Très vite, Clowis avait souhaité que Dan cesse son boulot de gogo dancer de façon à ce qu'il soit libre toutes les nuits. Dan n'avait pas discuté. Il gagnait plus d'argent à se faire baiser qu'à se trémousser et il était désormais accro au sexe anal. Il en était même venu à se dire que le jour où Clowis se serait lassé de lui, il lui faudrait dénicher une partenaire prête à le doigter ou à utiliser un gode ceinture. C'était trop délicieux de se faire prendre pour qu'il y renonce.
Clowis avait fini par exiger que Dan quitte également son boulot au fastfood, chose que ce dernier n'avait pas compris. Ils n'allaient tout de même pas baiser nuit et jour, tout tentant que cela soit !
Il avait résisté, car cela impliquait une dépendance dangereuse, mais le portefeuille de Clowis semblait sans limite. Par ailleurs, préparer des hamburgers et des frites à longueur de journée était plutôt déprimant. Il avait aussi du mal avec les autres employés face auxquels il prétendait avoir une vie sociale bien remplie pour ne pas être contraint de parler de son job de nuit, tout en évitant de se faire taxer de pantouflard, comme un de ses jeunes collègues.
En journée, Dan s'était retrouvé à faire figuration dans le bureau de Clowis, un peu comme un jouet en vitrine, juste là pour être regardé. Il avait rendu la pareille en observant Clowis, parfois halluciné par son stoïcisme : rien ne semblait jamais l'émouvoir ; même quand il apprenait qu'il avait perdu de l'argent, il demeurait impassible.
Totalement sous la coupe de Clowis, il avait dû l'accompagner partout, à des soirées, des cocktails de bienfaisance, des ouvertures de galeries...
Il était devenu une marionnette dans ses mains, exécutant ses moindres caprices. Il avait été même obligé de jouer la comédie à un pauvre jeune homme. Sa mission avait consisté à le séduire. Dieu merci, il n'avait eu finalement qu'à poser sa main sur la sienne parce qu'en dépit des ordres de Clowis, il se serait mal vu aller plus loin. Raconter des bobards en prétendant être un jeune loup aux dents longues, ce n'était pas trop difficile, mais embrasser, caresser, tout ça, il ne le voulait pas. Tant qu'il ne couchait qu'avec Clowis, il pouvait prétendre que ce n'était pas vraiment de la prostitution, quand bien même chacune de ses prestations lui valaient une compensation financière.
Le jeune homme qu'il avait été obligé de duper, un certain Dillon, s'était révélé amoureux de son patron, Vic Sanders à qui Clowis avait proposé cette technique douteuse pour vérifier si Dillon était prompt à ouvrir les cuisses ou pas.
Clowis avait fini par exiger que Dan quitte également son boulot au fastfood, chose que ce dernier n'avait pas compris. Ils n'allaient tout de même pas baiser nuit et jour, tout tentant que cela soit !
Il avait résisté, car cela impliquait une dépendance dangereuse, mais le portefeuille de Clowis semblait sans limite. Par ailleurs, préparer des hamburgers et des frites à longueur de journée était plutôt déprimant. Il avait aussi du mal avec les autres employés face auxquels il prétendait avoir une vie sociale bien remplie pour ne pas être contraint de parler de son job de nuit, tout en évitant de se faire taxer de pantouflard, comme un de ses jeunes collègues.
En journée, Dan s'était retrouvé à faire figuration dans le bureau de Clowis, un peu comme un jouet en vitrine, juste là pour être regardé. Il avait rendu la pareille en observant Clowis, parfois halluciné par son stoïcisme : rien ne semblait jamais l'émouvoir ; même quand il apprenait qu'il avait perdu de l'argent, il demeurait impassible.
Totalement sous la coupe de Clowis, il avait dû l'accompagner partout, à des soirées, des cocktails de bienfaisance, des ouvertures de galeries...
Il était devenu une marionnette dans ses mains, exécutant ses moindres caprices. Il avait été même obligé de jouer la comédie à un pauvre jeune homme. Sa mission avait consisté à le séduire. Dieu merci, il n'avait eu finalement qu'à poser sa main sur la sienne parce qu'en dépit des ordres de Clowis, il se serait mal vu aller plus loin. Raconter des bobards en prétendant être un jeune loup aux dents longues, ce n'était pas trop difficile, mais embrasser, caresser, tout ça, il ne le voulait pas. Tant qu'il ne couchait qu'avec Clowis, il pouvait prétendre que ce n'était pas vraiment de la prostitution, quand bien même chacune de ses prestations lui valaient une compensation financière.
Le jeune homme qu'il avait été obligé de duper, un certain Dillon, s'était révélé amoureux de son patron, Vic Sanders à qui Clowis avait proposé cette technique douteuse pour vérifier si Dillon était prompt à ouvrir les cuisses ou pas.
4 commentaires:
Merci pour l'épisode ^^ Dan et Clowis me plaisent énormément dans leur relation et caractère et je suis trop impatiente de voir comment leur relation va évoluer au fil des épisodes
En attendant passe un bon week-end XD
Je viens de percuter que c'est le gars qui draguait dillon.
Et oui, les personnages des Contes modernes se croisent et parfois un peu plus... ! :)
J'ai du mal à imaginer que le froid Clowis puisse avoir un ami alors imaginer que c'est lui en quelque sorte qui a permis à Vic d'ouvrir les yeux sur les sentiments réels de Dillon, c'est drôle xD
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