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Jason et Valérian étaient nerveux. Tous les indicateurs étaient là. Que Valérian vienne chez eux n’expliquait pas qu’ils soient dans cet état. C’était aussi positif qu’anodin. Alex manquait toutefois de données, aussi les interrogea-t-il.
Valérian lui offrit une réponse dépourvue de sens que Jason interrompit :
— Nous sommes dans la rue, ce n’est pas le moment !
— Pourquoi ? s’enquit Alex.
— Lâche-nous les baskets !
— Je ne vous tiens nullement les chaussures et d’ailleurs, Valérian porte des souliers.
L’adolescent noir laissa échapper un rire léger.
— Raah, tais-toi, donc ! s’écria Jason, réduisant Alex au silence. Je ne sais pas comment tu supportes ça, Valérian !
— Je trouve ça amusant. Je ne comprends pas que cela t’ennuie. Il ne fait même pas exprès, après tout.
Comment Valérian savait-il que ce n’était pas volontaire de sa part ? Tous les humains étaient persuadés qu’Alex faisait de l’humour ou se moquait d’eux. Avait-il découvert la vérité sur Alex quand ils sortaient ensemble durant cette période manquante de sa mémoire ?
Poser des questions était momentanément une option indisponible… Hélas.
— Parce que c'est lourd qu'il pige que dalle, grommela Jason.
Un carreau ou une plaque en pierre pesait son poids, mais quel rapport y avait-il avec la rémunération à l’article d’un journaliste ?
— Tu es bien silencieux, Alex, fit remarquer Valérian.
Jason s’immobilisa, Valérian aussi. Alex les imita.
— Oh, mince, c’est ma faute, je lui en ai donné l’ordre, sans faire exprès…
— Si tout va bien, il n’aura bientôt plus jamais à t’obéir.
Valérian savait qu’Alex était obligé de suivre les directives de Jason. Cette fois, la seule conclusion logique possible était qu’il savait qu’Alex était un androïde.
Fallait-il en déduire que c’était la raison de leur rupture ? L’absence de données était problématique.
— Tout est dans le « si », répliqua Jason. Mais attendons d’être à la maison pour en discuter, tu veux bien ?
— D’accord. En attendant, n’oublie pas de l’autoriser à parler à nouveau.
— C’est bon, Alex, chante, danse, peu m’importe !
Alex entonna Au Clair de la lune.
Jason pesta entre ses dents.
— Tu pourrais faire attention à ce que tu lui dis, aussi, dit Valérian avant de complimenter Alex sur sa belle voix.
Valérian lui offrit une réponse dépourvue de sens que Jason interrompit :
— Nous sommes dans la rue, ce n’est pas le moment !
— Pourquoi ? s’enquit Alex.
— Lâche-nous les baskets !
— Je ne vous tiens nullement les chaussures et d’ailleurs, Valérian porte des souliers.
L’adolescent noir laissa échapper un rire léger.
— Raah, tais-toi, donc ! s’écria Jason, réduisant Alex au silence. Je ne sais pas comment tu supportes ça, Valérian !
— Je trouve ça amusant. Je ne comprends pas que cela t’ennuie. Il ne fait même pas exprès, après tout.
Comment Valérian savait-il que ce n’était pas volontaire de sa part ? Tous les humains étaient persuadés qu’Alex faisait de l’humour ou se moquait d’eux. Avait-il découvert la vérité sur Alex quand ils sortaient ensemble durant cette période manquante de sa mémoire ?
Poser des questions était momentanément une option indisponible… Hélas.
— Parce que c'est lourd qu'il pige que dalle, grommela Jason.
Un carreau ou une plaque en pierre pesait son poids, mais quel rapport y avait-il avec la rémunération à l’article d’un journaliste ?
— Tu es bien silencieux, Alex, fit remarquer Valérian.
Jason s’immobilisa, Valérian aussi. Alex les imita.
— Oh, mince, c’est ma faute, je lui en ai donné l’ordre, sans faire exprès…
— Si tout va bien, il n’aura bientôt plus jamais à t’obéir.
Valérian savait qu’Alex était obligé de suivre les directives de Jason. Cette fois, la seule conclusion logique possible était qu’il savait qu’Alex était un androïde.
Fallait-il en déduire que c’était la raison de leur rupture ? L’absence de données était problématique.
— Tout est dans le « si », répliqua Jason. Mais attendons d’être à la maison pour en discuter, tu veux bien ?
— D’accord. En attendant, n’oublie pas de l’autoriser à parler à nouveau.
— C’est bon, Alex, chante, danse, peu m’importe !
Alex entonna Au Clair de la lune.
Jason pesta entre ses dents.
— Tu pourrais faire attention à ce que tu lui dis, aussi, dit Valérian avant de complimenter Alex sur sa belle voix.
1 commentaire:
Merci pour l'épisode :D Bonne semaine et vivement la suite
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