L’alien turquoise dans toute son étrangeté et sa glorieuse nudité s’avança entre les tubes de verre, posa brièvement ses yeux dorés pénétrants sur Joël, continua son chemin, probablement jusqu’au fond du vaisseau, puis s’en alla comme il était venu.
Joël, s’il avait pu, en aurait hurlé de frustration. Leur potentiel sauveur était parti. Il n’aurait pas pu être comme le prince charmant de Blanche-Neige, craquer devant leur beauté et vouloir ouvrir leur cercueil de verre pour les embrasser ?
Une éternité s’écoula, et peu à peu ses compagnes d’infortunes s’agitèrent.
Des cris et des pleurs retentirent, des mains frappèrent les parois des tubes avec l’énergie du désespoir.
Joël, quand il put enfin bouger, palpa sa prison de verre à la recherche d’un éventuel mécanisme d’ouverture, en s’efforçant de garder son calme, ce qui n’avait rien d’évident.
Si lui ou l’une de ses compagnes d’infortunes se débrouillait pour sortir, leurs chances de survie ne seraient plus nulles. Une seule personne libre pouvait changer toute la donne. Non, parce qu’il ne fallait pas compter sur l’alien turquoise…
Mais alors que cette pensée traversait Joël, l’alien réapparut et cette fois, il n’était pas seul. Tout un groupe de grands gaillards turquoises, tous nus et munis d’armes primitives l’accompagnaient.
Les femmes accueillirent leur arrivée avec des réactions variées. Certaines espéraient le meilleur, d’autres craignaient de toute évidence le pire. Joël lui-même était ambivalent.
Le retour de l’alien laissait penser qu’ils allaient être libérés, mais cela ne signifiaient pas qu’ils seraient tirés d’affaire pour autant.
Joël qui s’attendait à ce qu’ils fracassent leurs tubes avec leurs massues, gourdins, lances et autres, fut plus que surpris quand l’alien doté de cornes type bois de cerfs pianota sur les boutons des panneaux jusqu’à ce que leurs prisons s’ouvrent d’elles-mêmes.
La plupart des femmes se dépêchèrent d’en sortir, mais certaines restèrent dedans. Joël opta pour la première option.
Leurs sauveurs les entourèrent en émettant des sons incompréhensibles.
— Qu’on nous ait implanté un traducteur universel, c’eût été trop demandé, marmonna Joël.
— Tu es une marrante, toi, dit la femme blonde qui avait été prisonnière dans le tube en face de lui.
Joël ne la corrigea pas sur son sexe. Ce n’était pas le moment, pas alors que les aliens turquoises nudistes décidaient de leur sort.
Joël, s’il avait pu, en aurait hurlé de frustration. Leur potentiel sauveur était parti. Il n’aurait pas pu être comme le prince charmant de Blanche-Neige, craquer devant leur beauté et vouloir ouvrir leur cercueil de verre pour les embrasser ?
Une éternité s’écoula, et peu à peu ses compagnes d’infortunes s’agitèrent.
Des cris et des pleurs retentirent, des mains frappèrent les parois des tubes avec l’énergie du désespoir.
Joël, quand il put enfin bouger, palpa sa prison de verre à la recherche d’un éventuel mécanisme d’ouverture, en s’efforçant de garder son calme, ce qui n’avait rien d’évident.
Si lui ou l’une de ses compagnes d’infortunes se débrouillait pour sortir, leurs chances de survie ne seraient plus nulles. Une seule personne libre pouvait changer toute la donne. Non, parce qu’il ne fallait pas compter sur l’alien turquoise…
Mais alors que cette pensée traversait Joël, l’alien réapparut et cette fois, il n’était pas seul. Tout un groupe de grands gaillards turquoises, tous nus et munis d’armes primitives l’accompagnaient.
Les femmes accueillirent leur arrivée avec des réactions variées. Certaines espéraient le meilleur, d’autres craignaient de toute évidence le pire. Joël lui-même était ambivalent.
Le retour de l’alien laissait penser qu’ils allaient être libérés, mais cela ne signifiaient pas qu’ils seraient tirés d’affaire pour autant.
Joël qui s’attendait à ce qu’ils fracassent leurs tubes avec leurs massues, gourdins, lances et autres, fut plus que surpris quand l’alien doté de cornes type bois de cerfs pianota sur les boutons des panneaux jusqu’à ce que leurs prisons s’ouvrent d’elles-mêmes.
La plupart des femmes se dépêchèrent d’en sortir, mais certaines restèrent dedans. Joël opta pour la première option.
Leurs sauveurs les entourèrent en émettant des sons incompréhensibles.
— Qu’on nous ait implanté un traducteur universel, c’eût été trop demandé, marmonna Joël.
— Tu es une marrante, toi, dit la femme blonde qui avait été prisonnière dans le tube en face de lui.
Joël ne la corrigea pas sur son sexe. Ce n’était pas le moment, pas alors que les aliens turquoises nudistes décidaient de leur sort.
3 commentaires:
Eh oui il ne faut pas se fier aux apparences.
Même s'ils ont des armes "primitives" cela n'implique pas qu'ils sont arriérés.
Merci pour cet épisode et bon week-end. ^^
Merci pour l'épisode, hâte d'en lire plus ^__^
J'espère que cette nouvelle histoire saura vous plaire, de même que Joël qui a son petit caractère bien à lui...
Hâte d'en partager plus avec vous. :)
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