— Alors, vous vous êtes réconciliés, les tourtereaux ? leur lança Hana dans le couloir à la fin de journée de cours, alors qu’Alex écoutait Valérian parler d’une série de science-fiction qu’il comptait voir sur Netflix.
— Nous sommes des garçons et nous n’étions pas fâchés, répondit Alex.
— T’es toujours aussi marrant ! s’écria Hana, en s’éloignant déjà, sa longue jupe virevoltant autour d’elle.
Alex faisait souvent rire les humains. Et le reste du temps les énervait.
Valérian, lui, était différent. Même quand Alex l’amusait, il y avait quelque chose de triste dans son regard.
Pour l’heure, Alex détectait sur les traits du visage de Valérian de la contrariété.
— Qu’est-ce qui ne va pas ?
— Bientôt tout le monde va croire que sommes à nouveau en couple…
— C’est une option ?
Valérian écarquilla grands les yeux à sa question.
— Tu ne sais pas ce que tu dis, murmura-t-il.
Alex n’avait certes pas assez de données sur le sujet.
— Cela n’en est pas une ?
— Laisse-moi y réfléchir, dit Valérian, ses yeux noisettes soudain humides.
Même s’il ne comprenait pas pourquoi, c’était Alex qui lui avait causé de la peine, conclusion, c’était à lui de le consoler.
Il passa en revue ses options :
1. S’excuser.
2. Lui dire quelque chose de réconfortant.
3. Le prendre dans ses bras.
— Pardon. Tu es le meilleur, déclara Alex en attirant Valérian contre lui.
Ces données avaient été perdues, mais en toute logique, il avait déjà dû faire cela. Et aussi l’embrasser.
Valérian resta pressé un instant contre lui, puis manifesta son envie d’être relâché.
Alex le libéra et constata que tous les marqueurs de la tristesse étaient toujours présents. Or, il avait épuisé les trois options à sa disposition. Une micro décharge électrique le parcourut.
— Bon, je vais y aller... A demain, d’accord… ? dit Valérian, ses doigts triturant son pendentif arc-en-ciel.
Alex hocha la tête. Il ne pouvait le raccompagner. Il était obligé de rentrer avec Jason par ordre paternel.
— Nous sommes des garçons et nous n’étions pas fâchés, répondit Alex.
— T’es toujours aussi marrant ! s’écria Hana, en s’éloignant déjà, sa longue jupe virevoltant autour d’elle.
Alex faisait souvent rire les humains. Et le reste du temps les énervait.
Valérian, lui, était différent. Même quand Alex l’amusait, il y avait quelque chose de triste dans son regard.
Pour l’heure, Alex détectait sur les traits du visage de Valérian de la contrariété.
— Qu’est-ce qui ne va pas ?
— Bientôt tout le monde va croire que sommes à nouveau en couple…
— C’est une option ?
Valérian écarquilla grands les yeux à sa question.
— Tu ne sais pas ce que tu dis, murmura-t-il.
Alex n’avait certes pas assez de données sur le sujet.
— Cela n’en est pas une ?
— Laisse-moi y réfléchir, dit Valérian, ses yeux noisettes soudain humides.
Même s’il ne comprenait pas pourquoi, c’était Alex qui lui avait causé de la peine, conclusion, c’était à lui de le consoler.
Il passa en revue ses options :
1. S’excuser.
2. Lui dire quelque chose de réconfortant.
3. Le prendre dans ses bras.
— Pardon. Tu es le meilleur, déclara Alex en attirant Valérian contre lui.
Ces données avaient été perdues, mais en toute logique, il avait déjà dû faire cela. Et aussi l’embrasser.
Valérian resta pressé un instant contre lui, puis manifesta son envie d’être relâché.
Alex le libéra et constata que tous les marqueurs de la tristesse étaient toujours présents. Or, il avait épuisé les trois options à sa disposition. Une micro décharge électrique le parcourut.
— Bon, je vais y aller... A demain, d’accord… ? dit Valérian, ses doigts triturant son pendentif arc-en-ciel.
Alex hocha la tête. Il ne pouvait le raccompagner. Il était obligé de rentrer avec Jason par ordre paternel.
1 commentaire:
Alex commencerait à court-circuiter pour reprendre le contrôle de sa mémoire ?.. :)
Merci pour l'épisode hâte de lire la suite ^o^
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