Joël reporta son attention sur les filles. L’une d’entre elles dont il ne se rappelait pas du prénom s’était mise à pleurer - elle était vierge et avait peur d’être violée par les aliens.
— Ils ne nous ont pas touchés sans notre autorisation, fit remarquer Miranda avec l’intention évidente de la consoler.
Joël pressentit que la jeune femme blonde allait devenir la cheffe informelle de leur petit groupe.
Les aliens cessèrent de discuter entre eux et les entourèrent.
Bois-de-cerf leur adressa un discours qui leur passa évidemment au-dessus de la tête.
— Qu’est-ce qu’ils nous veulent, maintenant ? grommela Chloé.
C’était impossible à deviner, hélas. L’infernale chaleur n’aidait en rien.
Un jeu de mimes commença, mais Joël préféra ne pas y participer. Il était trop épuisé pour cela et il n’était pas le seul. Même Miranda se lassa vite.
Les Turquoises leur offrirent alors ce qui s’apparentaient à des fleurs.
— Je vous l’avais bien dit, ils nous courtisent ! s’exclama Lilou, presque triomphante.
Isabelle lâcha la sienne aussi sec.
Elle avait beau avoir un petit ami, Joël jugea le geste mal venu de sa part, d’autant que rien ne garantissait que Lilou avait raison. Il rapprocha son nez de la sienne pour la sentir tandis qu’un des Turquoises ramassait la fleur tombée et la portait à sa bouche, dévoilant une langue fourchue bleu foncée.
— Apparemment, ça se mange, conclut Carole.
Miranda goûta aussitôt à un pétale.
Joël l’imita.
C’était dépourvu de saveur.
Certaines filles gardèrent leurs fleurs sans oser les manger.
C’était sans doute prudent de leur part, mais Joël termina la sienne. Il ne voulait pas offenser leurs hôtes.
Une des Turquoises pointa les cabanes, attrapa une liane, grimpa, redescendit et les désigna ensuite. Plusieurs aliens montèrent ensuite avec agilité.
Ça, c’était compréhensible : les Turquoises les invitaient chez eux. Joël espéra que c’était pour dormir.
Dommage pour lui qu’il ait toujours été nul en gymnastique et que sa longue robe de velours noir constitue un handicap supplémentaire.
— Impossible que j’y arrive, déclara Emilie, faisant écho à ses pensées.
— Je suis certaine qu’un des aliens voudra bien vous porter jusqu’en haut, affirma Miranda avant de s’emparer de la liane lâchée par la Turquoise.
Elle se hissa avec autant d’aisance que de grâce, suivie par Carole. Ni Chloé ni Isabelle n’eurent de problème. Les autres filles peinèrent, mais parvinrent en haut, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que Zara, Emilie et Joël.
— Ils ne nous ont pas touchés sans notre autorisation, fit remarquer Miranda avec l’intention évidente de la consoler.
Joël pressentit que la jeune femme blonde allait devenir la cheffe informelle de leur petit groupe.
Les aliens cessèrent de discuter entre eux et les entourèrent.
Bois-de-cerf leur adressa un discours qui leur passa évidemment au-dessus de la tête.
— Qu’est-ce qu’ils nous veulent, maintenant ? grommela Chloé.
C’était impossible à deviner, hélas. L’infernale chaleur n’aidait en rien.
Un jeu de mimes commença, mais Joël préféra ne pas y participer. Il était trop épuisé pour cela et il n’était pas le seul. Même Miranda se lassa vite.
Les Turquoises leur offrirent alors ce qui s’apparentaient à des fleurs.
— Je vous l’avais bien dit, ils nous courtisent ! s’exclama Lilou, presque triomphante.
Isabelle lâcha la sienne aussi sec.
Elle avait beau avoir un petit ami, Joël jugea le geste mal venu de sa part, d’autant que rien ne garantissait que Lilou avait raison. Il rapprocha son nez de la sienne pour la sentir tandis qu’un des Turquoises ramassait la fleur tombée et la portait à sa bouche, dévoilant une langue fourchue bleu foncée.
— Apparemment, ça se mange, conclut Carole.
Miranda goûta aussitôt à un pétale.
Joël l’imita.
C’était dépourvu de saveur.
Certaines filles gardèrent leurs fleurs sans oser les manger.
C’était sans doute prudent de leur part, mais Joël termina la sienne. Il ne voulait pas offenser leurs hôtes.
Une des Turquoises pointa les cabanes, attrapa une liane, grimpa, redescendit et les désigna ensuite. Plusieurs aliens montèrent ensuite avec agilité.
Ça, c’était compréhensible : les Turquoises les invitaient chez eux. Joël espéra que c’était pour dormir.
Dommage pour lui qu’il ait toujours été nul en gymnastique et que sa longue robe de velours noir constitue un handicap supplémentaire.
— Impossible que j’y arrive, déclara Emilie, faisant écho à ses pensées.
— Je suis certaine qu’un des aliens voudra bien vous porter jusqu’en haut, affirma Miranda avant de s’emparer de la liane lâchée par la Turquoise.
Elle se hissa avec autant d’aisance que de grâce, suivie par Carole. Ni Chloé ni Isabelle n’eurent de problème. Les autres filles peinèrent, mais parvinrent en haut, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que Zara, Emilie et Joël.
2 commentaires:
Hé bien à ce stade Joël et les autres captives ne peuvent que faire des suppositions concernant leurs hôtes tout comme nous lecteurs
Hâte de lire la suite :D
Suspense, suspense... Mais je compte donner le point de vue de "Lance" bientôt. :)
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