Séveric matérialisa ensuite une cage drapé d’un tissu et les y enferma en deux temps trois mouvements. S’étant assuré qu’elles étaient désormais hors d’état de nuire, il se désintéressa d’elles et s’agenouilla auprès de Xavy dont les larmes coulaient toujours. Son érection ne faiblissait pas, preuve qu’elles avaient dû lui faire ingérer une potion aphrodisiaque qu’elles n’auraient pas dû avoir en leur possession, pas à leurs âges.
Séveric commença par baisser la robe et défit le foulard qui bâillonnait le fée. Les quatre affreuses avaient en plus fourré un mouchoir dans la bouche de Xavy. Il le retira. Le fée toussa. Sa douleur et sa détresse se lisaient sans peine sur ses traits. Séveric dénoua les liens qui entravaient Xavy. Elles avaient utilisées des cordes qui avaient laissé des marques rouges sur les poignets et chevilles du fée.
A peine libre, Xavy serra les cuisses et pressa les mains au niveau de son entrejambe.
— Ça fait mal, gémit-il.
Depuis combien de temps était-il dans cet état d’excitation ? Xavy n’était pas en condition de répondre à cette question ou aucune autre autre d’ailleurs. Séveric, lui, n’était pas capable d’interroger Valentina ou l’une de ses camarades, pas sans leur lancer de terribles malédictions. Elles avaient agressé Xavy. Il ne les aurait pas plus excusé si elles s’étaient attaquées à qui que ce soit d’autre, mais il aurait été plus en contrôle de lui-même.
Séveric aurait sûrement dû prévenir l’une des fées de l’équipe pédagogique, mais il ne voulait pas que plus de gens voit Xavy comme ça, excité malgré lui, en proie à une fièvre artificielle.
Il aurait préféré que ce soit lui qui mette Xavy dans cet état, car alors le fée n’aurait pas souffert de la sorte.
Il le souleva dans ses bras, attrapa la cage à crapauds, les enveloppa d’un manteau d’invisibilité et de silence avant de gagner l’étage des professeurs, avec une conscience aiguë de Xavy qui haletait dans son cou.
Enfin, ils furent dans la chambre qui avait été attribuée à Séveric pour la durée de son séjour. Il déposa le fée avec précaution sur le lit.
— Masturbe-toi, ça devrait te soulager. Pendant ce temps, je vais regarder les plantes que j’ai dans mon bagage…
Il espérait avoir de quoi contrer les effets de l’aphrodisiaque, même s’il ne savait pas exactement ce qu’elles lui avaient donné.
Séveric se détourna. Il ne regarderait pas Xavy se donner du plaisir.
— Me quoi ? balbutia Xavy.
Se pouvait-il qu’il soit tellement sous l’influence de la potion excitante qu’il ne soit plus en mesure de réfléchir ? Il ne pouvait pas être innocent à ce point… si ? Cela enflamma Séveric malgré lui. C’était mal de sa part dans les circonstances.
Séveric commença par baisser la robe et défit le foulard qui bâillonnait le fée. Les quatre affreuses avaient en plus fourré un mouchoir dans la bouche de Xavy. Il le retira. Le fée toussa. Sa douleur et sa détresse se lisaient sans peine sur ses traits. Séveric dénoua les liens qui entravaient Xavy. Elles avaient utilisées des cordes qui avaient laissé des marques rouges sur les poignets et chevilles du fée.
A peine libre, Xavy serra les cuisses et pressa les mains au niveau de son entrejambe.
— Ça fait mal, gémit-il.
Depuis combien de temps était-il dans cet état d’excitation ? Xavy n’était pas en condition de répondre à cette question ou aucune autre autre d’ailleurs. Séveric, lui, n’était pas capable d’interroger Valentina ou l’une de ses camarades, pas sans leur lancer de terribles malédictions. Elles avaient agressé Xavy. Il ne les aurait pas plus excusé si elles s’étaient attaquées à qui que ce soit d’autre, mais il aurait été plus en contrôle de lui-même.
Séveric aurait sûrement dû prévenir l’une des fées de l’équipe pédagogique, mais il ne voulait pas que plus de gens voit Xavy comme ça, excité malgré lui, en proie à une fièvre artificielle.
Il aurait préféré que ce soit lui qui mette Xavy dans cet état, car alors le fée n’aurait pas souffert de la sorte.
Il le souleva dans ses bras, attrapa la cage à crapauds, les enveloppa d’un manteau d’invisibilité et de silence avant de gagner l’étage des professeurs, avec une conscience aiguë de Xavy qui haletait dans son cou.
Enfin, ils furent dans la chambre qui avait été attribuée à Séveric pour la durée de son séjour. Il déposa le fée avec précaution sur le lit.
— Masturbe-toi, ça devrait te soulager. Pendant ce temps, je vais regarder les plantes que j’ai dans mon bagage…
Il espérait avoir de quoi contrer les effets de l’aphrodisiaque, même s’il ne savait pas exactement ce qu’elles lui avaient donné.
Séveric se détourna. Il ne regarderait pas Xavy se donner du plaisir.
— Me quoi ? balbutia Xavy.
Se pouvait-il qu’il soit tellement sous l’influence de la potion excitante qu’il ne soit plus en mesure de réfléchir ? Il ne pouvait pas être innocent à ce point… si ? Cela enflamma Séveric malgré lui. C’était mal de sa part dans les circonstances.
1 commentaire:
Oh Xavy tu es si innocent ^_^ Séveric va avoir du mal à se retenir je le sens..
Merci pour l'épisode, après toutes ces peines Xavy trouvera le bonheur j'en suis sûre alors je comprends que tu le fasse souffrir autant avant :)
Hâte de lire la suite :D
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