Félicien ne fut pas surpris quand il lui exposa son sentiment.
— Oui, j'ai cru comprendre ça. Tu aurais tu va tête tout à l'heure… Évidement, si j'avais su, je n'aurais pas gaffé.
Tim se sentit morveux. C'est vrai qu'il ne lui avait rien dit. C'était toutefois son droit d'avoir des secrets.
Félicien continua :
— Ne te bile pas. Maintenant que je sais, je me tiendrais à carreau avec lui. Je ne suis pas trop fan de Percival. Il ne semble pas commode et puis bon, ses dents de travers…
Tim les adorait lui, mais il le laissa dire. Mieux valait pour lui que Félicien ne voit pas la beauté du chevalier.
Son nouvel ami poursuivit encore :
— Après, c'est sûr qu'il a l'air bien monté.
Tim déglutit. La formulation manquait de classe, mais Percival n'avait assurément pas à rougir de la taille de son membre viril. Rien que d'y penser le troublait.
— Bref, tu es davantage mon genre, sur tous les plans, conclut Félicien.
Tim sursauta, étonné. C'était bien la première fois qu'il plaisait à quelqu'un physiquement.
— Merci, murmura-t-il.
— Si tu veux, je peux t'aider à rendre Percival jaloux. Nous pourrions prétendre que nous sortons ensemble.
— Cela ne lui fera ni chaud ni froid vu qu'il ne m'aime pas… protesta Tim.
— Pas sûr, surtout si tu refuses de continues à baiser avec lui.
Tim n'était pas convaincu. Il avait surtout peur que cela ne pousse Percival à aller voir ailleurs.
A son retour à l'appartement, Percival lui chercha querelle.
— J'aurais préféré que tu ne te vantes point du fait que nous partageons la même couche. Cela ne regarde que nous.
Tim se défendit : ce n'était pas vraiment sa faute si Félicien avait tiré tout seul les conclusions qui s'imposaient.
Percival voulut bien l'admettre et Tim en profita pour lui demander ses impressions sur son nouvel ami.
Il s'avéra que Percival n'avait pas encore une opinion arrêtée, du moins, pas une qu'il veuille partager avec Tim. L'adolescent avait apparemment eu tort de craindre un coup de foudre entre eux !
Il le questionna ensuite sur sa famille et apprit ainsi que Percival avait eu un frère et une sœur, tout deux décédés, de même que ses parents. Il n'avait plus qu'un oncle en vie qu'il n'avait pas vu depuis des années. Tim s'enquit dans la foulée de d'autres attaches, désireux que Percival manifeste que si jamais il ne repartait pas, il ne ferait défaut à personne et réciproquement, mais le chevalier ne lui donna pas ce plaisir, mentionnant plusieurs compagnons d'armes.
— Oui, j'ai cru comprendre ça. Tu aurais tu va tête tout à l'heure… Évidement, si j'avais su, je n'aurais pas gaffé.
Tim se sentit morveux. C'est vrai qu'il ne lui avait rien dit. C'était toutefois son droit d'avoir des secrets.
Félicien continua :
— Ne te bile pas. Maintenant que je sais, je me tiendrais à carreau avec lui. Je ne suis pas trop fan de Percival. Il ne semble pas commode et puis bon, ses dents de travers…
Tim les adorait lui, mais il le laissa dire. Mieux valait pour lui que Félicien ne voit pas la beauté du chevalier.
Son nouvel ami poursuivit encore :
— Après, c'est sûr qu'il a l'air bien monté.
Tim déglutit. La formulation manquait de classe, mais Percival n'avait assurément pas à rougir de la taille de son membre viril. Rien que d'y penser le troublait.
— Bref, tu es davantage mon genre, sur tous les plans, conclut Félicien.
Tim sursauta, étonné. C'était bien la première fois qu'il plaisait à quelqu'un physiquement.
— Merci, murmura-t-il.
— Si tu veux, je peux t'aider à rendre Percival jaloux. Nous pourrions prétendre que nous sortons ensemble.
— Cela ne lui fera ni chaud ni froid vu qu'il ne m'aime pas… protesta Tim.
— Pas sûr, surtout si tu refuses de continues à baiser avec lui.
Tim n'était pas convaincu. Il avait surtout peur que cela ne pousse Percival à aller voir ailleurs.
A son retour à l'appartement, Percival lui chercha querelle.
— J'aurais préféré que tu ne te vantes point du fait que nous partageons la même couche. Cela ne regarde que nous.
Tim se défendit : ce n'était pas vraiment sa faute si Félicien avait tiré tout seul les conclusions qui s'imposaient.
Percival voulut bien l'admettre et Tim en profita pour lui demander ses impressions sur son nouvel ami.
Il s'avéra que Percival n'avait pas encore une opinion arrêtée, du moins, pas une qu'il veuille partager avec Tim. L'adolescent avait apparemment eu tort de craindre un coup de foudre entre eux !
Il le questionna ensuite sur sa famille et apprit ainsi que Percival avait eu un frère et une sœur, tout deux décédés, de même que ses parents. Il n'avait plus qu'un oncle en vie qu'il n'avait pas vu depuis des années. Tim s'enquit dans la foulée de d'autres attaches, désireux que Percival manifeste que si jamais il ne repartait pas, il ne ferait défaut à personne et réciproquement, mais le chevalier ne lui donna pas ce plaisir, mentionnant plusieurs compagnons d'armes.
2 commentaires:
Ho ho Tim va t-il accepter la proposition de Félicien de rendre jaloux Percival... ^__^ Je suis curieuse de voir ce que la suite nous réserve comme surprise
Merci pour l'épisode, je suis toujours aussi fan de tes écrits et venir ici chaque jour est un bonheur :)
Je suis vraiment touchée que tu me lises et commentes toujours après toutes ses années. :)
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