La vie avec Percival continua entre enseignement de la lecture et l'écriture et exercices physiques. Le quotidien au lycée était désormais calme et à l'appartement, cela se passait bien avec la mère de Tim qui avait fini par accepter que Percival n'arrive pas à obtenir de papier d'identité et ne puisse par conséquent travailler, se contentant d'aider aux corvées ménagères et aux courses.
Le chevalier n'avait pas paru considérer ses tâches trop humbles pour lui. Il trouvait, il faut dire, fascinant le tapis roulant de la caisse et jugeait que porter des sacs plein de courses était un sain exercice. Il n'appréciait guère l'aspirateur, un outil trop bruyant à son goût, mais il appréciait sa capacité à dévorer la poussière et jugeait qu'il avait le mérite de faire travailler les bras.
Peu à peu il s'adaptait au XXIème siècle, sans pour autant envisager de s'y attarder plus que nécessaire au grand désespoir de Tim qui, plus il passait du temps avec Percival et apprenait à le connaître, plus il l'aimait.
Il adorait son sourire, sa façon de parler qui s'émaillait désormais d'expressions modernes, ses baisers et son sérieux.
Les efforts de Tim secondé et encouragé par Percival commencèrent à porter leurs fruits et l'adolescent prit enfin du muscle, pas de façon spectaculaire, mais au point que certains pulls ajustés deviennent serrés aux entournures.
Sa mère qui avait déjà noté qu'il mangeait davantage qu'avant, mais moins de cochonneries, là aussi sous l'influence de Percival qui ne prisait guère ses étrangetés modernes trop salées et sucrées, finit par remarquer que sa silhouette avait changé.
Au lycée, constatant que l'infernal trio le laissait en paix, certains de ses camarades de sa classe s'étaient remis à lui parler. Tim avait préféré leur pardonner plutôt que de demeurer isolé. Parmi eux, il y en avait eu pour s'étonner du changement qui s'était opéré chez lui.
L'un d'eux était même persuadé que Tim prenait des stéroïdes, jugeant qu'il était impossible que Tim ait réussi à s'étoffer ainsi par le seul biais de sains exercices. Il ne savait pas à quel point Percival était un entraîneur exigeant.
Pendant les vacances, le chevalier lui avait concocté un programme si chargé que Tim avait cru périr. L'adolescent, de son côté, n'avait pas ménagé le chevalier qui pouvait désormais lire et même consulter le dictionnaire sur l'ordinateur.
Chaque nuit, ils se caressaient et parfois unissaient leurs corps. Dans ces moments, Tim se leurrait parfois sur les sentiments de Percival. Cela ne pouvait pas être que de l'amitié mâtinée de désir, c'était trop intense. Il le possédait avec une telle fougue, léchait son pénis avec une telle avidité... Seulement Percival avait beau être un amant passionné, il n'était pas revenu sur sa déclaration d'amitié ni sur son intention de retourner à son époque une fois que Tim serait suffisamment fort pour se défendre seul.
Plus personne ne lui cherchait de noises désormais, mais Tim s'était bien gardé de soulever ce point. Mieux valait être préparé à un futur sans chevalier pour assurer ses arrières.
Le chevalier n'avait pas paru considérer ses tâches trop humbles pour lui. Il trouvait, il faut dire, fascinant le tapis roulant de la caisse et jugeait que porter des sacs plein de courses était un sain exercice. Il n'appréciait guère l'aspirateur, un outil trop bruyant à son goût, mais il appréciait sa capacité à dévorer la poussière et jugeait qu'il avait le mérite de faire travailler les bras.
Peu à peu il s'adaptait au XXIème siècle, sans pour autant envisager de s'y attarder plus que nécessaire au grand désespoir de Tim qui, plus il passait du temps avec Percival et apprenait à le connaître, plus il l'aimait.
Il adorait son sourire, sa façon de parler qui s'émaillait désormais d'expressions modernes, ses baisers et son sérieux.
Les efforts de Tim secondé et encouragé par Percival commencèrent à porter leurs fruits et l'adolescent prit enfin du muscle, pas de façon spectaculaire, mais au point que certains pulls ajustés deviennent serrés aux entournures.
Sa mère qui avait déjà noté qu'il mangeait davantage qu'avant, mais moins de cochonneries, là aussi sous l'influence de Percival qui ne prisait guère ses étrangetés modernes trop salées et sucrées, finit par remarquer que sa silhouette avait changé.
Au lycée, constatant que l'infernal trio le laissait en paix, certains de ses camarades de sa classe s'étaient remis à lui parler. Tim avait préféré leur pardonner plutôt que de demeurer isolé. Parmi eux, il y en avait eu pour s'étonner du changement qui s'était opéré chez lui.
L'un d'eux était même persuadé que Tim prenait des stéroïdes, jugeant qu'il était impossible que Tim ait réussi à s'étoffer ainsi par le seul biais de sains exercices. Il ne savait pas à quel point Percival était un entraîneur exigeant.
Pendant les vacances, le chevalier lui avait concocté un programme si chargé que Tim avait cru périr. L'adolescent, de son côté, n'avait pas ménagé le chevalier qui pouvait désormais lire et même consulter le dictionnaire sur l'ordinateur.
Chaque nuit, ils se caressaient et parfois unissaient leurs corps. Dans ces moments, Tim se leurrait parfois sur les sentiments de Percival. Cela ne pouvait pas être que de l'amitié mâtinée de désir, c'était trop intense. Il le possédait avec une telle fougue, léchait son pénis avec une telle avidité... Seulement Percival avait beau être un amant passionné, il n'était pas revenu sur sa déclaration d'amitié ni sur son intention de retourner à son époque une fois que Tim serait suffisamment fort pour se défendre seul.
Plus personne ne lui cherchait de noises désormais, mais Tim s'était bien gardé de soulever ce point. Mieux valait être préparé à un futur sans chevalier pour assurer ses arrières.
1 commentaire:
Malgré tout les progrès fait que ce soit ceux de Tim ou ceux de Percival voilà un épisode bien triste qui ne laisse pas grand espoir pour un futur entre Tim et son chevalier d'amour ^^'
Merci pour l'épisode, je suis impatiente de voir ce qu'il va bien pouvoir se passer entre nos héros ^__^
Hâte de lire le prochain épisode
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