— Tu m'as manqué, avoua Cole.
— Vous aussi.
— Il serait peut-être temps de me tutoyer, non ?
Leur relation prenait une tournure telle que cette marque de politesse devenait dérangeante.
— Oui... Tu as raison. Puis-je te prendre dans mes bras ?
— Tu n'as pas besoin de mon autorisation.
Hans se colla à lui dans le canapé pour l'enlacer. Ils s'embrassèrent longuement. Hans glissa une main sous le pull et la chemise de Cole qui frémit.
Il avait encore cette confession à faire : son absence d'expérience sexuelle.
D'après ce que le jeune homme avait dit, trois mois plus tôt, il était aussi puceau, mais cela avait pu changer...
Par dessus les vêtements, il posa sa main sur celle de Hans, l'arrêtant dans sa caresse.
— Pardon, déclara Hans en se retirant. Ce n'est sans doute pas le moment. Mon arrivée inopinée a dû t'interrompre pendant que tu écrivais et sûrement souhaites-tu y retourner.
Il était si soucieux de ses désidératas que Cole s'en voulut.
— Tu passes avant ! Et d'ailleurs, pendant ton absence, je n'ai été guère inspiré ! J'ai dû mettre en pause la suite de Moi et mon fantôme et je me suis lancé dans une histoire où le héros pourrait être ton jumeau ! Et avant que tu me le demandes, non, tu ne pourras pas la lire... Raconte-moi plutôt en détails ce que tu as fais au loin.
Hans s'empressa de le faire, détaillant ses difficultés à se loger, comment il avait fini par réussir à sous-louer une chambre, évoquant le job qu'il s'était déniché pour payer ses heures de conduite... Il avait également revu sa sœur qui ne comprenait pas ses sentiments, sûrement parce qu'elle n'avait jamais été encore vraiment amoureuse.
Cole l'écouta avec plaisir, commentant de temps à autres. C'était merveilleux qu'Hans soit là, sa cuisse tout contre la sienne, toute barrière entre eux tombée, si ce n'est ce dernier obstacle...
Quand le jeune homme se tut, il y eut un doux silence, puis Hans se pencha vers lui, prêt à l'embrasser.
Cole débita alors à toute vitesse avant de perdre le courage :
— C'est la honte, à mon âge, mais je suis encore puceau. Avant toi, je n'avais reçu de toute ma vie qu'un seul baiser.
— Vraiment ? fit Hans, en ouvrant de grands yeux.
Avant que Cole n'ait le temps de sentir gêné face à son incrédulité, le jeune homme poursuivit, enthousiaste :
— C'est génial et inespéré ! Je serais ton premier et toi, le mien ! Nous allons pouvoir avoir tout découvrir ensemble !
Cole fut soulagé d'avoir la confirmation que Hans n'avait rien fait avec personne... Il n'aurait pas de matière à comparaison, moins de déception en cas de piètre performance...
— Je suis content que tu le prennes bien.
— Vous aussi.
— Il serait peut-être temps de me tutoyer, non ?
Leur relation prenait une tournure telle que cette marque de politesse devenait dérangeante.
— Oui... Tu as raison. Puis-je te prendre dans mes bras ?
— Tu n'as pas besoin de mon autorisation.
Hans se colla à lui dans le canapé pour l'enlacer. Ils s'embrassèrent longuement. Hans glissa une main sous le pull et la chemise de Cole qui frémit.
Il avait encore cette confession à faire : son absence d'expérience sexuelle.
D'après ce que le jeune homme avait dit, trois mois plus tôt, il était aussi puceau, mais cela avait pu changer...
Par dessus les vêtements, il posa sa main sur celle de Hans, l'arrêtant dans sa caresse.
— Pardon, déclara Hans en se retirant. Ce n'est sans doute pas le moment. Mon arrivée inopinée a dû t'interrompre pendant que tu écrivais et sûrement souhaites-tu y retourner.
Il était si soucieux de ses désidératas que Cole s'en voulut.
— Tu passes avant ! Et d'ailleurs, pendant ton absence, je n'ai été guère inspiré ! J'ai dû mettre en pause la suite de Moi et mon fantôme et je me suis lancé dans une histoire où le héros pourrait être ton jumeau ! Et avant que tu me le demandes, non, tu ne pourras pas la lire... Raconte-moi plutôt en détails ce que tu as fais au loin.
Hans s'empressa de le faire, détaillant ses difficultés à se loger, comment il avait fini par réussir à sous-louer une chambre, évoquant le job qu'il s'était déniché pour payer ses heures de conduite... Il avait également revu sa sœur qui ne comprenait pas ses sentiments, sûrement parce qu'elle n'avait jamais été encore vraiment amoureuse.
Cole l'écouta avec plaisir, commentant de temps à autres. C'était merveilleux qu'Hans soit là, sa cuisse tout contre la sienne, toute barrière entre eux tombée, si ce n'est ce dernier obstacle...
Quand le jeune homme se tut, il y eut un doux silence, puis Hans se pencha vers lui, prêt à l'embrasser.
Cole débita alors à toute vitesse avant de perdre le courage :
— C'est la honte, à mon âge, mais je suis encore puceau. Avant toi, je n'avais reçu de toute ma vie qu'un seul baiser.
— Vraiment ? fit Hans, en ouvrant de grands yeux.
Avant que Cole n'ait le temps de sentir gêné face à son incrédulité, le jeune homme poursuivit, enthousiaste :
— C'est génial et inespéré ! Je serais ton premier et toi, le mien ! Nous allons pouvoir avoir tout découvrir ensemble !
Cole fut soulagé d'avoir la confirmation que Hans n'avait rien fait avec personne... Il n'aurait pas de matière à comparaison, moins de déception en cas de piètre performance...
— Je suis content que tu le prennes bien.
2 commentaires:
Merci pour l'épisode du jour ^^
Cole est trop mignon dans ses hésitations quand à son pucelage lol Hans va se faire un plaisir de lui faire découvrir les joies du sexe même si lui aussi est inexpérimenté XD
A mon humble avis, Hans et Cole forment le plus mignon des couples de Contes Modernes. :)
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