Il achevait un exercice de mathématique, le dernier avant d'en avoir fini pour de bon avec ses devoirs quand Percival entra, marcha droit sur lui, l'empoigna par le menton et se pencha pour l'embrasser.
— C'était un baiser que tu voulais un peu plus tôt, n'est-ce point ?
Tim opina en silence, le souffle court, à l'étroit dans son pantalon. S'il n'avait pas craint que sa mère ne rentre et ne les surprennent, il aurait réclamé plus.
— Dès que j'ai terminé, nous pourrions jouer aux jeux vidéos.
— Qu'est-ce encore ? Et ton entraînement, qu'en fais-tu ?
— J'ai besoin de me détendre, dit Tim.
Anticipant ce que Percival pouvait répliquer, il ajouta :
— Oui, je suis au courant qu'il y a d'autre façon, comme se masturber, mais ma mère est partie depuis deux bonnes heures déjà, alors…
— J'allais dire qu'après tout ce travail de clerc, bouger ton corps te serait profitable. Ta suggestion est excellente, excepté que ce n'est point dans ce domaine que tu veux progresser, ce me semble.
Percival n'était peut-être pas si obsédé que cela. Tim, en revanche… L'adolescent masqua son embarras en acceptant de suivre ses conseils.
— Allons dans les escaliers.
— Encore ?
— C'est la constance et la persévérance qui te permettront d'atteindre ton but. Je regrette que nous n'ayons plus d'épées de bois, mais c'est ainsi.
A leur douzième descente, ils croisèrent la mère de Tim, toute mouillée.
— Où allez-vous comme ça ? Il pleut des cordes.
— Nulle part. Juste vérifier le courrier.
— Ensemble ? s'étonna-t-elle.
— Que veux-tu, nous sommes inséparables, répondit Tim sur le ton de la plaisanterie, mais espérant très fort que cela soit vrai.
Sa mère abandonna le sujet pour annoncer l'extraordinaire nouvelle : certaines pièces ne valaient pas grand-chose, mais pour d'autres, cela s'élevait à 300 euros et même une à 850. Percival avait de quoi voir venir pour un moment. Il ne voulut en prendre qu'une petite partie, confiant le reste à son "aimable hôtesse." Une fois qu'ils se furent repliés dans la chambre, il remit l'argent à Tim, puis évacuant les histoires de sous, il l'incita à effectuer des pompes avant de demander à ce qu'il cherche à le frapper.
Tim n'aimait pas l'exercice. Il craignait trop de parvenir à le toucher et de lui faire mal.
— Le jour où tu réussiras à m'atteindre est encore loin, assura Percival comme l'adolescent exprimait ses réticences.
— C'était un baiser que tu voulais un peu plus tôt, n'est-ce point ?
Tim opina en silence, le souffle court, à l'étroit dans son pantalon. S'il n'avait pas craint que sa mère ne rentre et ne les surprennent, il aurait réclamé plus.
— Dès que j'ai terminé, nous pourrions jouer aux jeux vidéos.
— Qu'est-ce encore ? Et ton entraînement, qu'en fais-tu ?
— J'ai besoin de me détendre, dit Tim.
Anticipant ce que Percival pouvait répliquer, il ajouta :
— Oui, je suis au courant qu'il y a d'autre façon, comme se masturber, mais ma mère est partie depuis deux bonnes heures déjà, alors…
— J'allais dire qu'après tout ce travail de clerc, bouger ton corps te serait profitable. Ta suggestion est excellente, excepté que ce n'est point dans ce domaine que tu veux progresser, ce me semble.
Percival n'était peut-être pas si obsédé que cela. Tim, en revanche… L'adolescent masqua son embarras en acceptant de suivre ses conseils.
— Allons dans les escaliers.
— Encore ?
— C'est la constance et la persévérance qui te permettront d'atteindre ton but. Je regrette que nous n'ayons plus d'épées de bois, mais c'est ainsi.
A leur douzième descente, ils croisèrent la mère de Tim, toute mouillée.
— Où allez-vous comme ça ? Il pleut des cordes.
— Nulle part. Juste vérifier le courrier.
— Ensemble ? s'étonna-t-elle.
— Que veux-tu, nous sommes inséparables, répondit Tim sur le ton de la plaisanterie, mais espérant très fort que cela soit vrai.
Sa mère abandonna le sujet pour annoncer l'extraordinaire nouvelle : certaines pièces ne valaient pas grand-chose, mais pour d'autres, cela s'élevait à 300 euros et même une à 850. Percival avait de quoi voir venir pour un moment. Il ne voulut en prendre qu'une petite partie, confiant le reste à son "aimable hôtesse." Une fois qu'ils se furent repliés dans la chambre, il remit l'argent à Tim, puis évacuant les histoires de sous, il l'incita à effectuer des pompes avant de demander à ce qu'il cherche à le frapper.
Tim n'aimait pas l'exercice. Il craignait trop de parvenir à le toucher et de lui faire mal.
— Le jour où tu réussiras à m'atteindre est encore loin, assura Percival comme l'adolescent exprimait ses réticences.
1 commentaire:
Ha ha ha Percival qui percute enfin que Tim voulait un baiser ^o^
Comme tu dis il est long à la détente lol Super épisode, super histoire merci c'est avec plaisir que tout les jours je viens ici lire et me détendre. Vivement la suite :)
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