L’atmosphère était étouffante, mais respirable, ce qui était l’essentiel.
Les Turquoises adoptèrent une foulée rapide. Le soleil – ou l’astre équivalent qui éclairait la planète des Turquoises – tapait fort. Bien que Joël se tienne pour ainsi dire immobile dans les bras de l’alien, il ne tarda pas à suer abondamment et la soif le gagna.
Lance et ses amis ne semblaient pas souffrir de ses problèmes. Leur peau étaient en même temps différente.
Joël caressa du bout des doigts les écailles turquoises du cou de Lance, s’émerveillant de leur surprenante douceur, puis réalisant que ce n’était peut-être pas une très bonne idée de se montrer aussi familier avec l’alien, il cessa.
Toujours est-il qu’à la recherche d’un peu de protection contre le soleil, il nicha sa tête contre le pectoral dépourvu de téton de Lance.
Si la chaleur n’avait pas été aussi intense, la situation n’aurait pas été si désagréable. Il était à peine secoué dans les bras puissants de l’alien. Hélas, le paysage d’une aridité sans nom n’en finissait pas.
Alors que Joël commençait à imaginer des habitations au milieu des sables, il crut distinguer au loin une tâche verte. Il pria pour que ce ne soit pas un mirage.
Il fallut encore un moment pour atteindre ce qui avait tout d’une oasis au milieu du désert.
La végétation était évidemment différente, mais troncs bleus ou pas, c’étaient des arbres. De l’ombre. Un soupçon de fraîcheur.
Les Turquoises ralentirent le pas, puis finirent pas s’arrêter et ils les déposèrent sur le sol.
Bois-de-cerf poussa un cri aigu et d’autres aliens turquoises apparurent, descendant le long de lianes qui pendaient des branchages.
D’une hospitalité sans faille, ils leur donnèrent des coupes remplies de liquide orange.
Il n’y avait aucune raison qu’ils veuillent les empoisonner, ce qui ne signifiait pas pour autant que cela pouvait être ingéré sans risque, mais Joël avait les lèvres trop craquelées et la gorge trop sèche pour s’en inquiéter. Il but avec avidité malgré l’arrière-goût terreux.
Pendant que les Turquoises se mettaient à discuter entre eux, les compagnes d’infortune de Joël se rapprochèrent des unes des autres, chacune se présentant et racontant son enlèvement.
Elles étaient quatorze et retenir les noms de chacune s’avéra impossible, mais Joël fit de son mieux.
Les Turquoises adoptèrent une foulée rapide. Le soleil – ou l’astre équivalent qui éclairait la planète des Turquoises – tapait fort. Bien que Joël se tienne pour ainsi dire immobile dans les bras de l’alien, il ne tarda pas à suer abondamment et la soif le gagna.
Lance et ses amis ne semblaient pas souffrir de ses problèmes. Leur peau étaient en même temps différente.
Joël caressa du bout des doigts les écailles turquoises du cou de Lance, s’émerveillant de leur surprenante douceur, puis réalisant que ce n’était peut-être pas une très bonne idée de se montrer aussi familier avec l’alien, il cessa.
Toujours est-il qu’à la recherche d’un peu de protection contre le soleil, il nicha sa tête contre le pectoral dépourvu de téton de Lance.
Si la chaleur n’avait pas été aussi intense, la situation n’aurait pas été si désagréable. Il était à peine secoué dans les bras puissants de l’alien. Hélas, le paysage d’une aridité sans nom n’en finissait pas.
Alors que Joël commençait à imaginer des habitations au milieu des sables, il crut distinguer au loin une tâche verte. Il pria pour que ce ne soit pas un mirage.
Il fallut encore un moment pour atteindre ce qui avait tout d’une oasis au milieu du désert.
La végétation était évidemment différente, mais troncs bleus ou pas, c’étaient des arbres. De l’ombre. Un soupçon de fraîcheur.
Les Turquoises ralentirent le pas, puis finirent pas s’arrêter et ils les déposèrent sur le sol.
Bois-de-cerf poussa un cri aigu et d’autres aliens turquoises apparurent, descendant le long de lianes qui pendaient des branchages.
D’une hospitalité sans faille, ils leur donnèrent des coupes remplies de liquide orange.
Il n’y avait aucune raison qu’ils veuillent les empoisonner, ce qui ne signifiait pas pour autant que cela pouvait être ingéré sans risque, mais Joël avait les lèvres trop craquelées et la gorge trop sèche pour s’en inquiéter. Il but avec avidité malgré l’arrière-goût terreux.
Pendant que les Turquoises se mettaient à discuter entre eux, les compagnes d’infortune de Joël se rapprochèrent des unes des autres, chacune se présentant et racontant son enlèvement.
Elles étaient quatorze et retenir les noms de chacune s’avéra impossible, mais Joël fit de son mieux.
4 commentaires:
Rude climat !
Il va falloir qu'ils apprennent à le supporter.
Merci pour cet épisode.
Ils vont avoir chaud... dans tous les sens du terme. ;p
Merci pour l'épisode ^__^
Je sens que cette nouvelle histoire va me plaire, j'ai hâte de voir s'ils vont réussir à communiquer ensemble :D
Autant prévenir de suite, la communication entre aliens et humains ne va pas être simple. :)
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