— Tu sais quand même comment ça marche entre hommes ? demanda Hans. Moi, pas vraiment, précisa-t-il avec un embarras charmant.
Son innocence atténuait grandement l'angoisse que ressentait Cole à faire l'amour pour la première fois, lui qui avait pensé finir ses jours puceau sans s'en affliger.
— Oui et il n'y a pas une seule façon. Cela peut se faire avec ou sans pénétration anale. Et dans ce cas, l'un des partenaires fait en quelque sorte la femme.
— Oh. Et ça se décide comment ?
— Les gens ont des préférences en général. Ou alternent.
— Moi, je veux t'aimer, c'est tout.
Il était vraiment l'amoureux parfait et Cole avait plus que de la chance qu'il se soit égaré un jour jusqu'à chez lui et qu'il soit revenu frapper à sa porte, même après qu'il l'ait chassé comme un malpropre.
— Tu as vraiment envie d'enlacer un vieux comme moi ? D'accord, pour attendre que j'y sois prêt ?
— Tout ce que tu voudras, assura Hans.
— Bon sang, pense à ton bonheur à toi, à ton plaisir ! s'écria Cole, inquiet que le jeune homme trop attentif à ce qu'il souhaitait ne mettre entre parenthèses ses propres désirs.
— Je ne fais que ça, affirma Hans avec un sourire resplendissant.
Là-dessus, il reprit possession de ses lèvres et sa main s'aventura à nouveau sous ses vêtements. Cole souleva à son tour le haut du jeune homme.
A tous les endroits où Hans le touchait, la peau de Cole devenait brûlante. Et la réciproque était vraie. Ils se déshabillèrent à moitié, se caressant avec fièvre et maladresse, et frottèrent leurs pénis l'un contre l'autre jusqu'à la jouissance.
Ils passèrent le restant de la journée ensemble, blottis l'un contre l'autre, parlant de tout et de rien entre deux baisers.
La nuit venue, ils partagèrent le lit de Cole et pour la première fois en quarante années d'existence, Cole se réveilla aux côtés de quelqu'un.
Hans remua, ouvrit les yeux, sourit et se leva d'un bond.
— Ne bouge pas, je t'apporte le petit déjeuner.
Il fut sourd à ses protestations et Cole se résigna à l'attendre. Hans paraissait vraiment prendre plaisir à le traiter comme un roi...
Inspiré, il attrapa du papier et du stylo pour écrire, si bien que quand Hans remonta avec un plateau garni, il avait déjà noirci plusieurs pages.
— Tu veux continuer ?
Cole hésita, partagé. Son blocage sur Moi et mon fantôme numéro 2 s'était envolé, mais il ne voulait pas pour autant délaisser Hans.
— Plus tard.
Après le petit déjeuner, ils firent à nouveau l'amour, Hans s'essayant à la fellation pour un résultat jouissif. Cole lui rendit la pareille. Il voulait goûter à la moindre parcelle de sa peau.
Son innocence atténuait grandement l'angoisse que ressentait Cole à faire l'amour pour la première fois, lui qui avait pensé finir ses jours puceau sans s'en affliger.
— Oui et il n'y a pas une seule façon. Cela peut se faire avec ou sans pénétration anale. Et dans ce cas, l'un des partenaires fait en quelque sorte la femme.
— Oh. Et ça se décide comment ?
— Les gens ont des préférences en général. Ou alternent.
— Moi, je veux t'aimer, c'est tout.
Il était vraiment l'amoureux parfait et Cole avait plus que de la chance qu'il se soit égaré un jour jusqu'à chez lui et qu'il soit revenu frapper à sa porte, même après qu'il l'ait chassé comme un malpropre.
— Tu as vraiment envie d'enlacer un vieux comme moi ? D'accord, pour attendre que j'y sois prêt ?
— Tout ce que tu voudras, assura Hans.
— Bon sang, pense à ton bonheur à toi, à ton plaisir ! s'écria Cole, inquiet que le jeune homme trop attentif à ce qu'il souhaitait ne mettre entre parenthèses ses propres désirs.
— Je ne fais que ça, affirma Hans avec un sourire resplendissant.
Là-dessus, il reprit possession de ses lèvres et sa main s'aventura à nouveau sous ses vêtements. Cole souleva à son tour le haut du jeune homme.
A tous les endroits où Hans le touchait, la peau de Cole devenait brûlante. Et la réciproque était vraie. Ils se déshabillèrent à moitié, se caressant avec fièvre et maladresse, et frottèrent leurs pénis l'un contre l'autre jusqu'à la jouissance.
Ils passèrent le restant de la journée ensemble, blottis l'un contre l'autre, parlant de tout et de rien entre deux baisers.
La nuit venue, ils partagèrent le lit de Cole et pour la première fois en quarante années d'existence, Cole se réveilla aux côtés de quelqu'un.
Hans remua, ouvrit les yeux, sourit et se leva d'un bond.
— Ne bouge pas, je t'apporte le petit déjeuner.
Il fut sourd à ses protestations et Cole se résigna à l'attendre. Hans paraissait vraiment prendre plaisir à le traiter comme un roi...
Inspiré, il attrapa du papier et du stylo pour écrire, si bien que quand Hans remonta avec un plateau garni, il avait déjà noirci plusieurs pages.
— Tu veux continuer ?
Cole hésita, partagé. Son blocage sur Moi et mon fantôme numéro 2 s'était envolé, mais il ne voulait pas pour autant délaisser Hans.
— Plus tard.
Après le petit déjeuner, ils firent à nouveau l'amour, Hans s'essayant à la fellation pour un résultat jouissif. Cole lui rendit la pareille. Il voulait goûter à la moindre parcelle de sa peau.
2 commentaires:
Super épisode comme à chaque fois ^^ merci c'est toujours un plaisir de te lire
Cole et Hans sont trop mignons et je leur souhaite d'être heureux :)
Ca fait vraiment plaisir de les voir heureux ensemble <3
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