Il bondit sur le dos de Côme qui se débarrassa de lui l'instant d'après en reculant violemment contre un mur. L'adolescent se retrouva tout étourdi assis par terre sur le carrelage d'une propreté douteuse.
Il avait dû rater une partie de l'action, car à présent, Harvey était étendu sur le sol, Côme crachait une de ses dents et Lisle tenait un de ses bras, le visage enlaidie par une grimace de douleur. Percival, lui, était à peine essoufflé.
— Je vous conseille, drôles, de ne plus jamais toucher à mon ami Tim, ou autrement, il vous en cuira.
— Trou du cul, crois-pas t'en tirer comme ça ! s'écria Côme.
Percival lui broya le bras qu'il lançait dans sa direction et lui tordit dans le dos, repoussant d'un coup de pied Lisle.
Côme le supplia de le relâcher en gémissant, mais le chevalier fit la sourde oreille.
— Je ne crois point que tu te sois privé de continuer, même quand Tim te priait d'arrêter.
Côme finit par s'effondrer. Percival cogna encore plusieurs fois Lisle jusqu'à ce qu'il tombe à son tour pour ne plus se relever.
La cloche sonna à ce moment-là, marquant la fin de la récréation comme du combat. Tim était supposé retourner en cours.
— Comment...?
— Je t'expliquerai plus tard. Tu as pour le moment une lecture à écouter ou quelque chose comme ça, ce me semble.
Tim acquiesça, puis désignant ses trois camarades K.O., il manifesta ses scrupules à les abandonner comme cela.
— Ils ne sont point morts, ils finiront bien par se réveiller. Ne te tracasse point de leur sort. Retrouvons nous dehors.
Tim ne parvint à écouter un traître mot du cours qui suivit. Il lui semblait impensable que Harvey, Côme et Lisle en restent là, sûrement, ils voudraient se venger. Et pourtant, il ne regrettait pas l'intervention de Percival. Il avait été surpris, mais heureux qu'il vienne le défendre et le tirer des griffes des trois affreux.
Enfin, la matinée s'acheva et Tim put rejoindre Percival qui lui conta la manière dont il s'était faufilé dans l'enceinte du lycée via le terrain de sport, puis l'avait retrouvé grâce au numéro de sa salle qu'il lui avait soutiré sans en avoir l'air, avant de les suivre à distance jusqu'aux toilettes. Sa discrétion l'avait amené à les perdre de vue un instant, expliquant qu'il soit arrivé en décalé.
— Maintenant, je vais pouvoir t'entraîner afin que tu sois capable d'écraser ces odieux personnages par toi-même. Après quoi, je repartirai dans mon époque.
Tim qui, jusque là, avait été pressé de gagner du muscle et d'apprendre à se défendre, espéra que cela prendrait longtemps. Il voulait que Percival demeure à ses côtés pour toujours et non l'espace de quelques mois.
Il avait dû rater une partie de l'action, car à présent, Harvey était étendu sur le sol, Côme crachait une de ses dents et Lisle tenait un de ses bras, le visage enlaidie par une grimace de douleur. Percival, lui, était à peine essoufflé.
— Je vous conseille, drôles, de ne plus jamais toucher à mon ami Tim, ou autrement, il vous en cuira.
— Trou du cul, crois-pas t'en tirer comme ça ! s'écria Côme.
Percival lui broya le bras qu'il lançait dans sa direction et lui tordit dans le dos, repoussant d'un coup de pied Lisle.
Côme le supplia de le relâcher en gémissant, mais le chevalier fit la sourde oreille.
— Je ne crois point que tu te sois privé de continuer, même quand Tim te priait d'arrêter.
Côme finit par s'effondrer. Percival cogna encore plusieurs fois Lisle jusqu'à ce qu'il tombe à son tour pour ne plus se relever.
La cloche sonna à ce moment-là, marquant la fin de la récréation comme du combat. Tim était supposé retourner en cours.
— Comment...?
— Je t'expliquerai plus tard. Tu as pour le moment une lecture à écouter ou quelque chose comme ça, ce me semble.
Tim acquiesça, puis désignant ses trois camarades K.O., il manifesta ses scrupules à les abandonner comme cela.
— Ils ne sont point morts, ils finiront bien par se réveiller. Ne te tracasse point de leur sort. Retrouvons nous dehors.
Tim ne parvint à écouter un traître mot du cours qui suivit. Il lui semblait impensable que Harvey, Côme et Lisle en restent là, sûrement, ils voudraient se venger. Et pourtant, il ne regrettait pas l'intervention de Percival. Il avait été surpris, mais heureux qu'il vienne le défendre et le tirer des griffes des trois affreux.
Enfin, la matinée s'acheva et Tim put rejoindre Percival qui lui conta la manière dont il s'était faufilé dans l'enceinte du lycée via le terrain de sport, puis l'avait retrouvé grâce au numéro de sa salle qu'il lui avait soutiré sans en avoir l'air, avant de les suivre à distance jusqu'aux toilettes. Sa discrétion l'avait amené à les perdre de vue un instant, expliquant qu'il soit arrivé en décalé.
— Maintenant, je vais pouvoir t'entraîner afin que tu sois capable d'écraser ces odieux personnages par toi-même. Après quoi, je repartirai dans mon époque.
Tim qui, jusque là, avait été pressé de gagner du muscle et d'apprendre à se défendre, espéra que cela prendrait longtemps. Il voulait que Percival demeure à ses côtés pour toujours et non l'espace de quelques mois.
2 commentaires:
Merci pour l'épisode du jour, je suis contente que Percival entraine de nouveau Tim mais le fait qu'il lui dise qu'après il compte retourner à son époque c'est trop triste pour Tim qui est amoureux de lui T_T
J'espère que les 3 affreux ont compris qu'il ne fallait plus toucher à Tim :)
Hâte de lire la suite ^__^
On ne commande pas l'amour... Quant au trio et si nous les reverrons, je ne peux rien dire... :p
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