— Si on tuait tous les gens qui en harcèlent d'autres, la Terre serait vite dépeuplée. Dis-moi plutôt comment comptes-tu m'entraîner sans matériel.
— Montre-moi donc à quel point tu as été malmené.
Tim commença par lui présenter son doigt. C'était le moins compromettant. Il se mit ensuite torse nu, un bleu ornait son plexus. Il ne comptait cependant pas baisser son pantalon et dévoiler ses fesses qui devaient porter les marques des coups de pieds qu'ils lui avaient flanqué dedans. Tracassé qu'il était par la pluie, il ne s'était pas trop soucié de son inconfort à être assis sur les inconfortables tabourets de bois de la salle de physique-chimie, mais assurément, son postérieur était en compote.
Cependant Percival insista tant et si bien pour savoir s'il avait mal ailleurs qu'au doigt, au dos et au plexus que Tim s'exécuta, gardant tout de même le devant couvert. Au fond de lui, il espérait que cela ferait de l'effet au chevalier et qu'il renoncerait à ne pas le toucher, juste parce qu'il était du XXIème et lui du XIVème.
Il en fut pour ses frais. Une fois que Tim lui eut filé un tube de crème pour les contusions, Percival lui tartina le dos et les fesses sans paraître le moins du monde troublé alors que Tim lui se sentait tout chose.
— Tu as déjà été amoureux ? demanda Tim pendant que les mains rugueuses de Percival passaient sur sa peau frémissante.
— Oui.
— C'était un des gars avec lequel tu as couché ?
— Tu es bien curieux. La réponse est non... Voilà, c'est fini.
Tim réajusta ses habits et voulut en savoir plus sur ses amours passés, mais le chevalier refusa d'en dévoiler davantage et bientôt, l'adolescent se retrouva à expliquer comment la machine à laver faisait tourner le linge, puis la manière dont les radiateurs chauffaient, permettant aux habits d'être secs rapidement.
Il prépara ensuite le dîner pendant que Percival regardait la télévision que l'adolescent avait allumé à sa demande.
Le mère de Tim rentra sur ces entrefaites. Elle ne tarda pas à demander si Percival était en quête d'un job.
L'adolescent assura que oui, même si c'était faux. Ce n'était d'ailleurs pas possible vu que le chevalier n'avait aucun papier d'identité. Cela compliquerait aussi à coup sûr la vente des pièces. En tant que mineur, Tim ne pouvait s'en charger. Il y avait sûrement des endroits moins à cheval sur les formalités, mais ils risquaient fort de s'y faire arnaquer, à moins de connaître déjà la valeur des pièces.
— Montre-moi donc à quel point tu as été malmené.
Tim commença par lui présenter son doigt. C'était le moins compromettant. Il se mit ensuite torse nu, un bleu ornait son plexus. Il ne comptait cependant pas baisser son pantalon et dévoiler ses fesses qui devaient porter les marques des coups de pieds qu'ils lui avaient flanqué dedans. Tracassé qu'il était par la pluie, il ne s'était pas trop soucié de son inconfort à être assis sur les inconfortables tabourets de bois de la salle de physique-chimie, mais assurément, son postérieur était en compote.
Cependant Percival insista tant et si bien pour savoir s'il avait mal ailleurs qu'au doigt, au dos et au plexus que Tim s'exécuta, gardant tout de même le devant couvert. Au fond de lui, il espérait que cela ferait de l'effet au chevalier et qu'il renoncerait à ne pas le toucher, juste parce qu'il était du XXIème et lui du XIVème.
Il en fut pour ses frais. Une fois que Tim lui eut filé un tube de crème pour les contusions, Percival lui tartina le dos et les fesses sans paraître le moins du monde troublé alors que Tim lui se sentait tout chose.
— Tu as déjà été amoureux ? demanda Tim pendant que les mains rugueuses de Percival passaient sur sa peau frémissante.
— Oui.
— C'était un des gars avec lequel tu as couché ?
— Tu es bien curieux. La réponse est non... Voilà, c'est fini.
Tim réajusta ses habits et voulut en savoir plus sur ses amours passés, mais le chevalier refusa d'en dévoiler davantage et bientôt, l'adolescent se retrouva à expliquer comment la machine à laver faisait tourner le linge, puis la manière dont les radiateurs chauffaient, permettant aux habits d'être secs rapidement.
Il prépara ensuite le dîner pendant que Percival regardait la télévision que l'adolescent avait allumé à sa demande.
Le mère de Tim rentra sur ces entrefaites. Elle ne tarda pas à demander si Percival était en quête d'un job.
L'adolescent assura que oui, même si c'était faux. Ce n'était d'ailleurs pas possible vu que le chevalier n'avait aucun papier d'identité. Cela compliquerait aussi à coup sûr la vente des pièces. En tant que mineur, Tim ne pouvait s'en charger. Il y avait sûrement des endroits moins à cheval sur les formalités, mais ils risquaient fort de s'y faire arnaquer, à moins de connaître déjà la valeur des pièces.
1 commentaire:
Merci pour l'épisode :)
Tu as titillé ma curiosité sur les amours de Percival ^^
Vivement le prochain épisode en tout cas et passe un bon week-end
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