La blonde qui n’avait pas froid aux yeux s’appelait Miranda tandis que la brune qui avait été la deuxième à oser prendre la main d’un Turquoise se nommait Carole. Isabelle était rousse, Emilie avait des cheveux teint en violet, Chloé, une coupe courte à la garçonne, Lilou portait un t-shirt avec un chien…
— Vous croyez que l’on va pouvoir rentrer chez nous ? s’enquit Zara, une fille à la longue crinière bouclée auburn qui était habillée d’une courte chemise de nuit en soie rose.
C’était une excellente question que Joël se posait aussi.
— Je ne vois pas pourquoi nous ne pourrions pas, si nos nouveaux amis possèdent un vaisseau spatial, répondit Miranda.
— Ils n’ont pas l’air très technologie, rétorqua Chloé.
C’était un bon point et en même temps, puisque Bois-de-cerf avait su se servir du panneau de contrôle de leurs kidnappeurs, ce n’était pas exclu.
— De toute façon, comment leur fait-on comprendre que nous souhaitons qu’ils nous ramènent chez nous ? demanda Emilie.
— Ils vont vouloir nous garder, intervint Lilou. Vous n’avez pas remarqué ? Il n’y a quasiment que des mecs.
Joël n’avait en effet repéré que cinq Turquoises de sexe féminin. Elles avaient de petits mamelons, étaient dépourvues de cornes et leurs queues étaient courtes, semblables à celles de lapin ou de daim.
— Ils doivent se chercher des épouses, continua Lilou.
Si c’était le cas, Joël était dans de sales draps. Il n’avait pas les bons organes génitaux, même s’il n’aurait rien eu contre se frotter à ceux des aliens qui avaient tous été dotés généreusement par la nature.
— Elles sont peut-être restées en hauteur, suggéra-t-il d’une voix douce.
— Leurs cabanes ont l’air vide, répliqua Carole.
Joël leva les yeux vers le feuillages des arbres. Il s’était plus intéressé aux gens qu’au cadre. Mais Carole avait raison, il y avait des habitations dans les arbres et elles semblaient désertes.
— Je n’ai aucune envie de me mettre en couple avec un alien, moi ! J’ai déjà un petit ami ! s’écria Isabelle, horrifiée.
— Ne paniquons pas. Nous sommes toujours mieux qu’avec nos kidnappeurs, déclara avec autorité Miranda.
Ça, c’était sûr, et Joël éprouvait un profond sentiment de reconnaissance envers Lance qui était revenu les libérer avec ses amis.
Il le chercha des yeux et trouva appuyé contre un tronc, un peu en retrait des autres Turquoises. Joël ne pouvait prétendre être un expert des expressions faciales des aliens, mais Lance ne paraissait pas se réjouir plus que cela de la présence d’étrangères parmi les siens.
— Vous croyez que l’on va pouvoir rentrer chez nous ? s’enquit Zara, une fille à la longue crinière bouclée auburn qui était habillée d’une courte chemise de nuit en soie rose.
C’était une excellente question que Joël se posait aussi.
— Je ne vois pas pourquoi nous ne pourrions pas, si nos nouveaux amis possèdent un vaisseau spatial, répondit Miranda.
— Ils n’ont pas l’air très technologie, rétorqua Chloé.
C’était un bon point et en même temps, puisque Bois-de-cerf avait su se servir du panneau de contrôle de leurs kidnappeurs, ce n’était pas exclu.
— De toute façon, comment leur fait-on comprendre que nous souhaitons qu’ils nous ramènent chez nous ? demanda Emilie.
— Ils vont vouloir nous garder, intervint Lilou. Vous n’avez pas remarqué ? Il n’y a quasiment que des mecs.
Joël n’avait en effet repéré que cinq Turquoises de sexe féminin. Elles avaient de petits mamelons, étaient dépourvues de cornes et leurs queues étaient courtes, semblables à celles de lapin ou de daim.
— Ils doivent se chercher des épouses, continua Lilou.
Si c’était le cas, Joël était dans de sales draps. Il n’avait pas les bons organes génitaux, même s’il n’aurait rien eu contre se frotter à ceux des aliens qui avaient tous été dotés généreusement par la nature.
— Elles sont peut-être restées en hauteur, suggéra-t-il d’une voix douce.
— Leurs cabanes ont l’air vide, répliqua Carole.
Joël leva les yeux vers le feuillages des arbres. Il s’était plus intéressé aux gens qu’au cadre. Mais Carole avait raison, il y avait des habitations dans les arbres et elles semblaient désertes.
— Je n’ai aucune envie de me mettre en couple avec un alien, moi ! J’ai déjà un petit ami ! s’écria Isabelle, horrifiée.
— Ne paniquons pas. Nous sommes toujours mieux qu’avec nos kidnappeurs, déclara avec autorité Miranda.
Ça, c’était sûr, et Joël éprouvait un profond sentiment de reconnaissance envers Lance qui était revenu les libérer avec ses amis.
Il le chercha des yeux et trouva appuyé contre un tronc, un peu en retrait des autres Turquoises. Joël ne pouvait prétendre être un expert des expressions faciales des aliens, mais Lance ne paraissait pas se réjouir plus que cela de la présence d’étrangères parmi les siens.
1 commentaire:
Merci pour l'épisode, on a hâte d'en lire plus tellement l'histoire est captivante et j'ai eue les même questions que les captives :D
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