Le chevalier vivait au XXIème depuis un mois et Harvey, Côme et Lisle le laissaient en paix depuis trois bonnes semaines si bien que Tim n'était plus sur ses gardes avec eux quand ils le coincèrent en fin de journée.
Le trio, en fait d'avoir compris le message de Percival avait endormi la méfiance de Tim en se tenant à carreau et ruminé leur vengeance.
Harvey, Côme et Lisle l'obligèrent à les suivre en dehors du lycée jusqu'à une petite impasse où une bande de sept garçons fumaient.
Tim avait bien tenté de leur échapper en chemin, mais ils l'avaient maîtrisé sans souci, se gaussant de ses efforts tandis qu'ils lui broyaient chacun un bras.
L'un des gars jeta sa clope à terre et l'écrasa d'un coup de talon et attendit qu'ils arrivent à sa hauteur.
Il colla un mobile dans la main de Tim.
— Téléphone à ton copain et demande lui de rappliquer ici fissa, si tu ne veux pas que ça chauffe pour tes fesses.
A dix contre un, même Percival serait en difficulté et il était inutile qu'ils soient deux à se prendre une raclée. Tim refusa d'un signe de tête, ce qui lui valut une gifle.
Il lâcha le téléphone, reçut une série de claques et il fut forcé de ramasser. Tim, les joues cuisantes, persista toutefois dans son refus.
Les dix garçons le frappèrent alors les uns après les autres, s'en donnant à cœur joie.
Tim finit recroquevillé sur le sol, se protégeant avec les bras du mieux qu'il pouvait tandis que les coups pleuvaient.
— Pause ! cria un des gars, celui qui lui avait parlé en premier.
C'était sûrement le chef de la bande, car tous cessèrent, y compris Côme, Lisle et Harvey.
Il se pencha sur Tim.
— Sois raisonnable et appelle maintenant, autrement cela va devenir vraiment désagréable pour toi.
— Non, répondit l'adolescent, même s'il n'en pouvait plus et qu'il avait peur.
Pas question d'attirer Percival dans un traquenard.
— Déshabillez-le les gars.
Tim eut beau se débattre et se contorsionner, ils lui arrachèrent et il se retrouva nu comme un ver devant eux, à essuyer leurs moqueries.
Brandissant leurs téléphones, ils se mirent à le photographier.
— Si tu n'as pas envie qu'on envoie ça sur les réseaux sociaux - non que quiconque ne souhaite voir un freluquet à poil avec un zizi pas plus gros qu'un coton tige – tu sais, ce que tu dois faire.
Les copains du trio avaient l'air d'avoir hélas des idées plus raffinées pour pourrir la vie des gens.
— Comme vous dîtes, cela n'intéressera personne, répliqua Tim, tout misérable qu'il se sente.
Le trio, en fait d'avoir compris le message de Percival avait endormi la méfiance de Tim en se tenant à carreau et ruminé leur vengeance.
Harvey, Côme et Lisle l'obligèrent à les suivre en dehors du lycée jusqu'à une petite impasse où une bande de sept garçons fumaient.
Tim avait bien tenté de leur échapper en chemin, mais ils l'avaient maîtrisé sans souci, se gaussant de ses efforts tandis qu'ils lui broyaient chacun un bras.
L'un des gars jeta sa clope à terre et l'écrasa d'un coup de talon et attendit qu'ils arrivent à sa hauteur.
Il colla un mobile dans la main de Tim.
— Téléphone à ton copain et demande lui de rappliquer ici fissa, si tu ne veux pas que ça chauffe pour tes fesses.
A dix contre un, même Percival serait en difficulté et il était inutile qu'ils soient deux à se prendre une raclée. Tim refusa d'un signe de tête, ce qui lui valut une gifle.
Il lâcha le téléphone, reçut une série de claques et il fut forcé de ramasser. Tim, les joues cuisantes, persista toutefois dans son refus.
Les dix garçons le frappèrent alors les uns après les autres, s'en donnant à cœur joie.
Tim finit recroquevillé sur le sol, se protégeant avec les bras du mieux qu'il pouvait tandis que les coups pleuvaient.
— Pause ! cria un des gars, celui qui lui avait parlé en premier.
C'était sûrement le chef de la bande, car tous cessèrent, y compris Côme, Lisle et Harvey.
Il se pencha sur Tim.
— Sois raisonnable et appelle maintenant, autrement cela va devenir vraiment désagréable pour toi.
— Non, répondit l'adolescent, même s'il n'en pouvait plus et qu'il avait peur.
Pas question d'attirer Percival dans un traquenard.
— Déshabillez-le les gars.
Tim eut beau se débattre et se contorsionner, ils lui arrachèrent et il se retrouva nu comme un ver devant eux, à essuyer leurs moqueries.
Brandissant leurs téléphones, ils se mirent à le photographier.
— Si tu n'as pas envie qu'on envoie ça sur les réseaux sociaux - non que quiconque ne souhaite voir un freluquet à poil avec un zizi pas plus gros qu'un coton tige – tu sais, ce que tu dois faire.
Les copains du trio avaient l'air d'avoir hélas des idées plus raffinées pour pourrir la vie des gens.
— Comme vous dîtes, cela n'intéressera personne, répliqua Tim, tout misérable qu'il se sente.
3 commentaires:
Merci pour cet épisode, j'espère que tes soucis vont s'arranger, moi même j'ai un problème aux yeux et j'attends mon rdv chez le médecin pour savoir ce qu'il en ai..
C'est avec plaisir que je retrouve Tim et son chevalier, je suis curieuse de voir ce qui va se passer maintenant car Tim est en très mauvaise posture... mon côté sadique voudrait qu'il n'appelle pas Percival pour qu'il puisse le voir plus tard amoché pour prendre à nouveau sa défense et qui sait réaliser les sentiments qu'il a pour lui...
Le suspens reste entier, hâte de voir ce que tu nous réserves de beau ^__^
Bonjour,
J’espère que tu va mieux! Ce chapitre est trop triste ces garçons sont vraiment fous...
J’attend la suite ça va peut être s’arranger pour Tim.
Jeckyll -> Je compatis pour tes yeux ! Mon généraliste m'a renvoyé à l'ophtalmo pour ma part et comme d'habitude avec les spécialistes, mieux vaut être patient !
Juju -> ça va un peu mieux, mais ce n'est toujours pas ça, hélas !
Tim déguste pour le moment, le pauvre... Comment ça, j'aurais pu être plus gentille avec lui ? Non, non, ce n'est pas ma faute, c'est l'affreux trio, j'ai rien fait ! :op
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