Joël se décida enfin à tenter, et échoua, s’écorchant les mains au passage.
Lance fut soudain là. Il s’agenouilla devant lui, et pivota, lui présentant son large dos écailleux à la base duquel pendait sa queue semblable à celle d’un léopard.
Joël n’avait à priori plus qu’à s’accrocher. Miranda ne s’était pas trompée sur la serviabilité des aliens.
Du coin de l’œil, il nota que deux autres Turquoises proposaient la même chose à Zara et Emilie. Il se demanda distraitement si c’était les mêmes qui avaient tendu la main aux deux jeunes femmes dans le vaisseau, puis passa les bras autour du cou de Lance, se plaquant contre lui et enserrant la taille de ce dernier de ses jambes avec peine en raison de sa tenue. L’intimité de la position était troublante, de même que le délicieux parfum de l’alien.
Lance monta avec une rapidité et une facilité déconcertante.
Joël fut déçu de ne pas avoir à rester plus longtemps collé à lui, mais il n’avait plus d’excuses.
Dès qu’il le lâcha, l’alien s’en alla à grandes enjambées par l’une des larges planches qui reliaient l’espèce de cabane aux autres constructions dans les arbres, et permettaient donc de circuler sans avoir constamment à monter et redescendre. C’était une bonne nouvelle pour peu d’être doté d’un bon équilibre et de ne pas avoir tendance au vertige…
Joël regardait les nombreux pots de terre accrochés aux murs et les multiples plantes séchées suspendues au plafond, quand Emilie et Zara le rejoignirent, portées par leurs aliens.
— Où sont les autres ? demanda Zara.
Les Turquoises, comme s’ils avaient compris sa question, indiquèrent une des planches sur la droite. Ce n’était pas celle qu’avait empruntée Lance sur lequel Joël devait arrêter de faire une fixation.
Il passa à la cabane suivante en gardant les yeux droit devant lui.
Ce n’est cependant qu’après avoir franchi plusieurs planches qu’ils retrouvèrent Miranda, mais seulement elle.
— Ah, vous voilà, les filles. Si je ne me trompe pas, faute de place, ils nous divisent en trois groupes pour dormir.
— Comment as-tu réussi à comprendre ça ? s’enquit Emilie. Il n’y a pas de lit ici, pas même une couverture ou une paillasse d’herbe...
— Un des Turquoises s’est allongé sur le sol, en plaçant un bras sous sa tête et a fermé les yeux.
— Et pour les toilettes, que fait-on ? voulut savoir Zara.
A la place de Miranda, Joël se serait agacé que les deux autres fassent comme si elle avait la réponse à toutes les questions.
Ils étaient tous logés à la même enseigne, ils avaient tous été enlevés sans crier gare par d’affreux pustuleux avant d’échouer entre les mains des Turquoises.
Miranda, néanmoins, sourit et déclara :
— Nous pouvons sûrement utiliser un de ses récipients au mur comme pot de chambre.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que c’était spartiate et que le véritable sexe de Joël risquait d’être découvert à tout moment.
Joël s’installa en chien de fusil sur le sol de bois dur.
En dépit des plutôt sympathiques aliens turquoises nudistes, il aurait aimé que tout ça ne soit qu’un cauchemar et se réveiller dans son fauteuil devant sa télé allumée...
Lance fut soudain là. Il s’agenouilla devant lui, et pivota, lui présentant son large dos écailleux à la base duquel pendait sa queue semblable à celle d’un léopard.
Joël n’avait à priori plus qu’à s’accrocher. Miranda ne s’était pas trompée sur la serviabilité des aliens.
Du coin de l’œil, il nota que deux autres Turquoises proposaient la même chose à Zara et Emilie. Il se demanda distraitement si c’était les mêmes qui avaient tendu la main aux deux jeunes femmes dans le vaisseau, puis passa les bras autour du cou de Lance, se plaquant contre lui et enserrant la taille de ce dernier de ses jambes avec peine en raison de sa tenue. L’intimité de la position était troublante, de même que le délicieux parfum de l’alien.
Lance monta avec une rapidité et une facilité déconcertante.
Joël fut déçu de ne pas avoir à rester plus longtemps collé à lui, mais il n’avait plus d’excuses.
Dès qu’il le lâcha, l’alien s’en alla à grandes enjambées par l’une des larges planches qui reliaient l’espèce de cabane aux autres constructions dans les arbres, et permettaient donc de circuler sans avoir constamment à monter et redescendre. C’était une bonne nouvelle pour peu d’être doté d’un bon équilibre et de ne pas avoir tendance au vertige…
Joël regardait les nombreux pots de terre accrochés aux murs et les multiples plantes séchées suspendues au plafond, quand Emilie et Zara le rejoignirent, portées par leurs aliens.
— Où sont les autres ? demanda Zara.
Les Turquoises, comme s’ils avaient compris sa question, indiquèrent une des planches sur la droite. Ce n’était pas celle qu’avait empruntée Lance sur lequel Joël devait arrêter de faire une fixation.
Il passa à la cabane suivante en gardant les yeux droit devant lui.
Ce n’est cependant qu’après avoir franchi plusieurs planches qu’ils retrouvèrent Miranda, mais seulement elle.
— Ah, vous voilà, les filles. Si je ne me trompe pas, faute de place, ils nous divisent en trois groupes pour dormir.
— Comment as-tu réussi à comprendre ça ? s’enquit Emilie. Il n’y a pas de lit ici, pas même une couverture ou une paillasse d’herbe...
— Un des Turquoises s’est allongé sur le sol, en plaçant un bras sous sa tête et a fermé les yeux.
— Et pour les toilettes, que fait-on ? voulut savoir Zara.
A la place de Miranda, Joël se serait agacé que les deux autres fassent comme si elle avait la réponse à toutes les questions.
Ils étaient tous logés à la même enseigne, ils avaient tous été enlevés sans crier gare par d’affreux pustuleux avant d’échouer entre les mains des Turquoises.
Miranda, néanmoins, sourit et déclara :
— Nous pouvons sûrement utiliser un de ses récipients au mur comme pot de chambre.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que c’était spartiate et que le véritable sexe de Joël risquait d’être découvert à tout moment.
Joël s’installa en chien de fusil sur le sol de bois dur.
En dépit des plutôt sympathiques aliens turquoises nudistes, il aurait aimé que tout ça ne soit qu’un cauchemar et se réveiller dans son fauteuil devant sa télé allumée...
2 commentaires:
Pauvre Joël s'il ne veux pas se faire découvrir il va devoir uriner assis comme les femmes ^^"
J'ai trop hâte de lire la suite et de découvrir le point de vue de Lance mais aussi découvrir pourquoi ils ont été capturé et ce que veulent vraiment leurs sauveurs, peut-être la reproduction de leur espèce...
Vivement le prochain épisode en attendant bon week-end :)
Je pense que si Lance était retissant à prendre sa main c'est qu'il aurait préféré un homme. ^_^
Je pense qu'il a peut-être aussi ressenti un petit quelque chose en le portant.
J'espère que Joël ne va pas avoir trop de problème quand sa nature va être révélé.
Merci pour cette suite et bon week-end. ^^
Enregistrer un commentaire