— Touche ton pénis, déclara-t-il d’une voix rauque en gardant le dos tourné, caresse-le de haut en bas.
— Cela brûle, geignit Xavy.
Séveric se tourna lentement vers lui, déglutit bien que la verge de Xavy ne soit plus visible, cachée par ses mains.Valentina et ses camarades ne lui avaient quand même pas faire boire une de ses concoctions nécessitant un partenaire pour obtenir satisfaction. Elles n’avaient pas pu être aussi cruelles. Ce n’était ceci dit peut-être pas volontaire de leur part.
En attendant, l’aphrodisiaque semblait très efficace, trop, s’il avait été acheté à un apothicaire. C’était peut-être une fabrication artisanale…
Xavy poussa un râle qui déchira le cœur de Séveric. Il fallait qu’il se dépêche. Il se mit à fouiller dans son sac, réfléchissant à toute vitesse à ce qui pourrait fonctionner.
Xavy se tortillait sur le matelas, des plaintes lui échappant. Il avait cessé de toucher son sexe et agrippait la peau de sa cuisse et de son torse comme s’il avait cherché à se l’arracher.
Séveric aurait pu l’aider à jouir pour l’apaiser, mais cela n’aurait été que lui offrir un bref répit, car les potions aphrodisiaques étaient généralement conçues pour prolonger l’état d’excitation. Cela serait revenu à prendre avantage de Xavy qui n’était pas en possession de toutes ses facultés, rendu fou de désir.
Séveric ne pouvait toutefois plus supporter de l’entendre souffrir ainsi. Il le reprit dans ses bras, et s’aida d’un sortilège pour disposer devant lui sur le drap matériel et ingrédients dont il avait besoin pour préparer un antidote.
Xavy se frotta à lui, agitant les hanches comme un lapin en chaleur.
C’était de la torture de l’avoir dans ses bras comme ça et de ne pouvoir s’autoriser à explorer son corps.
Séveric se contenta de le maintenir sur ses genoux d’une main, tâchant de mettre au point un remède de l’autre. Il grommela dans sa barbe durant tout le temps que cela lui prit. C’était comme mettre un pansement pour une blessure qui aurait nécessité des points de suture, mais il ne pouvait faire mieux, pas sans en savoir plus sur la potion que Xavy avait été forcé d’avaler et pas avec les distrayants mouvements frénétiques de Xavy dont les ailes frémissantes l’empêchait de bien voir ce qu’il faisait.
Sous sa paume, il sentait l’impossible douceur de la peau de Xavy.
Finalement, il obtint une boule de feuilles aux vertus apaisantes et rafraîchissantes et la porta aussitôt à la bouche du fée qui l’accepta, aspirant goulûment ses doigts dans la foulée.
La langue agile du fée promettait. Séveric l’imagina un instant s’enrouler autour d’une autre partie de son corps… Mais non, il ne fallait pas.
— Cela brûle, geignit Xavy.
Séveric se tourna lentement vers lui, déglutit bien que la verge de Xavy ne soit plus visible, cachée par ses mains.Valentina et ses camarades ne lui avaient quand même pas faire boire une de ses concoctions nécessitant un partenaire pour obtenir satisfaction. Elles n’avaient pas pu être aussi cruelles. Ce n’était ceci dit peut-être pas volontaire de leur part.
En attendant, l’aphrodisiaque semblait très efficace, trop, s’il avait été acheté à un apothicaire. C’était peut-être une fabrication artisanale…
Xavy poussa un râle qui déchira le cœur de Séveric. Il fallait qu’il se dépêche. Il se mit à fouiller dans son sac, réfléchissant à toute vitesse à ce qui pourrait fonctionner.
Xavy se tortillait sur le matelas, des plaintes lui échappant. Il avait cessé de toucher son sexe et agrippait la peau de sa cuisse et de son torse comme s’il avait cherché à se l’arracher.
Séveric aurait pu l’aider à jouir pour l’apaiser, mais cela n’aurait été que lui offrir un bref répit, car les potions aphrodisiaques étaient généralement conçues pour prolonger l’état d’excitation. Cela serait revenu à prendre avantage de Xavy qui n’était pas en possession de toutes ses facultés, rendu fou de désir.
Séveric ne pouvait toutefois plus supporter de l’entendre souffrir ainsi. Il le reprit dans ses bras, et s’aida d’un sortilège pour disposer devant lui sur le drap matériel et ingrédients dont il avait besoin pour préparer un antidote.
Xavy se frotta à lui, agitant les hanches comme un lapin en chaleur.
C’était de la torture de l’avoir dans ses bras comme ça et de ne pouvoir s’autoriser à explorer son corps.
Séveric se contenta de le maintenir sur ses genoux d’une main, tâchant de mettre au point un remède de l’autre. Il grommela dans sa barbe durant tout le temps que cela lui prit. C’était comme mettre un pansement pour une blessure qui aurait nécessité des points de suture, mais il ne pouvait faire mieux, pas sans en savoir plus sur la potion que Xavy avait été forcé d’avaler et pas avec les distrayants mouvements frénétiques de Xavy dont les ailes frémissantes l’empêchait de bien voir ce qu’il faisait.
Sous sa paume, il sentait l’impossible douceur de la peau de Xavy.
Finalement, il obtint une boule de feuilles aux vertus apaisantes et rafraîchissantes et la porta aussitôt à la bouche du fée qui l’accepta, aspirant goulûment ses doigts dans la foulée.
La langue agile du fée promettait. Séveric l’imagina un instant s’enrouler autour d’une autre partie de son corps… Mais non, il ne fallait pas.
4 commentaires:
Pauvre Xavy quelle torture de ne pouvoir se soulager et la torture est valable aussi pour Séveric qui se refuse à profiter de lui comme ça même pour l'apaiser un bref instant ^^"
Merci pour l'épisode, après cette nouvelle épreuve j'espère que Xavy et Séveric vont se rapprocher et pas se fuir à cause de la gêne...
Trop hâte de lire la suite XD
Ah de la gêne, ça, il va y en avoir, mais peut-être pas comme tu l'imagines !
Sinon, petite information en avance, samedi 22, ce sera l'anniversaire du blog, alors une surprise va être mis en ligne !
Hâte de voir la surprise :D et combien de bougies le blog va souffler déjà ?
12 ans ! C'est rigolo quand on pense que ma première histoire s'intitulait 12+ 1 ! Il faudrait peut-être que je songe à préparer une édition intégrale revisitée pour le 13ème anniversaire, l'année prochaine ! :)
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