C'était une étreinte fusionnelle et Dan aurait voulu qu'elle ne cesse jamais... qu'il le prenne par terre, sans retenue, qu'ils soient consumés tout deux par ma même passion dévorante. Comme si leurs deux cœurs n'en avaient fait qu'un, Clowis ne s'arrêta pas.
Dan s'inquiéta tout de même que quelqu'un entre, mais il fut aussitôt rassuré. Clowis avait une fois de plus puisé dans son portefeuille pour s'assurer que personne ne vienne les déranger. Dan s'en amusa plutôt que de s'en agacer. Ce qui comptait, c'était qu'il ne soit plus celui qui recevait l'argent.
Ensemble, ils glissèrent sur le sol. Clowis le déshabilla en partie, en le caressant. Le problème du préservatif et du lubrifiant fut réglé en fouillant dans les casiers des employés. Clowis laissa des billets à la place.
Dan bouillait d'impatience quand Clowis presque encore entièrement vêtu s'enfonça en lui.
Enfin, ils ne faisaient plus qu'un. La bouche et les mains de Clowis étaient partout sur lui, s'attardant sur ses tétons et son pénis. Dan avait l'impression d'être en feu.
Un dernier coup de boutoir et ils jouirent ensemble.
Clowis ne se retira pas de suite du corps de Dan et même après, il ne se releva pas immédiatement.
Il finit toutefois par le faire, réajustant caleçon et pantalon. Son costume était tout froissé. Du revers de la main, il tenta d'en lisser les plis, mais cela n'arrangea rien.
Dan, entretemps, s'était remis debout avec souplesse, à peine endolori par leur folle étreinte et s'était rhabillé en deux temps trois mouvements.
Il était heureux. Clowis, de marbre. Ou peut-être légèrement contrarié. C'était difficile à dire.
— Pardon de m'être laissé emporter. Un baiser et je perds tout contrôle, c'est lamentable.
Dan pouffa, puis réalisant que Clowis était sérieux, se reprit.
Il comprenait mieux à présent pourquoi Clowis se montrait si peu tactile en public.
— Tu es le feu sous la glace, un cœur généreux et brave sous un visage impénétrable, un peu comme un soldat.
— Je l'ai été brièvement. Avant de perdre ma jambe. Mon père l'était. Il m'avait éduqué dans cette optique et il a été terriblement déçu.
— Et ta mère ? N'aurait-elle pas préféré une autre carrière pour toi ?
— Elle est morte à ma naissance.
Cela expliquait bien des choses, songea Dan en effleurant les lèvres de Clowis d'un baiser. Il avait encore beaucoup à découvrir sur cet homme...
— Rentrons à présent, déclara Clowis.
Dan acquiesça. Il voulait bien danser pour lui, du moment que ce n'était pas sous ses ordres, mais à son rythme.
Dan s'inquiéta tout de même que quelqu'un entre, mais il fut aussitôt rassuré. Clowis avait une fois de plus puisé dans son portefeuille pour s'assurer que personne ne vienne les déranger. Dan s'en amusa plutôt que de s'en agacer. Ce qui comptait, c'était qu'il ne soit plus celui qui recevait l'argent.
Ensemble, ils glissèrent sur le sol. Clowis le déshabilla en partie, en le caressant. Le problème du préservatif et du lubrifiant fut réglé en fouillant dans les casiers des employés. Clowis laissa des billets à la place.
Dan bouillait d'impatience quand Clowis presque encore entièrement vêtu s'enfonça en lui.
Enfin, ils ne faisaient plus qu'un. La bouche et les mains de Clowis étaient partout sur lui, s'attardant sur ses tétons et son pénis. Dan avait l'impression d'être en feu.
Un dernier coup de boutoir et ils jouirent ensemble.
Clowis ne se retira pas de suite du corps de Dan et même après, il ne se releva pas immédiatement.
Il finit toutefois par le faire, réajustant caleçon et pantalon. Son costume était tout froissé. Du revers de la main, il tenta d'en lisser les plis, mais cela n'arrangea rien.
Dan, entretemps, s'était remis debout avec souplesse, à peine endolori par leur folle étreinte et s'était rhabillé en deux temps trois mouvements.
Il était heureux. Clowis, de marbre. Ou peut-être légèrement contrarié. C'était difficile à dire.
— Pardon de m'être laissé emporter. Un baiser et je perds tout contrôle, c'est lamentable.
Dan pouffa, puis réalisant que Clowis était sérieux, se reprit.
Il comprenait mieux à présent pourquoi Clowis se montrait si peu tactile en public.
— Tu es le feu sous la glace, un cœur généreux et brave sous un visage impénétrable, un peu comme un soldat.
— Je l'ai été brièvement. Avant de perdre ma jambe. Mon père l'était. Il m'avait éduqué dans cette optique et il a été terriblement déçu.
— Et ta mère ? N'aurait-elle pas préféré une autre carrière pour toi ?
— Elle est morte à ma naissance.
Cela expliquait bien des choses, songea Dan en effleurant les lèvres de Clowis d'un baiser. Il avait encore beaucoup à découvrir sur cet homme...
— Rentrons à présent, déclara Clowis.
Dan acquiesça. Il voulait bien danser pour lui, du moment que ce n'était pas sous ses ordres, mais à son rythme.
4 commentaires:
Merci pour l'épisode ^^
Quelle superbe réconciliation que voilà ^o^
En attendant la suite passe un bon week-end XD
ça a d'ailleurs failli être la fin du conte, mais finalement petite prolongation ! Bon week-end à toi aussi !
Merci pour tous ces chapitres que j'ai lu d'une traite depuis ta reprise et j'ai vraiment adoré le dénouement de leur histoire et de revoir les personnages des autres contes cela nous permet de savoir ce qu'ils deviennent.
Vivement la suite et bon week-end.
C'est trop beau la façon dont Dan aime Clowis !!
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