?
– Parce que sans eux, je ne serais pas ici et toi, non plus.
– Ah ! Si seulement cet idiot qui porte la couronne avait bien voulu nous consacrer plus de temps, je pourrais déjà être en train de commencer des recherches pour me libérer de cette fichue addiction !
– En attendant, si nous faisions l'amour ?
– L'amour, l'amour ! Il n'en est pas question entre nous. Je te « supplie » de me prendre parce que je perds toute volonté à cause de cette maudite drogue.
– Je t'aime.
Kilim tourna le dos au centaure sans rien lui répondre. Le silence retomba dans la pièce.
Pendant un long moment, il ne se passa plus rien et Youri sentit l'ennui le gagner. Puis, brusquement, l'attitude de Kilim changea du tout au tout. Il vint se mettre face au centaure et se prosterna devant lui.
– Maître Galad, je ferais tout ce que vous voulez...
Les épaules du centaure s'affaissèrent. D'une voix triste, il coupa le petit discours qu'allait faire le jeune homme :
– Déshabille-toi et mets toi à genoux devant moi.
Kilim s'exécuta prestement.
– Prends dans ta bouche mon sexe d'homme.
– Merci maître, répondit Kilim et immédiatement, il entra en action.
De façon étonnante, dans les poils de la robe du centaure, juste en dessous de son torse d'homme, un pénis se cachait.
Youri entendit Aldrick s'exclamer d'une voix étouffée :
– Les centaures ont donc deux membres virils !
Youri cessa de regarder l'étrange scène qui se déroulait dans la pièce en dessous pour jeter un coup d'œil au prince.
– Nous ne devrions pas rester là, murmura Youri.
A la place de Kilim, Youri n'aurait supporté que des inconnus le voit ainsi s'humilier sous l'emprise d'une drogue... Le jeune homme glissa sa main sur le trou qui permettait au prince de les observer. Aldrick se redressa. Sous son pantalon, on devinait un début d'érection. Youri détourna les yeux, gêné.
– Tu as raison. Nous en avons assez appris pour aujourd'hui. Cette histoire de drogue m'intrigue au plus au point...
Youri se sentit soulagé que le prince cède aussi vite. Il voulait continuer à respecter l'homme qui l'avait tiré de la misère. Si Aldrick avait insisté pour jouer aux voyeurs, il aurait baissé dans son estime.
Ils quittèrent le passage secret pour regagner à la vue de tous les appartements du prince. Là, Aldrick fit appeler son Grand Chambellan afin de lui rapporter les propos qu'ils avaient entendus et d'émettre des hypothèses sur la drogue qui rendait les humains esclaves des centaures.
– Parce que sans eux, je ne serais pas ici et toi, non plus.
– Ah ! Si seulement cet idiot qui porte la couronne avait bien voulu nous consacrer plus de temps, je pourrais déjà être en train de commencer des recherches pour me libérer de cette fichue addiction !
– En attendant, si nous faisions l'amour ?
– L'amour, l'amour ! Il n'en est pas question entre nous. Je te « supplie » de me prendre parce que je perds toute volonté à cause de cette maudite drogue.
– Je t'aime.
Kilim tourna le dos au centaure sans rien lui répondre. Le silence retomba dans la pièce.
Pendant un long moment, il ne se passa plus rien et Youri sentit l'ennui le gagner. Puis, brusquement, l'attitude de Kilim changea du tout au tout. Il vint se mettre face au centaure et se prosterna devant lui.
– Maître Galad, je ferais tout ce que vous voulez...
Les épaules du centaure s'affaissèrent. D'une voix triste, il coupa le petit discours qu'allait faire le jeune homme :
– Déshabille-toi et mets toi à genoux devant moi.
Kilim s'exécuta prestement.
– Prends dans ta bouche mon sexe d'homme.
– Merci maître, répondit Kilim et immédiatement, il entra en action.
De façon étonnante, dans les poils de la robe du centaure, juste en dessous de son torse d'homme, un pénis se cachait.
Youri entendit Aldrick s'exclamer d'une voix étouffée :
– Les centaures ont donc deux membres virils !
Youri cessa de regarder l'étrange scène qui se déroulait dans la pièce en dessous pour jeter un coup d'œil au prince.
– Nous ne devrions pas rester là, murmura Youri.
A la place de Kilim, Youri n'aurait supporté que des inconnus le voit ainsi s'humilier sous l'emprise d'une drogue... Le jeune homme glissa sa main sur le trou qui permettait au prince de les observer. Aldrick se redressa. Sous son pantalon, on devinait un début d'érection. Youri détourna les yeux, gêné.
– Tu as raison. Nous en avons assez appris pour aujourd'hui. Cette histoire de drogue m'intrigue au plus au point...
Youri se sentit soulagé que le prince cède aussi vite. Il voulait continuer à respecter l'homme qui l'avait tiré de la misère. Si Aldrick avait insisté pour jouer aux voyeurs, il aurait baissé dans son estime.
Ils quittèrent le passage secret pour regagner à la vue de tous les appartements du prince. Là, Aldrick fit appeler son Grand Chambellan afin de lui rapporter les propos qu'ils avaient entendus et d'émettre des hypothèses sur la drogue qui rendait les humains esclaves des centaures.
1 commentaire:
Alors ça fallait y penser,une drogue c'est bien trouvé ^___^
Je me demande quand même si Kilim n'éprouverait pas de l'amour pour Galad en dépit de cette drogue mais ça c'est mon esprit tordu à voir des couples partout lol
Bon courage pour la suite et t'inquiète pas tes centaures sont super :)
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